A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics
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A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics



  1. #1
    stefjm

    A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics


    ------

    Bonjour,

    Pour information et commentaires.

    https://link.springer.com/chapter/10...319-50255-7_23

    Francis Michel Sanchez (Formerly at Université Paris-XI OrsayOrsayFrance)

    Conference paperFirst Online:
    19 May 2017

    DOI: 10.1007/978-3-319-50255-7_23



    Part of the Progress in Theoretical Chemistry and Physics book series (PTCP, volume 30)

    Cordialement.

    -----
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  2. #2
    Gilgamesh
    Modérateur

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Bonjour,

    Pour information et commentaires.

    https://link.springer.com/chapter/10...319-50255-7_23

    Francis Michel Sanchez (Formerly at Université Paris-XI OrsayOrsayFrance)

    Conference paperFirst Online:
    19 May 2017

    DOI: 10.1007/978-3-319-50255-7_23



    Part of the Progress in Theoretical Chemistry and Physics book series (PTCP, volume 30)

    Cordialement.
    À la lecture de l'abstract on a juste envie d'éclater de rire tellement c'est ridiculement ambitieux en prétendant unifier le cosmos du multivers au cerveau en passant par l'évolution darwinienne. On trouve des termes ronflant à chaque ligne, avec des majuscule partout et un fort penchant pour la numérologie.
    Parcours Etranges

  3. #3
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Publiée dans
    Progress in Theoretical Chemistry and Physics , Springer

    https://link.springer.com/bookseries/6464

    Effectivement, cela me fait rire, mais ce n'est pas le contenu en lui même...

    C'est quoi le problème avec les majuscules?
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  4. #4
    Gilgamesh
    Modérateur

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    While the reductionist approach, best expressed in Descartes’ Method, helped science to develop along the objectivity principle, the modern crisis in quantum mechanics and cosmology calls for a return to a traditional holistic viewpoint, where the large would explain the small. This could lead to replacing the concept of ‘emergence’ (where the whole exceeds the parts) by that of ‘immergence’ (foreseen in Mach’s conjecture). This implies a temporal invariance of the cosmological parameters defined by applying the Bekenstein-Hawking holographic principle. This latter is associated with a coherence principle according to which any well-defined system (such as a living organism) is associated with a specific frequency, analogous to the clock of a computer. Physical laws would then be related to a computing process. This coherence principle is shown to be central in atomic physics and defines Coherent Cosmology, which can be seen as a synthesis of standard cosmology and steady-state cosmology, completed by a ‘Grandcosmos’ extending the observable Universe radius by a factor 10^61 and associated with the Cosmic Microwave Background (CMB). For the observable Universe, there is a specific frequency of 10^104 Hz, introducing a quantization of space-time 10^61 smaller than Planck’s scale. The Universe equivalent mass is expressed in terms of the main three microphysical masses: electron, proton, and hydrogen; all microphysical masses would be submultiples of it. The dimensionless ‘large numbers’ issued from Cosmology and Microphysics are shown to enter a Topological Axis with an emphasis for 26 dimensions, rehabilitating the Bosonic String Theory and pointing to massive gluons and superspeed signals. The Kotov non-Doppler coherent cosmic oscillation appears as an absolute clock, in holographic connection with the background. Generalized holographic conservation yields the critical condition while the trivial matter density 3/10 solves the dark energy problem. A systematic elimination of c helps to relate the physical parameters to Kotov’s well-measured cosmic period: 9600.61(2) s, and c-free standard dimensional analysis confirms the invariance of the Universe horizon, matter density, and background temperature. The later appears related to the triple-point temperatures of H2, O2, and H2O, and to mammals’ temperature through Sternheimer’s scale factor: j = 8π2/ln2, which itself is related to the electric constant: a ≈ 137.036. Analysis of the masses of DNA nucleotides and protein amino-acids shows a connection with Kotov’s period, suggesting that DNA could be a linear hologram. The Darwinian step-by-step macroevolution theory, by unrelated random mutations and natural and sexual selection, seems then irrelevant. We have also investigated the relations between physical canonical large numbers and economic and musical numbers, hinting that the human brain may act as a multi-basis computer, favoring the universality of Intelligent Life.
    Chaque point en gras implique une revolution des bases de la cosmologie, de la physique des particules, de la physique classique, et de la biologie dans le foulee. Et dans d'autre articles, il relie tous ca avec des mondes parrallele tachyoniques et j'en passe. Et pas le moindre prudence dans la formulation.

    Franchement, une theorie qui se propose de rapprocher une soi disante frequence universelle, le point triple de l'eau et la temperature interne des mammiferes, moi je n'y jette meme pas un regard. C'est du crackpotting de la plus belle eau.
    Dernière modification par Gilgamesh ; 21/06/2017 à 13h58.
    Parcours Etranges

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Normal que Springer publie les théories révolutionnaires. C'est leur rôle.
    Ceci dit, pas mal de points sont appuyés sur les épaules des géants précédents, mais oubliés de l'histoire...
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  7. #6
    Paraboloide_Hyperbolique

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Bonjour,

    En ce qui me concerne, rien que le titre "A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics" est déjà problématique.

    Si on peut imaginer éventuellement des liens entre la microphysique et la biophysique, je ne vois pas du tout ce que la cosmologie viendrait faire là-dedans. Rien que les échelles de distances considérées par la cosmologie (de l'ordre du parsec) sont sans communes mesures avec celles de la microphysique et de la biophysique (de l'ordre du micromètre et moins).

    Bref, sans même devoir lire l'abstract, ce document est à jeter à la poubelle...

  8. #7
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Si on peut imaginer éventuellement des liens entre la microphysique et la biophysique, je ne vois pas du tout ce que la cosmologie viendrait faire là-dedans. Rien que les échelles de distances considérées par la cosmologie (de l'ordre du parsec) sont sans communes mesures avec celles de la microphysique et de la biophysique (de l'ordre du micromètre et moins).
    Bonjour,
    Je vous invite à calculer la distance obtenue à partir des constantes fondamentales (physique quantique), (cosmologie) et des trois masses masses typiques de la chimie (électron, proton, neutron)
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Bref, sans même devoir lire l'abstract, ce document est à jeter à la poubelle...
    Ce que n'a pas fait Springer qui vend l'article 30 euros.

    Cordialement.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  9. #8
    jacknicklaus

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    l'auteur avait déjà fait parler de lui sur ce forum.

    http://forums.futura-sciences.com/de...edibilite.html
    There are more things in heaven and earth, Horatio, Than are dreamt of in your philosophy.

  10. #9
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Merci de maintenir ce fil dans le champ scientifique et non personel.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  11. #10
    mach3
    Modérateur

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Ce que n'a pas fait Springer qui vend l'article 30 euros.
    Le but de Springer, c'est de gagner des sous (comme tout éditeur).

    Par ailleurs, le document en question est un chapitre de bouquin, pas un article de journal scientifique. Il N'est PAS soumis à la revue par un comité de lecture.

    m@ch3
    Never feed the troll after midnight!

  12. #11
    mach3
    Modérateur

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    En parcourant les refs, on voit des trucs intéressants. L'auteur fait référence à des papiers qu'il a fait par ailleurs. Un dans Journal of Cosmology, journal peu sérieux et très critiqué, plusieurs autres dans galilean electrodynamics (pire que le précédent), un autre dans des proceedings de l'ANPA (pas de relecture, un proceeding c'est le résumé qu'on rédige pour mettre dans le programme d'un congrès, au passage l'ANPA, l'association des physiciens nigérians en amérique, c'est plutot confidentiel comme truc...).
    Bref, du point de vue biblio c'est très faible.

    m@ch3
    Never feed the troll after midnight!

  13. #12
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par mach3 Voir le message
    Par ailleurs, le document en question est un chapitre de bouquin, pas un article de journal scientifique. Il N'est PAS soumis à la revue par un comité de lecture.
    Il l'est!

    https://link.springer.com/book/10.10...ndaffiliations

    Citation Envoyé par Spinger
    This book reviews the most significant developments in quantum methodology applied to a broad variety of problems in chemistry, physics, and biology. In particular, it discusses atomic and molecular structure, dynamics and spectroscopy as well as applications of quantum theory to biological and condensed matter systems.

    The volume contains twenty-four selected, peer-reviewed contributions based on the presentations given at the Twentieth International Workshop on Quantum Systems in Chemistry, Physics, and Biology (QSCP-XX), held in Varna, Bulgaria, in September 2015. It is divided into five sections containing the most relevant papers written by leading experts in the fields.
    This book will appeal to advanced graduate students, researchers, and academics involved in theoretical, quantum or statistical and computational chemical physics and physical chemistry.
    Mis en gras par moi.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  14. #13
    mach3
    Modérateur

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Il l'est!
    Au temps pour moi

    m@ch3
    Never feed the troll after midnight!

  15. #14
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par mach3 Voir le message
    En parcourant les refs, on voit des trucs intéressants. L'auteur fait référence à des papiers qu'il a fait par ailleurs. Un dans Journal of Cosmology, journal peu sérieux et très critiqué, plusieurs autres dans galilean electrodynamics (pire que le précédent), un autre dans des proceedings de l'ANPA (pas de relecture, un proceeding c'est le résumé qu'on rédige pour mettre dans le programme d'un congrès, au passage l'ANPA, l'association des physiciens nigérians en amérique, c'est plutot confidentiel comme truc...).
    Bref, du point de vue biblio c'est très faible.

    m@ch3
    ANPA Cambridge : Alternative Natural Philosophy Association : http://anpa.onl/2016/constitution/
    Deux figures de l'ANPA:
    https://en.wikipedia.org/wiki/H._Pierre_Noyes
    https://en.wikipedia.org/wiki/Ted_Bastin

    Pour les journaux douteux, c'est intéressant et à mettre en relation avec
    http://forums.futura-sciences.com/ma...ml#post5925651

    Pour Galilean Electrodynamics, il y a une logique : quand on travaille sur la gravité quantique NON relativiste, c'est assez logique de publier là, vu que c'est refusé ailleurs.
    http://forums.futura-sciences.com/ph...es-hbar-g.html
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  16. #15
    mach3
    Modérateur

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    ANPA Cambridge : Alternative Natural Philosophy Association
    et crotte de bique, la bourde, j'ai pas trouvé la bonne ANPA...

    m@ch3
    Never feed the troll after midnight!

  17. #16
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Pas grave.
    Cette ANPA devrait t'intéresser : Algèbre de Clifford, groupe monstre, hiérarchie combinatoire, etc...
    Une autre pointure : https://en.wikipedia.org/wiki/Clive_W._Kilmister
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  18. #17
    Paraboloide_Hyperbolique

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Je vous invite à calculer la distance obtenue à partir des constantes fondamentales (physique quantique), (cosmologie) et des trois masses masses typiques de la chimie (électron, proton, neutron)
    J'ai fait rapidement ce petit calcul (voir ci-dessous), mais je ne vois pas en quoi cela fait avancer le schmilblick, ni quelle pourrait être l'interprétation d'un tel résultat.

    Si je ne trompe pas, la seule combinaison possible pour obtenir quelque chose qui a la dimension d'une distance est:



    Avec: la constante de Planck, la constante de gravitation universelle et la masse de l'électron.

    Dans ce cas, sauf erreur de ma part:

    années lumières.

    Et ensuite ?

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Ce que n'a pas fait Springer qui vend l'article 30 euros.
    Je suis très étonné qu'un tel texte soit édité par un journal de Springer...

  19. #18
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Ensuite, on compare l'estimation avec ce qui est mesuré en cosmologie.
    Le fait d'avoir choisie comme masse celle de l'électron, donc la plus faible de la chimie, amène à surestimer la longueur (et de beaucoup car cela joue au cube).
    Comme on a une masse au cube, c'est quand même tentant de regarder ce que cela donne pour un exemplaire de chaque masse (électron, proton, neutron) ou pour l'hydrogène, ce qui revient à peu près au même.

    Et là, cela se rapproche bien mieux d'une distance bien connue à un facteur 2 près.
    http://forums.futura-sciences.com/as...ml#post5376683

    Francis Michel Sanchez a simplement appliqué la règle de Wheler.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Systèm...gle_de_Wheeler
    Avant de faire un calcul, faire une analyse dimensionnelle pour estimer le résultat.

    C'est d'autant plus pertinent que cette relation est dans tous les manuels d'astrophysique...

    Pour Spinger, pour une fois qu'il publie un truc intéressant, ce qui permet d'en parler ici, je ne vais pas râler.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  20. #19
    Paraboloide_Hyperbolique

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Ensuite, on compare l'estimation avec ce qui est mesuré en cosmologie.
    Et là, cela se rapproche bien mieux d'une distance bien connue à un facteur 2 près.
    http://forums.futura-sciences.com/as...ml#post5376683

    D'après mes calculs, en entrant les masses du proton et du neutron et si je n'ai pas fait d'erreurs, j'obtiens: années lumières. C'est "voisin" des 13,75 milliards d'années lumières de rayon de l'Univers visible actuel mais cela s'apparente - pour moi - à de la numérologie. Ce n'est pas parce que deux valeurs numériques sont voisines qu'il faut y voir un lien quelconque entre elles. Ici d'autant plus parce que le rayon de l'Univers visible varie avec le temps, tandis que la quantité est une constante (jusqu'à preuve du contraire...)

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    C'est d'autant plus pertinent que cette relation est dans tous les manuels d'astrophysique...
    Pouvez-vous me fournir une référence vers un tel manuel qui contiendrais ce type de relation ?

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Pour Springer, pour une fois qu'il publie un truc intéressant, ce qui permet d'en parler ici, je ne vais pas râler.
    Ce qui est intéressant est le fait qu'il publie quelque chose de cet acabit...

  21. #20
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Bonsoir,
    J'ai plutôt



    C'est voisin à quelques % de l'univers observable à vitesse c.
    Le rayon de l'univers varie dans le temps (jusqu'à preuve du contraire).
    Une analyse dimensionnelle à partir de grandeurs physiques pertinentes n'est pas de la numérologie, mais de la physique élémentaire.
    Comme vous le signalez, toutes les grandeurs sont constantes, jusqu'à preuve du contraire.
    La solution qui consiste à dire qu'on a de la chance avec la dimension actuelle de l'univers est hasardeuse.
    La solution qui consiste à dire que l'analyse dimensionnelle est de la numérologie n'est pas sérieuse pour n'importe quel physicien.

    Une naine blanche minimaliste constituée d'un exemplaire des particules élémentaires de la chimie aurait la taille de l'univers observable.

    La relation de naine blanche traine dans tous les manuels, à des degrés de complexité divers, selon les modèles envisagés.
    Le premier que je trouve :
    https://books.google.fr/books?id=v_6...0dwarf&f=false

    Franchement, je ne vois pas en quoi c'est si surprenant de trouver des relations entre cosmologie et chimie.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  22. #21
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par Gilgamesh Voir le message
    Chaque point en gras implique une revolution des bases de la cosmologie, de la physique des particules, de la physique classique, et de la biologie dans le foulee.
    Comme quoi, c'est mauvais de ne pas faire d'analyse dimensionnelle, puisque cela permet de relier des domaines à priori séparés.
    Citation Envoyé par Gilgamesh Voir le message
    Et dans d'autre articles, il relie tous ca avec des mondes parrallele tachyoniques et j'en passe.
    Tant mieux si c'est dans d'autres articles. Cela permet de circoncire un peu le sujet de ce fil.
    Citation Envoyé par Gilgamesh Voir le message
    Et pas le moindre prudence dans la formulation.
    C'est le "caractère du personnage", et sans doute des difficulté à traduire en anglais (character's character).
    Citation Envoyé par Gilgamesh Voir le message
    Franchement, une theorie qui se propose de rapprocher une soi disante frequence universelle, le point triple de l'eau et la temperature interne des mammiferes, moi je n'y jette meme pas un regard. C'est du crackpotting de la plus belle eau.
    Avis personnel.
    A ce compte là, Weyl, Eddington et Dirac ont donné dans le crackpotting de la plus belle eau avec leur rapport 10^40.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  23. #22
    Paraboloide_Hyperbolique

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Bonsoir,
    J'ai plutôt

    En effet, j'ai refait mes calculs et j'obtiens la même chose que vous.

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    C'est voisin à quelques % de l'univers observable à vitesse c.
    Je ne comprend pas cette phrase. Que veut dire "être voisin de X à vitesse c" où X possède la dimension d'une longueur ?

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Le rayon de l'univers varie dans le temps (jusqu'à preuve du contraire).
    Tout à fait d'accord. C'est pour cela que la quantité ne peut être rapproché du rayon de l'Univers (observable), jusqu'à preuve du contraire.

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Une analyse dimensionnelle à partir de grandeurs physiques pertinentes n'est pas de la numérologie, mais de la physique élémentaire.
    Tout à fait d'accord. Il faut cependant faire attention à l'usage que l'on en fait, à l'interprétation et la pertinence des résultats obtenus. Par exemple, en vulgarisation j'ai déjà entendu qu'il y avait autant de grains de sables sur Terre que d'étoiles dans la Voie Lactée. Même si ces deux nombres se rapprochent et sont de même dimension (l'analyse dimensionnelle est satisfaite), il n'y a aucun rapport entre eux.

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    La solution qui consiste à dire qu'on a de la chance avec la dimension actuelle de l'univers est hasardeuse.
    J'ai du mal à cerner la pertinence de cette remarque...

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    La solution qui consiste à dire que l'analyse dimensionnelle est de la numérologie n'est pas sérieuse pour n'importe quel physicien.
    Je n'ai jamais affirmé que l'analyse dimensionnelle était de la numérologie. Par contre, je trouve que l'usage qui en est fait ici l'est, puisque l'on cherche à rapprocher une quantité à priori constante d'une autre, de même dimension, qui n'est pas constante*. Je ne vois pas non-plus ce qui nous permettrait de les rapprocher (l'analyse dimensionnelle est une condition nécessaire à ce rapprochement, mais non suffisante**).

    *Si l'on parle bien du rayon de l'Univers observable.

    **Si l'on considère qu'il y a lieu à faire se rapprochement, il faut alors donner des preuves (ou à tout le moins des indices) bien plus solides qu'une simple analyse dimensionnelle.

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Une naine blanche minimaliste constituée d'un exemplaire des particules élémentaires de la chimie aurait la taille de l'univers observable.
    Je ne comprend pas cette phrase.

    Qu'est ce qu'une "naine blanche minimaliste" ?

    Que signifie: "être constitué d'un exemplaire des particules élémentaires de la chimie" ?
    Est-ce "n'être constitué que d'un seul type de particule" ?

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    La relation de naine blanche traine dans tous les manuels, à des degrés de complexité divers, selon les modèles envisagés.
    Le premier que je trouve :
    https://books.google.fr/books?id=v_6...0dwarf&f=false
    D'après ce que je lis, j'y trouve la relation entre le rayon et la masse d'une étoile à neutrons. Cette relation est intéressante en effet puisqu'elle fait intervenir les constantes h, G et . Mais cette relation repose plus que sur une simple analyse dimensionnelle, puisqu'il y est fait l'hypothèse d'un gaz de fermions libres, d'une description newtonienne de la gravité et de l'équilibre hydrostatique entre la gravité et un gaz de fermions.

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Franchement, je ne vois pas en quoi c'est si surprenant de trouver des relations entre cosmologie et chimie.
    On est d'accord: ce n'est pas surprenant (à preuve le calcul du rapport abondance hydrogène/hélium prédit par le modèle cosmologique standard).
    Ce qui l'est, c'est le rapprochement avec la biophysique et la théorie de l'évolution, comme semble le faire l'auteur de l'article.

  24. #23
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Je ne comprend pas cette phrase. Que veut dire "être voisin de X à vitesse c" où X possède la dimension d'une longueur ?
    (observable à vitesse c) = (c observable) = Observable à la vitesse limite

    L'incertitude relative entre la longueur calculée par AD et le rayon d'univers observable, est voisine de quelques pour-cent.
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Tout à fait d'accord. C'est pour cela que la quantité ne peut être rapproché du rayon de l'Univers (observable), jusqu'à preuve du contraire.
    Obtenir une grandeur calculée constante presqu'égale à une une mesure, permet au moins de douter.
    Par exemple : http://adsabs.harvard.edu/abs/2011JCos...17.7225S
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Tout à fait d'accord. Il faut cependant faire attention à l'usage que l'on en fait, à l'interprétation et la pertinence des résultats obtenus. Par exemple, en vulgarisation j'ai déjà entendu qu'il y avait autant de grains de sables sur Terre que d'étoiles dans la Voie Lactée. Même si ces deux nombres se rapprochent et sont de même dimension (l'analyse dimensionnelle est satisfaite), il n'y a aucun rapport entre eux.
    Il y a un rapport évident : c'est le même observateur humain qui les a compté avec des techniques humaines.
    En dire plus est difficile et risqué.

    Pour ce qui est de la distance calculée, c'est bien une AD sur une longueur: en plein dans le champ de la physique.
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    J'ai du mal à cerner la pertinence de cette remarque...
    La relation ne marche qu'aujourd'hui, que pour le rayon observable d'aujourd'hui, d'où un super coup de bol avec l'AD en question.
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Je n'ai jamais affirmé que l'analyse dimensionnelle était de la numérologie. Par contre, je trouve que l'usage qui en est fait ici l'est, puisque l'on cherche à rapprocher une quantité à priori constante d'une autre, de même dimension, qui n'est pas constante*. Je ne vois pas non-plus ce qui nous permettrait de les rapprocher (l'analyse dimensionnelle est une condition nécessaire à ce rapprochement, mais non suffisante**).

    *Si l'on parle bien du rayon de l'Univers observable.

    **Si l'on considère qu'il y a lieu à faire se rapprochement, il faut alors donner des preuves (ou à tout le moins des indices) bien plus solides qu'une simple analyse dimensionnelle.
    Tout à fait. S'il n'y avait qu'une seule relation de ce genre, ce ne serait qu'une curiosité.
    Il y en a de très nombreuses autres, ce qui donne un faisceau de coïncidences.

    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Je ne comprend pas cette phrase.
    Qu'est ce qu'une "naine blanche minimaliste" ?
    Que signifie: "être constitué d'un exemplaire des particules élémentaires de la chimie" ?
    Est-ce "n'être constitué que d'un seul type de particule" ?
    C'est une extrapolation d'un résultat statistique portant sur un grand nombre de particulee (étoiles à neutron, naine blanche,...) en réduisant jusqu'au minimum le nombre de particules. Dans le cadre de la chimie, il y a trois type de particule (électron, proton, neutron). L'AD en question fait apparaitre une masse au cube. C'est tentant d'essayer ces trois masses et de voir dans quelle échelle de longueur cela tombe.
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    D'après ce que je lis, j'y trouve la relation entre le rayon et la masse d'une étoile à neutrons. Cette relation est intéressante en effet puisqu'elle fait intervenir les constantes h, G et . Mais cette relation repose plus que sur une simple analyse dimensionnelle, puisqu'il y est fait l'hypothèse d'un gaz de fermions libres, d'une description newtonienne de la gravité et de l'équilibre hydrostatique entre la gravité et un gaz de fermions.
    Partant de cette relation, c'est intéressant de (toy)modéliser l'univers observable par les trois particules de la chimie : C'est un hommage à Lemaître et à son atome primitif. Cela semble pertinent puisque les grandeurs physico-numérique coïncident.
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    On est d'accord: ce n'est pas surprenant (à preuve le calcul du rapport abondance hydrogène/hélium prédit par le modèle cosmologique standard).
    On peut trouver ce résultat en deux lignes d'analyse dimensionnelle.
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Ce qui l'est, c'est le rapprochement avec la biophysique et la théorie de l'évolution, comme semble le faire l'auteur de l'article.
    Pour la bio, le rapport de masse entre proton et électron se retrouve entre les masses des codons ADN et du proton (et pas qu'avec une seule relation).
    Pour l'évolution, je n'ai pas d'avis.

    J'ai cité cet article car chez Springer.
    Les articles plus ciblés sont quasiment interdits sur Futura pour cause de "Pas bon journal".

    Cordialement.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  25. #24
    Paraboloide_Hyperbolique

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    (observable à vitesse c) = (c observable) = Observable à la vitesse limite
    Dans le cadre de la physique, je ne comprend toujours pas. Cependant, ma boule de cristal me souffle que vous voulez dire "horizon cosmologique" pour "distance observable à vitesse c". Est-ce correct ?

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    L'incertitude relative entre la longueur calculée par AD et le rayon d'univers observable, est voisine de quelques pour-cent.
    Obtenir une grandeur calculée constante presqu'égale à une une mesure, permet au moins de douter.
    Par exemple : http://adsabs.harvard.edu/abs/2011JCos...17.7225S
    Certe, mais on ne peut rien affirmer non-plus... (cfr. mon exemple entre grains de sables et étoiles).

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Il y a un rapport évident : c'est le même observateur humain qui les a compté avec des techniques humaines.
    Quand on compare deux quantités (ici le nombre de grains de sables sur Terre et le nombres d'étoiles dans la voie Lactée), j'entends par "avoir un rapport entre ces deux quantités" l'existence d'une relation mathématique (qui peut être statistique) qui les lient. Si cette relation mathématique est déduite à partir d'une théorie validée, (comme c'est le cas pour la formule liant rayon et masse d'une étoile à neutrons) c'est encore mieux.

    Par conséquent, dire "c'est un humain qui a mesuré ces deux quantités, donc il y a un rapport entre elles" n'entre pas dans cette définition. D'ailleurs, dire cela n'apporte rien, puisque tout ce qui a été mesuré l'a été fait (à ma connaissance) par des humains. Dès-lors n'importe quoi aurait un rapport avec n'importe quoi. Je pourrais par exemple dire que le nombre d'agents de polices buvant un café à 8h34 à Paris a un rapport avec le nombre de neutrons dans le noyau d'Uranium 235.

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Pour ce qui est de la distance calculée, c'est bien une AD sur une longueur: en plein dans le champ de la physique.
    La relation ne marche qu'aujourd'hui, que pour le rayon observable d'aujourd'hui, d'où un super coup de bol avec l'AD en question.
    C'est peut-être un "coup de bol", mais ça ne permet pas d'affirmer quoique ce soit de plus.

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Tout à fait. S'il n'y avait qu'une seule relation de ce genre, ce ne serait qu'une curiosité.
    Il y en a de très nombreuses autres, ce qui donne un faisceau de coïncidences.
    Si dans votre faisceau de coïncidences vous classez les relations que vous m'avez données concernant les étoiles à neutrons et autres, je ne suis pas d'accord.

    la relation entre la distance calculée par AD et le rayon actuel de l'Univers observable ne repose que sur une chose: une analyse dimensionnelle. Ce qui est largement insuffisant.
    De plus, l'une des quantités varie dans le temps alors que l'autre est à priori constante.

    Les autres relations (rayon d'une étoile à neutron, rapport d'abondance hydrogène/hélium, etc.) s'appuient sur des théories validées (relativité générale, modèle cosmologique standard, mécanique quantique) et sont calculées à partir d'équations issues de ces théories. Bien sûr, ces autres relations et la distance calculée par AD ont pour point commun de satisfaire l'analyse dimensionnelle (le contraire eût été malheureux). Enfin, ces autres relations ne reposent aucunement sur un "coup de bol" et sont à priori valides quelque soit l'âge de l'Univers (âge "zéro" exclu*). Donc mettre sur un même pied ces autres relations et la distance calculée par AD est aller trop vite en besogne.

    *Parce que les théories physiques sur lesquelles elles s'appuient n'y sont plus valides.

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    C'est une extrapolation d'un résultat statistique portant sur un grand nombre de particulee (étoiles à neutron, naine blanche,...) en réduisant jusqu'au minimum le nombre de particules. Dans le cadre de la chimie, il y a trois type de particule (électron, proton, neutron). L'AD en question fait apparaitre une masse au cube. C'est tentant d'essayer ces trois masses et de voir dans quelle échelle de longueur cela tombe.
    "Tentant" ne veux pas dire correct. Dans ma vie, j'ai eu des milliers d'idées "tentantes". Moins de 1% d'entre elles ont résisté à une analyse rigoureuse. Parmi ce 1%, 99% d'entre elles étaient déjà connues (parfois depuis quelques siècles).

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Partant de cette relation, c'est intéressant de (toy)modéliser l'univers observable par les trois particules de la chimie : C'est un hommage à Lemaître et à son atome primitif. Cela semble pertinent puisque les grandeurs physico-numérique coïncident.
    Sauf que l'on sait depuis un moment qu'une telle modélisation n'incluant que électrons, protons et neutrons ne peut être que fausse. Par exemple, la pression de radiation (celle du photon; particule qui n'apparaît pas dans votre liste) a joué un rôle dans l'expansion de l'Univers.


    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Pour la bio, le rapport de masse entre proton et électron se retrouve entre les masses des codons ADN et du proton (et pas qu'avec une seule relation).
    On doit certainement trouver des relations rigoureuses ou statistiques entres protons, neutrons, électron et l'A.D.N., puisqu'il s'agit d'une molécule. Ma question était (et reste) quel rapport avec la cosmologie* ?

    *Non, la réponse "les observations ont été faites par des humains dans les deux cas" n'est pas acceptable.


    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    J'ai cité cet article car chez Springer.
    Les articles plus ciblés sont quasiment interdits sur Futura pour cause de "Pas bon journal".
    Il y a des milliers de "bons" journaux certainement acceptés sur Futura. Le problème que j'observe, c'est que la plupart d'entre eux sont d'un accès payant (il y en a aussi des gratuits, mais c'est plus difficile à trouver). D'autre part, la visibilités des sites conspirationnistes et autres est très élevées. Si l'on a pas l'habitude d'effectuer une recherche sérieuse (avec recoupements) et si l'on a pas une bonne idée des réputations des différents journaux existants, cela peut être compliqué. J'ai récemment découvert (avec un certain effarement) que lorsqu'on tape "cern"* sur youtube, on obtient pratiquement que des liens conspirationnistes (du moins, depuis la Belgique**). Trouver la page youtube officielle du cern dans ce fatras peut être compliqué pour le néophyte.

    *Centre Européen de la Recherche Nucléaire.
    **Google adapte ses pages de résultats en fonction du pays de l'utilisateur et de la langue du navigateur, ce qui ne facilite pas les recherches.

  26. #25
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Dans le cadre de la physique, je ne comprend toujours pas. Cependant, ma boule de cristal me souffle que vous voulez dire "horizon cosmologique" pour "distance observable à vitesse c". Est-ce correct ?
    Oui. du moins l'une des multiples valeurs selon les modèles.
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Quand on compare deux quantités (ici le nombre de grains de sables sur Terre et le nombres d'étoiles dans la voie Lactée), j'entends par "avoir un rapport entre ces deux quantités" l'existence d'une relation mathématique (qui peut être statistique) qui les lient. Si cette relation mathématique est déduite à partir d'une théorie validée, (comme c'est le cas pour la formule liant rayon et masse d'une étoile à neutrons) c'est encore mieux.

    Par conséquent, dire "c'est un humain qui a mesuré ces deux quantités, donc il y a un rapport entre elles" n'entre pas dans cette définition. D'ailleurs, dire cela n'apporte rien, puisque tout ce qui a été mesuré l'a été fait (à ma connaissance) par des humains. Dès-lors n'importe quoi aurait un rapport avec n'importe quoi. Je pourrais par exemple dire que le nombre d'agents de polices buvant un café à 8h34 à Paris a un rapport avec le nombre de neutrons dans le noyau d'Uranium 235.
    C'est le coté ultra simplifié (épuré) de l'AD qui est intéressant. Quand on fait des AD, le coeff sans dimension est souvent proche de 1 parce que les étalons choisis sont à échelle humaine (ie pour une utilisation par des humains). C'est certes un peu tautologique et c'est difficile de faire la part des choses..
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Si dans votre faisceau de coïncidences vous classez les relations que vous m'avez données concernant les étoiles à neutrons et autres, je ne suis pas d'accord.
    la relation entre la distance calculée par AD et le rayon actuel de l'Univers observable ne repose que sur une chose: une analyse dimensionnelle. Ce qui est largement insuffisant.
    De plus, l'une des quantités varie dans le temps alors que l'autre est à priori constante.
    J'ai donné la relation de la naine blanche pour justifier la pertinence de la relation trouvée par AD hbar^2/(G.M^3) car vous appeliez le procédé : numérologie.
    Cette AD est une piste pour au choix faire varier hbar, G (déjà tenté par Dirac), les masses de la chimie ou rendre constant le rayon observable.

    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Les autres relations (rayon d'une étoile à neutron, rapport d'abondance hydrogène/hélium, etc.) s'appuient sur des théories validées (relativité générale, modèle cosmologique standard, mécanique quantique) et sont calculées à partir d'équations issues de ces théories. Bien sûr, ces autres relations et la distance calculée par AD ont pour point commun de satisfaire l'analyse dimensionnelle (le contraire eût été malheureux). Enfin, ces autres relations ne reposent aucunement sur un "coup de bol" et sont à priori valides quelque soit l'âge de l'Univers (âge "zéro" exclu*). Donc mettre sur un même pied ces autres relations et la distance calculée par AD est aller trop vite en besogne.
    *Parce que les théories physiques sur lesquelles elles s'appuient n'y sont plus valides.
    L'AD (sans rien connaître de la théorie) permet de trouver ces relations en une ligne de calcul en partant des constantes fondamentales et des grandeurs pertinentes.
    Je trouve cela plus efficace que la théorie.
    Cela colle évidement au niveau dimensionnel, mais également au niveau numérique.
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Sauf que l'on sait depuis un moment qu'une telle modélisation n'incluant que électrons, protons et neutrons ne peut être que fausse. Par exemple, la pression de radiation (celle du photon; particule qui n'apparaît pas dans votre liste) a joué un rôle dans l'expansion de l'Univers.
    En physique, tout est toujours faux, dans le sens imprécis et affinable. Cette AD est une première approximation obtenue avec les masses les plus conséquentes.
    En second temps, on peut affiner avec la masse du neutrino et/ou du photon (Une AD donne 10^-69 kg pour la masse d'un photon).
    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    On doit certainement trouver des relations rigoureuses ou statistiques entres protons, neutrons, électron et l'A.D.N., puisqu'il s'agit d'une molécule. Ma question était (et reste) quel rapport avec la cosmologie* ?
    S'il existe des relations simples, obtenue par AD, correctes dimensionnellement et numériquement entre cosmo et chimie et qu'il existe le même genre de relation entre chimie et biologie, par transitivité évidente...il y a un rapport dimensionnel et numérique.

    Cordialement.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  27. #26
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Bonjour,
    Les constantes fondamentales , et la masse des neutron, proton et électron sont-elles pertinentes pour estimer une longueur de la cosmologie quantique?
    Cordialement.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  28. #27
    invite741b54dd

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Bonjour,

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Les constantes fondamentales , et la masse des neutron, proton et électron sont-elles pertinentes pour estimer une longueur de la cosmologie quantique?
    En ce qui concerne les trois dernières, elles le sont autant que la masse du Capitaine.

    Cordialement

  29. #28
    curieuxdenature

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Bonjour,
    Les constantes fondamentales , et la masse des neutron, proton et électron sont-elles pertinentes pour estimer une longueur de la cosmologie quantique?
    Cordialement.
    Bonjour

    Pourquoi ces masses précisement ?
    Pourquoi les masses Me Mµ Mt ne seraient-elles pas plus appropriées pour déterminer une longueur cosmologique ?
    Et pourquoi pas les masses des 3 quarks puisqu'ils composent Mp et Mn ?

    Quel sens physique peut-on donner à hbar/Mp * hbar/Mn * 1 / (G * Me) ?

    A mon sens on peut faire autant de corrélations merdiques qu'on veut, encore faut-il expliquer pourquoi on doit ne retenir que certaines et balayer les autres sous le tapis...
    L'electronique, c'est fantastique.

  30. #29
    stefjm

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Bonjour,
    Mes excuses pour le retard,
    Citation Envoyé par curieuxdenature Voir le message
    Pourquoi ces masses précisement ?
    Parce que ce sont les 3 masses les plus précisément mesurées de la chimie atomique et nucléaire.
    Parce que l'AD donne une relation avec une masse au cube.

    Citation Envoyé par curieuxdenature Voir le message
    Pourquoi les masses Me Mµ Mt ne seraient-elles pas plus appropriées pour déterminer une longueur cosmologique ?
    Parce que particules à très faible durée de vie.
    Parce que l'ordre de grandeur expérimental ne colle pas.
    Parce que les masses de ces particules sont moins bien mesurées.
    On peut en tenir compte pour corriger au second ordre la longueur obtenue avec les 3 masses principales.
    Citation Envoyé par curieuxdenature Voir le message
    Et pourquoi pas les masses des 3 quarks puisqu'ils composent Mp et Mn ?
    Jamais tout seuls.
    Masses mal, voir très mal mesurées.

    Citation Envoyé par curieuxdenature Voir le message
    Quel sens physique peut-on donner à hbar/Mp * hbar/Mn * 1 / (G * Me) ?
    C'est à la théorie de gravitation non relativiste quantique de donner la réponse.

    Citation Envoyé par curieuxdenature Voir le message
    A mon sens on peut faire autant de corrélations merdiques qu'on veut, encore faut-il expliquer pourquoi on doit ne retenir que certaines et balayer les autres sous le tapis...
    C"est le principe de la physique de se plier à l'expérience.
    Rien de nouveau.

    Cordialement.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  31. #30
    curieuxdenature

    Re : A Coherent Resonant Cosmology Approach and its Implications in Microphysics and Biophysics

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    C"est le principe de la physique de se plier à l'expérience.
    Rien de nouveau.

    Cordialement.
    Bonjour

    cela ne te choque pas ces gens qui font des corrélations et qui laissent aux autres le soin découvrir la /les théorie(s) qui devraient en découler ?
    Pour ma part, j'ai tendance à penser qu'ils ont un égo particulièrement surdimensionné, et ce, d'autant plus qu'ils n'accéderont jamais à un labo de physique qui fait de la recherche fondamentale.
    Bref, c'est vraiment perdre son temps que de prendre au sérieux ce que pondent ces guignols.
    L'electronique, c'est fantastique.

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