Bonjour,
je cherche un scientifique passionné de l'univers. j'ai eu une vision de l'univers suite à un exercice de pensée. Je n'y connaissais pas grand chose à l'époque, pas beaucoup plus aujourd'hui. Je cherchais à faire un lien entre univers et esprit. Cette vision m'obsède depuis. je suis graphiste, j'ai fait des schémas.
D'après ce que j'entend (vulgarisation) rien ne s'y oppose mais c'est complètement différent, je ne peux pas savoir si ça tient la route puisque je ne connais pas les maths, je ne sais pas très bien écrire non plus.
je vais essayer de poser ma question ici, (le résultat de mon exercice de pensé).
Imaginons un univers vide (c'est autant possible que de faire disparaitre le soleil pour démontrer la théorie de nweuton sur la gravité). Je place 2 volumes d'energie dans cet espace, je ne parle pas de matière. je ne sais pas si c'est possible de faire un volume d'energie avec de la matière.
Un volume d'energie dans un espace vide ne peut être que sphérique et ne pas comporter de densité.
Donc nous avons deux sphères. Sphère A de diametre 1 et sphère 2 de diamètre 2, à une distance quelconque (l'une étant deux fois plus grande que l'autre). Si je les pose sur ma feuille vide, une première force va mettre mes deux éléments en mouvement : la gravité.
Je me retrouve avec une force qui se dirige vers mes deux centres de gravité, ce qui leur crait un centre de masse commun.
Imaginez cette force qui s'arrête à la surface de la sphère (bien avant de nous ateindre puisque nous ne sommes visiblement pas energie), un peu comme le photon s'arrêterait à la surface des matières opaque.
On arrive à quelque chose qui ressemble à la force Cazimir dans un espace unique où la distance qui entour chaque objet determine sa direction.
Mon exemple est facile, on peut tout prévoir de leurs destinées. Il y a une attraction commune, ce qui va les mettre en mouvement,
la sphèreA va se diriger vers la sphère B deux fois plus rapidement que la sphèreB. Le temps, leur point de colision, leur fusion,
leur deceleration jusqu'à l'arrêt est determiné au moment où je pose mes sphères dans cet espace vide.
Durant cet évenement, on peut trouver un point particulié de l'espace temps entre la colision et la fusion, qui empechera la symétrie entre le temps de la decélaration et de l'accélération.
Si ça correspond à l'observation, alors nweuton avait raison. Si on fait disparaitre le soleil, l'information est recu instantanément par la terre.
Si ce que j'ai vu dans mon imaginaire fonctionne, on peut tout calculer, l'univers devient fini, sans remettre en cause la relativité générale . Nous devenons nous-même des sphères d'energie (par conversion) dans un temps bien plus large que celui qu'on percoit.
Je vois à travers ça, deux forces : une toujours entière et une fractionnée en plusieurs univers.
Un espace unique qui possede un point le plus éloigné de tout et des temps qui luttent en son centre.
Si mon idée pouvait s'extrapoler sur la réalité connu, ca démontrerait que notre univers se reproduit parmis des milliards, voir bien plus, (ca peut être calculable).
Dans mon espace le "rien" existe à l'endroit le plus éloigné de nous, là où rien arrive. S'y raprocher produirait une sorte de solidification par le refroidissement de l'espace général. Ainsi l'intérraction forte serait produit par la distance et l'interaction faible par le temps ( energie de l'espace = energie de tous les temps). La même force d'attirance agirait sur tout obget grace à l'espace autours, qui deviendrait plus grande puissance 32 que l'espace de Planck. Ce qui peut de loin empecher les quarkz de se séparer sous peine de ...
Cette sphère d'energie que chaque bout de matière possede par intermitence dans le temps invisible, peut largement deformer l'espace temps. Si les mathématiques parlent si bien, c'est peut être qu'ils sont issus d'une sphère ?
Bon ok, exusez moi pour mon jargon, je me trompe surement, mais ça serait facile à verifier, si un expers prennait quelques heures
devant un café pour m'expliquer pourquoi vous n'avez pas pensé à ça ? c'est carément accéssible et simple.
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