bonsoir,j'aimerai savoir pourquoi les thèses sur l'anti-gravité pouvant permettre la mise au point de nouveaux moteurs sont classifiées aux Etats-unis;comme par exemple celle de Werhner von braun
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bonsoir,j'aimerai savoir pourquoi les thèses sur l'anti-gravité pouvant permettre la mise au point de nouveaux moteurs sont classifiées aux Etats-unis;comme par exemple celle de Werhner von braun
Salut,
1) il n'y a pas de thèse d'antigravité car elle n'existe pas.
A part dans les romans de science fiction, aucune théorie physique ne permet de penser qu'on puisse découvrir un jour "l'antigravité".
Tu comprendrais certainement pourquoi si tu connaissais un peu ces lois physiques, comme la RG, qui décrivent le phénomène de gravitation sans avoir besoin un seul instant de faire référence a une "anti-gravité".
La gravitation, c'est la déformation de l'espace temps sous l'effet des grosses masses.
Selon la RG, pour avoir une anti-gravité, il faudrait qu'il existe de la masse négative... donc soit c'est une quête stupide (car ça n'existe pas), soit il faut intégralement changer de physique en jettant la notre aux orties.
Telle est l'improbable postulat initial obligatoire (si on veut qu'elle existe) de "l'anti-gravité".
2) von Braun n'a strictement rien a voir avec ces histoires farfelues, c'est l'homme des missiles allemands (V1 et V2) qui a ensuite été récupéré par les USA pour faire le programme Apollo (avec redstone et mercury en préambule).
En résumé, faudrait éviter de mélanger les choux et les carottes sur un forum scientifique. Car on est pas a pataphysique.com ici, mais sur un portail scientifique.
Il est important, quand on veut comprendre quelque chose en y connaissant rien, en physique dans ton cas et dans notre exemple, de d'abord prendre le soin de savoir de quoi on parle avant de sortir du chapeau des trucs absurdes de ce genre. En gros, tu aurais du te renseigner sur ce qu'est la gravitation avant de venir ici nous déballer ces niaiseries a propos de "l'antigravité".
Car il faut comprendre que ce genre de question fait perdre tout crédit a leur auteur, et donnent plus envie de botter le cul que d'apporter la réponse que je viens de te faire.
Bonjour,
Je suis tout à fait d'accord avec Carcharodon.
Farallon confond peut-être l'anti-gravité et les moyens de contrebalancer la gravité, comme la sustentation électromagnétique ?
Farallon confond peut-être les travaux de von Braun et ceux de Thomas Townsend Brown (1905-1985), à partir de 1921 et jusque dans les années 1960 ?
En résumé, pas de voiture volante, d'avion hypersonique ou de vaisseau orbital ou interplanétaire basés sur ce principe, qui n'est pas de l'anti-gravité évidemment, mais consiste en la manifestation de lois physiques connues.
Par contre, les fusées de von Braun ont fonctionné, plutôt pas mal d'ailleurs !
Cordialement.
Dernière modification par Geb ; 29/11/2012 à 12h56.
N'oublions pas le programme "Gemini" qui à permis de mettre au point les rendez-vous sur orbite.
Connais toi toi-même (Devise de Socrate inspiré par Thalès)
Bonjour,
Je suis étonné que ce sujet ne soit pas encore fermé (pratiquement 2 jours !).
Je sais qu'il va y avoir des réponses à mon message, genre "les modos ne sont pas là 24/24" ou autres, c'est juste pour dire que je suis étonné, car d'habitude, c'est plus rapide.
C'est normal les modos sont en grève !
En attendant le verrouillage du topic, j'apporte ma modeste pierre à l'édifice antigravitationnel
La masse et l'énergie déforment l'espace-temps, et cette déformation est appelée gravitation. Il existe des théories proposant que la gravitation serait une onde, émise par la masse et l'énergie.
Cela pourrait vouloir dire que les ondes gravitationnelles pourraient être annulées par une "contre-onde" antigravitationnelle.
Mais RIEN n'a pu être prouvé. N'ayons pas peur des mots : en l'état actuel de nos connaissances, l'antigravitation relève de la science-fiction.
Par contre l'anti-matière, elle, existe et comme jamais on en a réunit une quantité suffisante pour en faire une masse telle qu'on puisse mesurer son influence gravitationnelle, peut-être, je dis peut-être, je n'affirme rien. En sciences il ne faut jamais dire jamais.Selon la RG, pour avoir une anti-gravité, il faudrait qu'il existe de la masse négative... donc soit c'est une quête stupide (car ça n'existe pas), soit il faut intégralement changer de physique en jetant la notre aux orties.
Tel est l'improbable postulat initial obligatoire (si on veut qu'elle existe) de "l'anti-gravité".
Connais toi toi-même (Devise de Socrate inspiré par Thalès)
Corrige moi si je me trompe, mais la RG n'interdit la masse negative que sur base d'un postulat des conditions sur l'energie (masse negative impliquant une condition sur l'energie negative). Les equations de la RG peuvent tres bien focntionner avec toute une serie de valeurs negatives. Elles n'ont par contre, aucune application pratique et sont donc, de ce point de vue, uniquement theoriques.
Comme vanos le fait egalement remarquer, on n'a toujours pas de confirmation experimentale que l'anti-matiere a une masse positive. Elle est tres probablement positive, mais on en a pas la preuve absolue.
Pour les applications cependant, c'est de la science-fiction vu que l'on n'a aucune preuve que cela existe ou puisse meme theoriquement exister.
Je tiens la discussion a l'oeil si ca part dans le decor...
T-K
Dernière modification par Tawahi-Kiwi ; 30/11/2012 à 07h23. Motif: mod
If you open your mind too much, your brain will fall out (T.Minchin)
Salut,Geb a raison j'ai confondu sustentation électromagnétique et antigravité.Pas très gratifiant;je ne me suis pas comporter en scientifique. Grosse bourde
Ce que tu dis la est très intéressant, car ça montre les limites des modèles mathématiques : des solutions "permises" par le modèle n'existent parfois pas.Corrige moi si je me trompe, mais la RG n'interdit la masse negative que sur base d'un postulat des conditions sur l'energie (masse negative impliquant une condition sur l'energie negative). Les equations de la RG peuvent tres bien focntionner avec toute une serie de valeurs negatives. Elles n'ont par contre, aucune application pratique et sont donc, de ce point de vue, uniquement theoriques.
autre exemple : les trous blancs.
Un modèle a pour objet de reproduire le plus fidèlement possible la réalité.
Or, il faudrait un modèle, une théorie "parfaite" pour que ça soit le cas et qu'il ne puisse y avoir aucun "artefact".
Cependant, nos modèles ne seront jamais parfaits, il faut donc toujours prendre un soin extrême, comme le font d'ailleurs les professionnels, a ne pas accorder d'importance a des solutions éventuelles, tant que celles-ci ne sont pas constatées par l'observation.
Excuses moi, cependant, farallon, pour le ton trop agressif de mon post initial... (comme ton MP me l'a fait remarquer...)
Deux choses totalement différentes, bien entendu : la sustentation électromagnétique ne t’affranchis, en aucune façon, des effets de la gravitation.Envoyé par farallonj'ai confondu sustentation électromagnétique et antigravité
Elle les "contre", en un sens, mais les élimine pas => si tu lâches un truc dans ton engin sustenté, il tombera toujours au sol, il ne lévitera pas.
C'est vrai que c'est laid ça, merci vanos, ça m'a échappéTelle est l'improbable postulat
comme l'a dit vanos nos théories ne sont que le reflet de nos connaissances actuelles.Si RG et MQ réussissent à fusionner,ça donnera certainement un cocktail très interessant pour la physique"Newton était loin d'imaginé les théories de la MQ"
La MQ comme la RG ne seront pas infirmées par une éventuelle théorie de grande unification. Ces théories sont valables sur leurs très larges domaines de validité et elles offrent des prédictions extrêmement précises. Il est très peu probable qu'une révolution théorique vers une théorie du tout change complètement la technologie du futur dans beaucoup de domaines (comme ce fut le cas pour la RG et surtout la MQ).
Après tout, la physique des particules s'intéressent désormais des phénomènes extrêmement fortuits et à des particules insaisissables (comme la matière noire) auquel il est difficile d'imaginer des applications pratiques (c-à-d de nouvelles technologies). En ce qui me concerne, la fusion nucléaire pour des applications en matière de propulseurs spatiaux aurait déjà quelques beaux siècles devant elle si on parvient à la développer.
Je ne parle évidemment pas des tokamaks, qui auraient une masse spécifique risible (~50 kg/kW) en sus d'être complètement inadapté à la microgravité, mais plutôt à des concepts avancés (et pas encore démontrés) comme le Polywell, avec une masse spécifique (théorique) maximale phénoménale, d'environ 200 kW/kg (10000 fois mieux qu'un tokamak) pour une impulsion spécifique maximale de 1,2 million de secondes !
Cordialement.
Dernière modification par Geb ; 01/12/2012 à 15h03.
Je sais que les questions sur la positivité de l'énergie sont assez fermées, mais à ma connaissance il ne s'agit justement pas de théorème, mathématique mais d'hypothèse de vraisemblance (violable par la MQ par exemple). D'autre part je vais vous décevoir, mais la répulsion de la gravité en RG est observée quotidiennement, ça n'est donc pas si simple que "masse=énergie=attraction" , sinon on en serait resté à Newton et on n'utiliserait pas des tenseurs. Je m'explique: la gravité telle qu'on la voit, cad un "champ de force" n'est que l'approximation de la dynamique des corps (plus ou moins) inertes dans un espace courbe. Si par exemple on ajoute une constante gravitationnelle, qui n'a rien d'une "énergie négative", on obtient une "répulsion" entre les corps distants, répulsion qui augmente avec la distance, en fait on pourrait dire que c'est une "pression" gravitationnelle négative.
Il y a même des gens qui ont envisagé des vaisseaux à modification de constante gravitationnelle, mais de manière aussi aboutie que le "warp drive" d'alcubierre autant dire sans avoir la moindre idée de comment faire.
Il y a pas mal de gens qui considèrent que c'est de la gravité répulsive, ça s'entend et ça se lit régulièrement, et pour cause puisque c'est bien de la gravité, mais pour être exact, la source n'est pas localisée et n'est pas reliée à la masse d'un objet, on ne peut donc pas dire c'est "cet objet qui me repousse". De mémoire on peut retrouver une composante du tenseur énergie impulsion ayant un effet répulsif avec une source localisée, sans violer les conditions sur l'énergie, par exemple regardez la métrique de reissner nordstrom, le terme dépendant de la charge électrique se comporte, de mémoire, comme un terme répulsif.
Un autre exemple que "masse= attraction" est une mauvaise vision est l'entrainement de la métrique, un corps très massif en rotation "entraine" l'espace temps avec lui même dans sa rotation, un corp peu massif qui tomberait dessus serait dévié... Que se passerait-il si deux corps très massifs tournaient l'un à coté de l'autre, dans des sens opposé? est-ce que les deux s'entrainent l'un et l'autre? Est-ce qu'il éjectent quelque chose derrière eux? Bref, juste pour dire que la RG c'est pas simple du tout, et on ne fait rien à base de "c'est évident" la dedans. Moi masse négative, ça ne m'a jamais paru plus loufoque que charge négative, ou monopole magnétique (enfin, ça je trouve ça très bizarre), seulement on en a jamais observé, et ça aurait des propriétés dynamiques particulières, par exemple celle d'accélérer dans le sens contraire de la force qu'on exercerait.
salut kalish ce papier démontre mathématiquement ( résultats négatif de l'équation de Tsiolkovski sur une modification de la masse intertielle ) que comparativement aux propulsion dites classiques une inversion négative n'apporterait aucun bénéfices en matière de propulsion spatiale.
http://arxiv.org/ftp/physics/papers/0412/0412176.pdf
l'antigravité ne respecte pas les lois de la relativité générale, les équations d’Einstein ne produisent pas de géométrie négative, mais néanmoins l'on peut y inclure une masse négative, la relativité générale n'écarte pas le fait qu'une masse négative puisse exister, tout comme elle n'écarte pas l'existence des trous de vers etc ... c'est des concepts mathématique discutables.
a+
Dernière modification par cancerman ; 30/01/2013 à 13h57.
Salut, je vois pas trop le rapport avec ce que j'ai dit, je ne comprends pas tout de ce que tu as dit:
Le papier dit d'après l'abstract, que ça n'est pas vraiment efficace/rentable de modifier la gravité, Tajmar est justement un de ceux qui pense qu'il est tout à fait possible de fabriquer de l'antigravité dans son garage puisque il s'était fait connaître pour son expérience d'anneau supraconducteur tournant produisant un effet "antigravitationnel" bien plus grand que celui prédit par la RG. Malheureusement son expérience était mauvaise il l'a raté et s'est décrédibilisé, ou plutôt on l'a mis au ban, ce que je trouve très dommage car il avait simplement un enthousiasme un peu trop fort. C'est vraiment une triste histoire il a quand même travaillé toute sa vie sur le couplage entre matière et gravité.salut kalish ce papier démontre mathématiquement ( résultats négatif de l'équation de Tsiolkovski sur une modification de la masse intertielle ) que comparativement aux propulsion dites classiques une inversion négative n'apporterait aucun bénéfices en matière de propulsion spatiale.
Moi je n'ai pas dit que c'était rentable, je n'en sais rien, par exemple je pense que le warp drive est une grosse anerie depuis longtemps justement pour des raisons énergétique et de contact avec la bulle, et de faisabilité, mais ça ne veut pas dire que la relativité n'est qu'une interaction ayant des effets très simple à prédire. Le meilleur exemple est l'orbite d'un corps en RG, le simple terme de moment cinétique modifie fortement le rayon de l'orbite, c'est un peu comme si il y avait une nouvelle force "en plus".
Je te conseille de regarder ce qu'est le gravitomagnétisme également. Comme le magnétisme il fait apparaitre une "force" perpendiculaire au mouvement, ça n'est donc pas forcément dans la direction de la masse, et d'ailleurs la valeur du champ "gravitoélectrique" change aussi avec le déplacement d'une masse. Si on ne peut pas appeler ça de "l'antigravité", c'est en tout cas loin de masse= énergie= attraction, il ne faut donc pas être catégorique et dire "c'est simple on ne peut pas car les masses attirent les objets".
Le tout est de savoir quelle est la forme de la géodésique que parcourt une masse test, par exemple, le terme électrique dans une géométrie de Reissner Nordstrom fait bien apparaitre un terme "répulsif" à petite distance. J'ai déjà dit et cité tout ça, donc si tu veux dire que c'est faux, il faut citer les mêmes choses et me dire en quoi c'est faux.
C'est possible mais il me faut des sources ou des preuves.l'antigravité ne respecte pas les lois de la relativité générale
Je ne sais pas ce que ça veut dire, et je te mets au défi de m'expliquer ce que ça veut dire., les équations d’Einstein ne produisent pas de géométrie négative
Ah ben du coup c'est une belle contradiction avec l'afirmation d'avant avant. La relativité générale pour les masses faibles se résume à l'interaction newtonienne, c'est d'ailleurs essentiel pour trouver la valeur de la constante que multiplie le terme temporel dans la géométrie de Schwarschild. Donc comme dans l'approximation newtonienne F=Gm1m2/r², si une des masses est négative, la masse positive sera repoussée par la masse négative, et la masse négative sera attirée par la masse positive. 9a ne pose pas de problème au niveau de l'énergie car la masse négative a alors une énergie cinétique négative. Ce serait franchement bien, moi non plus je ne crois pas aux masses négatives, et je ne connais pas les preuves robustes, si elles existent, pour dire que ça ne peut pas exister, je sais juste qu'il y a des conditions de vraissemblance sur la positivité de l'énergie., mais néanmoins l'on peut y inclure une masse négative
en fait je ne pense pas que l’expérience de Martin tajmar soit "mauvaise" après si l'effet n'est pas un bruit de fond ou autres erreur de senseurs ce ne sera pas utilisé dans l'industrie pour construire un "moteur spatial" ni à faire de la gravitation artificielles sur l'ISS soyons sérieux un instant.
Je vois pas trop les débouchés industrielles possible sauf pour la théorie, la recherche sur les supraconducteurs à température ambiante me semble beaucoup plus intéressantes.
On reparlera du warp si tu veux la je dois aller embaucher au bureau
a+
Non c'est une histoire qui a fait grand bruit, c'est déjà vieux, il a trouvé un "effet" anormal et d'autres ont essayé de reproduire l'expérience, conclusion: il n'y a rien, mauvaise expérience. J'imagine que l'idée c'est de se dire que si jamais on tombe sur quelque chose d'inattendu, même faible, alors on peut trouver des moyens de l'amplifier une fois compris. Vu ses sujets de recherche, je pense vraiment que son objectif est de construire un truc applicable au spatial.
On ne sait pas trop ce qu'on pourrait faire si on savait manipuler la gravité de manière importante, mais c'est sûr qu'il y aurait du potentiel, ça ne servirait probablement pas à se propulser à une vitesse faramineuse, mais plutôt à grimper un puits de potentiel en s'appuyant sur...rien à part l'espace. Même si on ne construit pas un système de gravité artificielle, on peut imaginer que modifier le "poids" d'un objet, même de quelques % peut-être très intéressant vu le prix de mise en orbite. Si on devait dépenser exactement l'énergie qu'il faut pour être en orbite, on ferait des sacrées économies, entre "l'écrantage" total de la gravité et la situation actuelle il y a de la marge. Je ne me souviens plus des chiffres, mais il y a des économies à faire de plusieurs ordres de grandeurs.
Pour le warp c'est un autre sujet que je ne connais pas assez, mais je ne crois pas trop à l'idée: "dans 5000 ans on pourra surement le faire", nous sommes déjà à un stade très avancé technologiquement et nous n'avons pas du tout idée de toutes les étapes pour parvenir à ce truc, nous ne connaissons rien de sa faisabilité, comment manipuler de la masse négative si jamais ça existait, comment être en contact avec la bulle sans qu'il y ait un déplacement opposé, etc... Je ne maitrise pas totalement l'idée (je ne vois même pas la bulle dans la métrique d'alcubierre), je ne m'y suis jamais vraiment intéressé, donc je ne peux rien dire à propos, et puis ça n'est pas le sujet, donc bon...
et bien c'est tout à fait permis en RG et géométrie négative ça n'a pas de sens, de plus je ne vois pas comment on infère courbure négative-> antigravité.Désolé je ne me retiens plus !
ça veut simplement dire courbure négative !
et je tien à préciser que la "courbure négative" n'est pas une courbure spatio temporelle à ma connaissance, mais juste spatiale. Concernant la véritable coubrure en relativité générale, il s'agit d'un tenseur (d'ordre 4) de weyl ou de riemann http://fr.wikipedia.org/wiki/Tenseur_de_Riemann (on peut peut-être en définir une autre) par conséquent je ne vois pas ce que c'est quand on dit courbure positive ou négative, peut-être parle tu de la double contraction du tenseur qui est le scalaire de ricci...donc je demande bien à ce qu'on me définisse cette géométrie négative svp.
La gravité est liée la masse. Mais la masse d'un corps n'est-elle pas liée à sa vitesse de déplacement ?
Plus la vitesse d'un corps se rapproche de la vitesse de la lumière, plus sa masse temps vers l'infini.
Donc, plus la gravité augmente.
Possible ou pas concernant un phénomène anti-gravitationnel, si l'on parle de propulsion anti-gravité cela sonne comme un non-sens à première vue, puisque la vitesse de propulsion affectera la masse donc la gravité.
D'autre part, ce qui donne une masse aux particules serait le boson de Higgs qui aurait été découvert en 2012.
A moins que l'on arrive à changer un état particulier de ce boson (si il existe), ce qui modifierai les forces émises dans le champs de Higgs, je ne vois pas comment on pourrait passer de la gravité à l'anti-gravité. Quête impossible selon moi.
D'autre part, imaginons qu'on arrive a créer un champs anti-gravitationnel à toutes les particules constituant un corps. Que se passerait-il ? Il serait probablement propulsé mais pour aller où ?
On ne pourrait pas orienter sa trajectoire, puisqu' il serait repoussé par les autres corps dont la gravité est opposée à la sienne , jusqu'à trouver une position stable, flottant dans l'univers.
On pourrait aller jusqu'à emmètre l'hypothèse qu'il existe des planètes dont le champs gravitationnel est contraire à la notre. Pour les gens qui vivraient la-bas, il ressentirai la gravité tout comme nous la ressentons sur notre planète. Mais au lieu d'être attirée par ces planètes, la notre en serait repoussée.
Prix Nobel de pataphysique 2014
1. La masse d'un corps n'est pas liée à sa vitesse de déplacement (manquerait plus que ça!). Grossièrement : plus un objet va vite, plus il aura de l'inertie ; et, plus il dégagera de l'énergie s'il rencontrait un autre objet.
2. Si la masse et la gravité d'un objet augmentaient en fonction de la vitesse, qu'en serait-il lorsque l'objet ne bouge pas ?Un objet très immobile serait plus léger qu'un objet peu immobile ? Eugène Ionésco s'en délecterait...
Bjr à toi,
Assis sur une chaise sur Terre au pole nord ou a l'équateur...tu te " déplaces à quelle vitesse" ?? ( d'ailleurs par rapport à QUOI !!).
Je doute que la masse change ou que tu sois dans ces deux lieux .
Bonne journée
En fait le prix nobel de pataphysique reviendrai à JPL d'après ce lien:
http://forums.futura-sciences.com/de...univers-2.html
La théorie de la relativité serait donc fausse selon vous ?On peut expliquer les choses de façon plus claire : la relativité démontre que la masse d'un objet en mouvement dépend de sa vitesse (contrairement à ce que pensait la mécanique newtonienne pour qui la masse était une propriété immuable des corps). Et cette masse tend vers l'infini pour une vitesse égale à celle de la lumière. Autrement dit il est impossible d'atteindre cette vitesse parce qu'il faudrait appliquer une force infinie à l'objet pour y arriver.
Aussi je lis sur wikipedia la chose suivante :
Donc, la vitesse pourrai agir sur l'inertie mais pas sur la gravité...La masse inerte est une propriété de la matière qui se manifeste par l'inertie des corps. Concrètement, une masse de 20 kg résiste deux fois plus à l'accélération qu'une masse de 10 kg.
La masse grave (du latin gravis, lourd) est une propriété de la matière qui se manifeste par l'attraction universelle des corps. Concrètement, une masse de 20 kg crée autour d'elle un champ de gravité deux fois plus intense qu'une masse de 10 kg ; par ailleurs, en présence d'un même champ de gravité extérieur (celui de la Terre par exemple), la masse de 20 kg subira une force (le poids) deux fois plus grande que la masse de 10 kg.
À part le fait d'être toutes les deux proportionnelles à la quantité de matière (proportionnalité approximative comme cela a été montré à partir du début du XXe siècle), la masse grave et la masse inerte semblent a priori n'avoir aucun lien entre elles et constituer deux propriétés de la matière tout à fait indépendantes l'une de l'autre : on pourrait imaginer deux corps de natures différentes, ayant la même masse inerte et des masses graves différentes.
Comme le dit Kalish, une vitesse (ou une immobilité) par rapport à quoi ? Il faudrai se positionner dans un référentiel absolu, dans lequel l'objet serait totalement immobile, alors que dans le référentiel terrestre celui-ci irait surement à une extreme vitesse et suivrai une certaine courbe en fonction de la rotation, de la révolution autour du soleil, etc...
Hors, il n'existe pas de référentiel absolu, donc rien n'est vraiment immobile.
Et j'ai tendance à dire que si il y avait un référentiel absolu, il n'y aurai pas de relativité, et tout serai immobile.
La vitesse dépend du référentiel. Mais si la masse dépend de la vitesse d'après la théorie de la relativité, ne pourrait-elle pas aussi dépendre du référentiel ?
Cher Soulscryer,
JPL parle de masse inertielle, et ce n'est pas exactement le même chose que la masse tout court. Ensuite, la masse tout court ne peut pas augmenter en fonction de la vitesse : c'est l'inertie (ou plutôt la masse inertielle qui augmente en fonction de la vitesse, et le référentiel par rapport auquel on compte la vitesse n'a rien à voir avec l'augmentation de l'inertie). Ensuite, la masse (grave ou inertielle) ne peut pas dépendre du référentiel qui permet de mesurer la vitesse.
Ne le prends pas mal, mais tu dois prendre conscience de tes lacunes, pour chercher les infos au lieu de contredire avec des arguments invalides.
Cordialement,
A.
La vitesse agit sur l'inertie, c'est une certitude observationnelle. Dans la 2e partie de la phrase, tu te contredis toi-même, puisque tu dis dans le message #22 (que j'ai cité précédemment) : "Plus la vitesse d'un corps se rapproche de la vitesse de la lumière, plus sa masse temps vers l'infini. Donc, plus la gravité augmente" (ce qui est une énorme connerie, car la vitesse n'agit pas sur la gravité).
Je ne me contredis pas, c'est seulement un changement d'opinion suite à mes recherches mises en citation plus haut, qui m'ont permis de comprendre que lorsqu'on parle de masse, cela ne suffit pas. Et que dans mon cas, c'est la masse inertielle qui rentre en jeu.
J'admet que ma première déduction erronée provenait de mon ignorance concernant les deux types de masse, mais votre explication aurait sans doute été plus avantageuse si elle avait été formulée avant mes recherches. Cela aurait été plus bénéfique pour le sujet initial qui a été un peu perdu de vue.
Ce qui m'amène a citer la suite de ma réflexion, qui ne concerne pas la relation entre vitesse et masse.
D'autre part, ce qui donne une masse aux particules serait le boson de Higgs qui aurait été découvert en 2012.
A moins que l'on arrive à changer un état particulier de ce boson (si il existe), ce qui modifierai les forces émises dans le champs de Higgs, je ne vois pas comment on pourrait passer de la gravité à l'anti-gravité. Quête impossible selon moi.
D'autre part, imaginons qu'on arrive a créer un champs anti-gravitationnel à toutes les particules constituant un corps. Que se passerait-il ? Il serait probablement propulsé mais pour aller où ?
On ne pourrait pas orienter sa trajectoire, puisqu' il serait repoussé par les autres corps dont la gravité est opposée à la sienne , jusqu'à trouver une position stable, flottant dans l'univers.
On pourrait aller jusqu'à emmètre l'hypothèse qu'il existe des planètes dont le champs gravitationnel est contraire à la notre. Pour les gens qui vivraient la-bas, il ressentirai la gravité tout comme nous la ressentons sur notre planète. Mais au lieu d'être attirée par ces planètes, la notre en serait repoussée.
Je ferai des efforts la prochaine fois
En d'autres mots : "Si mon oncle n'en avait pas, il serait ma tante".Ce qui m'amène a citer la suite de ma réflexion, qui ne concerne pas la relation entre vitesse et masse
"D'autre part, ce qui donne une masse aux particules serait le boson de Higgs qui aurait été découvert en 2012.
A moins que l'on arrive à changer un état particulier de ce boson (si il existe), ce qui modifierai les forces émises dans le champs de Higgs, je ne vois pas comment on pourrait passer de la gravité à l'anti-gravité. Quête impossible selon moi.
D'autre part, imaginons qu'on arrive a créer un champs anti-gravitationnel à toutes les particules constituant un corps. Que se passerait-il ? Il serait probablement propulsé mais pour aller où ?
On ne pourrait pas orienter sa trajectoire, puisqu' il serait repoussé par les autres corps dont la gravité est opposée à la sienne , jusqu'à trouver une position stable, flottant dans l'univers.
On pourrait aller jusqu'à emmètre l'hypothèse qu'il existe des planètes dont le champs gravitationnel est contraire à la notre. Pour les gens qui vivraient la-bas, il ressentirai la gravité tout comme nous la ressentons sur notre planète. Mais au lieu d'être attirée par ces planètes, la notre en serait repoussée".