Les fluctuations moyennes du F.D.C étant d’un cent-millième, le franchissement d’un seuil d’hétérogénéité compatible de la formation de galaxies nécessite d’introduire une composante non baryonique peu diffusant donc massive de l’ordre du Gev. Mais James Webb aurait détecté des formations galactiques à plus de z=12 ce qui conduit à des surdensités de cette composante de l’ordre du centième à Z=1000 (époque F.D.C.). Or que ce soit la composant baryonique ou non baryonique elles trouvent tous deux leur origine dans les fluctuations de la fin de période inflationnaire. La composante non baryonique induit un facteur de couplage de 10-15 du champ scalaire avec les autres champs. Un tel couplage moins que minimaliste tend le modèle jusqu’à la perte de crédibilité. D’autre part il existe des formations super-galactiques supérieures à 100MParsecs qui semblent incompatibles des composants non baryoniques massives nécessaires pour engendrer des fluctuations de taille des galaxies et justifiant au contrainte une composante non baryonique de l’ordre d’une fraction d’électron volt.
Globalement le modèle si élégant de l’inflation et de la croissance de germes post inflationnaire est-elle encore compatible de ces observations profondes à petite échelle et de la structure en bulles à très grande échelle ?
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