Bonjour Je souhaiterai ouvrir un débat sur un problème non encore compris par la science : la cognition d’un vécu orgasmique. Je ne me place pas au niveau de la sexologie, ni même de la physiologie purement sexuelle, pénienne, et pelvienne, mais de la neuro-physio-électro-psychologie de « l’impression connue », soit des échanges électriques et électroniques d’un orgasme. Le sujet est à la fois un sujet de Biologie, et de sciences cognitives. Comment fonctionne cet équivalent de poste de télévision qui permet de nous faire prendre conscience de l’exquisité, très particulière de cette décharge (disons de l’onde ou de l’ensemble d’ondes) secondaire à un orgasme. Où se trouve la basse tension, où se trouve la THT, comment l’un et l’autre s’articulent-ils à travers le cérébro-spinal d’une part, (câblage électro-chimique) et le double sympathique de l’autre. (câblage chimico-électro-coaxial).
Les trois temps logiques de cette prise de conscience sont, de la périphérie vers le centre :
1] la sensation,
2] la perception,
3] la cognition.
Je vous propose de démonter notre télévision cognitive, en utilisant le bistouri de l’Anatomiste, et le vu-mètre de l’Electronicien.
Ma première question sera « est-ce que cela vous inspire et vous intéresse ? ». Y-a-t-il sur ce forum des experts de cette question ? Le débat est-il justifié ?
-----
mais que c'est pas le cas de tout le