La première réponse qui me vient est : si on part dans ce genre de considération, que l'hôte infecté est un parasite à part entière, nous sommes tous des virus !
Mais admettons. Je n'ai pas l'esprit fermé, je suis prêt à l'imaginer. Mais même dans ce cas, ça n'est acceptable que si vous me dites que le virus, une fois dans sa cellule hôte, modifie les échanges (ou le métabolisme) qui existaient avant l'infection et/ou profite de ces échanges (du métabolisme), au détriment de la cellule. Or, je ne crois pas que ce soit le cas (mais je peux me tromper).
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