Bonjour,
Qu'est-ce qui, a part les incompatibilites dues aux origines de replications des plasmides, pourrait faire en sorte qu'un plasmide se repliquant tres bien dans des souches de labo de Salmonella et de E. coli, et eventuellement etant stable sans pression selective ne se maintienne pas dans des isolats environnementaux de E. coli (bacteries un peu plus robustes, des fois tres ch~@#tes a transformer)?
J'ai une sorte de debat debile (ca sonne bien hein) qui m'oppose a une collegue qui est tres sceptique (sans aucun arguments, puisqu'elle ne connait pas grand chose en biomol) quand au maintien des plasmides dans les isolats environnementaux. Je suis contre ce qu'elle dit, car je crois (mais dites moi si c'est faux!) qu'a partir du moment qu'on arrive a faire la transformation, qu'on maintient le plasmide avec des antibio, et qu'il n'est pas incompatible avec des plasmides eventuellement deja present dans les souches "naturelles", il n'y a aucun probleme.
Eventuellement, je pense que ca pourrait etre embetant si on utilise des plasmides mis au points ou venant de bacteries Gram+ ou avec un GC ratio tres different, mais entre souches de E. coli et Salmonella, ce probleme ne se pose supposement pas...
Qu'en pensez-vous?
Merci et a bientot!
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