bonjour tout le monde.
grâce à ma discussion avec une collègue microbiologiste, j'ai su qu'il existe chez les bactéries un phénomène d'enzymes inductibles ces enzymes sont des enzymes digestives fabriquée de toutes pièces pour digérer un substrat nutritif nouveau pour la bactérie, l'exemple qui m'a été cité est l'opéron lactose...je me suis dit si il existe des gènes capables de faire l'étude d'un substrat nutritif et de fabriquer l'enzyme capable de le digérer, ce phénomène mérite l'étude, car si nous trouvons un moyen de génie génétique pour améliorer cette capacité après l'avoir décrite dans tout ces détails, on pourrait sélectionner des bactéries susceptible de faire réussir la fabrication d'une enzyme qui digère le plastique et faire un lâché massif dans les océans pour le nettoyer du plastique qui le pollue ! et on aura rendu un grand service à l'humanité et aux écosystèmes...
bien sur on évalue le potentiel pathogène pour l'homme et les animaux qui entrent en contact avec cette bactérie nouvelle, et si il n'y a pas de risque et ben on criera eurêka!
il est aussi probable qu'on retrouve ces bactéries en symbiose avec des poissons dans leur flore intestinale, parce qu'ils ingurgitent du plastique des fois...seul bémol, on devrait trouver une substance à appliquer sur nos produit conservés dans du plastique pour que si la bactérie qui dégrade le plastique se trouve sur le produit elle ne cause pas la dégradation de ce dernier un espèce d'antibiotique spécifique rémanent de 6 mois le temps que le produit soit utilisé puis lorsque l'antibiotique n'est plus efficace la bactérie pourra agir pour dégrader le plastique...
c'est une idée, et j'ai soupçonné aussi les gènes qui contrôlent les enzymes inductibles d'être les mêmes gènes à l'origine de l'apparition de résistances aux insecticides chez les insectes, je sais par exemple que le DDT l'insecticide phare du milieu des années 40 a sélectionné des populations d'insectes qui ont trouvé la parade pour l'éviter en rajoutant une ou deux mues supplémentaire à leur cycle de développement, et le DDT était un tueur non spécialisé qui broyait tout ce qu'il trouvait sur son passage, même les abeilles n'y échappait pas, mais finalement absolument tout les insectes sont devenus résistant au DDT cet insecticide est neurotoxique pas seulement pour les insectes mais aussi les mammifères comme l'Homme il a été interdit depuis mais certains pays d'Afrique noire continue à l'utiliser.
savez vous par exemple qu'aucune étude endocrinologique n'a été faites sur l'effet perturbateur endocrinien de plusieurs insecticides à la fois ! au moins 5 vous achetez 5 légumes vous avez à 100% de chance de trouver dedans des résidus d'aux moins un insecticide et les 5 sont différents, pire encore tout les insecticides sont létaux à forte dose on atteint des seuils de concentration critique dans certains légumes et fruits commercialisé ici en Algérie et il n'y a pas de conscience de la responsabilité chez les autorités, et avec l'augmentation du taux de CO2 dans l'atmosphère et le réchauffement climatique la qualité nutritive de nos produits agricoles va diminuer et les insectes ravageurs deviennent plus gourmand et plus nombreux, par contre la faune entomologique utile aura plus de mal à pulluler c'est ce qui explique la baisse d'incidence d'insectes écrasés sur le pare brise des voitures dans les compagnes par rapport à la décennie passé comme ça été constaté en Allemagne et futura en a parlé...
le problème avec les insectes ravageurs est qu'ils se transmettent de génération en génération une flore bactérienne qui leur est utile pour pulluler et causer de plus en plus de ravages c'est pour ça que leur pronostic futur est plus de pullulation aux grand dame des populations défavorisée du sud, savez vous qu'un kilomètre carré d'essaim de criquet contiens 50 million d'individu et que cette population à raison d'un poids individuel de 2 grammes par adulte ptérygote peut consommer 100% de son poids en phase grégaire donc elle ravagera plus de 100 tonnes de nourriture diverse, sur ce kilomètre carré ! 100 tonne c'est ce que peut manger 25000 personne en une journée!
ma question sans plus tarder, c'est quel est la machinerie utilisée par la bactérie pour fabriquer des enzymes spécifique à un substrat inconnu?...je veux dire utilise t elle une espèce de "protéine moule" qui l'aide à savoir exactement combien d'espace couper ou conserver aux seins de l'enzyme? comme lorsque vous allez chez le dentiste pour une prothèse il prélève l'emprunte de vos dents pour qu'il sache quel forme exacte donner à la prothèse...et où ce déroule tout ça, la coupure de la première molécule de plastique à mouler pour faire l'enzyme prends t elle du temps? comme la réponse immunitaire adaptative spécifique au premier contact avec l'antigène elle n'est pas très efficace mais au second elle est très rapide...et dernièrement est ce que les enzymes bactérienne aussi ont besoin de cofacteurs comme les vitamines? d'où la bactérie se les procurent ces cofacteurs dans le cas où la réponse est oui...
et vivement merci.
ramzi
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