[Divers] Engrais bio /engrais chimique ?
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Engrais bio /engrais chimique ?



  1. #1
    ecolami

    Engrais bio /engrais chimique ?


    ------

    Bonjour,
    Question les racines peuvent elles absorber des constituants organiques des engrais biologiques? Par exemple des acides aminé ou des glucides (voire même des lipides ???)
    Parce que si ce n'est pas le cas et qu'il faille une minéralisation complète autant employer des engrais "chimiques". L'avantage de l'engrais bio serait alors une liberation lente de fertilisant.
    Il existe déja un engrais synthétique a base de polymère ammoniaque butyraldéhyde: c'est une matière plastique biodégradable qui libère de l'azote dans le sol (sous forme d'ammoniaque?

    -----

  2. #2
    Sifo-Dyas

    Re : Engrais bio /engrais chimique ?

    Salut

    Les plantes absorbent l'azote sous forme de nitrate et d'ammonium, peut-être sous forme d'urée, et avec elles construisent des acides aminés et des protéines, nous faisons l'inverse, c'est le cycle de l'azote. Il faut donc pour nourrir les végétaux avec des engrais organiques qu'il y ait dégradation des protéines par des bactéries, des levures, des champignons ou des animaux, insectes, larves, etc. si on utilise des engrais organiques.
    Les glucides sont fabriqués par la plante, et non puisés dans le sol.

    L'intérêt des engrais organiques est pluriel :
    • Tout d'abord ils ne relarguent pas directement des nitrates en une seule fois, évitant ainsi la pollution de la nappe par un utilisateur qui ne maîtriserait pas les calculs de fertilisation mais utiliserait de l'engrais minéral à trop forte dose.
    • Ils permettent d'utiliser des sous-produits de l'industrie agro-alimentaire, donc de recycler.
    • Ils contiennent aussi des composés carbonés et permettent donc d'alimenter le complexe argilo-humique en plus d'apporter des minéraux, ce qui fait que même en culture industrielle il y a un bénéfice à en utiliser, par exemple en enterrant les résidus de la culture précédente ou en cultivant des engrais verts entre deux cultures de rapport.
    • Ils contiennent d'autres minéraux que les NPK.
    • Ils sont actifs plus longtemps au fur et à mesure de la dégradation des constituants organiques.

    Par contre, ils nécessitent d'être mis en place bien avant que les plantes manquent de nitrate, ou bien il faut en faire du "purin", les laisser se faire dégrader par des bactéries en plongeant les plantes dans de l'eau croupie.

    Mais attention, si les engrais organiques sont ou contiennent en partie du fumier, du guano et autre, ils contiennent déjà une part de nitrates, et il faut faire un calcul pour ne pas en mettre trop au m², sinon on pollue les sols au nitrate plus qu'un agriculteur qui utilise de l’ammonitrate en ayant bien calculé la quantité et le moment de l'épandage.
    Cordialement. Sifo-Dyas

  3. #3
    ecolami

    Re : Engrais bio /engrais chimique ?

    Bonsoir,
    MERCI cela correspond a ce que je pensais en tant que chimiste.

  4. #4
    amori52

    Re : Engrais bio /engrais chimique ?

    Bonjour
    Les végétaux ne se nourrissent que de minéraux. Il est plus facile de contrôler les apports en chimique en fonction des besoins des plantes. Les engrais organiques se dégradent en minéraux au fil du temps sans qu'il n'y ait coïncidence entre besoins et fournitures. De plus, ils sont apportés en général avant l'implantation de la culture à fertiliser. D'où une perte plus importante. Les nappes se polluent plus par les apports organiques que par les apports chimiques mieux contrôlés.
    Les amendements organiques comme le fumier ont cependant un avantage indéniable sur la structure physique et la vie du sol à condition d'être enfouis correctement.

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    Sifo-Dyas

    Re : Engrais bio /engrais chimique ?

    Citation Envoyé par amori52 Voir le message
    Bonjour
    Les engrais organiques se dégradent en minéraux au fil du temps sans qu'il n'y ait coïncidence entre besoins et fournitures. De plus, ils sont apportés en général avant l'implantation de la culture à fertiliser.
    Il faut nuancer : on appelle engrais organiques tout et n'importe quoi, et dans le lot on vend en jardinerie du guano sous la dénomination "engrais coup de fouet" (exemple) et ce genre de produit organique contient en réalité de l'azote minéral, mais d'origine organique (fientes des oiseaux marins récoltes sur les rochers). Il est donc plus proche de l'ammonitrate ou de l'ammoniac acheté en sac que d'un amendement organique type engrais vert ou compost, qui sont lents à produire des nitrates.
    On trouve aussi du fumier bien décomposé (Or Brun pour citer la marque), qui est un engrais organique mais à action rapide car il contient des nitrates et de l'ammoniac.

    Pour mes tomates en pot, j'ajoute de temps à autres de l'or brun, et pour mon brugmansia très vorace si on veut le voir fleurir durant 3 mois je n'ai rien trouvé de mieux que de l'engrais minéral liquide, mais après avoir rempoté avec du terreau + or brun et en ajoutant en surface une ou deux fois du guano. Au jardin j'ajoutais du fumier (en quantité limité) à l'automne, avec des cendres et je mettais un peu d'engrais rapide minéral ou organique en cours de saison.
    Pour un Brunfelsia forcément en pot sur la terrasse (plante sensible à l'engrais comme les toutes les Solanaceae) même traitement mais en quantité moindre, donc à la fois un apport d'engrais organiques forts en minéraux et quelques arrosages à l'engrais liquide "chimique". Et ça donne un beau résultat.
    Nom : brunfelsia-20250601.jpg
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    Je rappelle que les engrais organiques (sauf le guano...) apportent des minéraux mais aussi des déchets carbonés qui structurent le sol, aident à l'entretien du complexe argilo-humique et sont donc obligatoires même si l'on utilise des engrais minéraux.
    Les nitrates sont très mobiles et dans un sol non structuré ils filent vite avec l'eau tombée du ciel ou apporte par l'arrosage. C'est la lixiviation, qui est problématique sur les sols peu argileux (Bretagne par exemple) et oblige à apporter régulièrement des minéraux ... ou à polluer si l'on en apporte que rarement mais en quantités importantes.

    On doit donc faire des calculs d'apport de tel ou tel élément, en étant raisonnable et sans sous alimenter ni trop alimenter les plantes, et il est préférable de mixer les deux apports, minéraux et organiques pour être à la fois dans l'immédiat (apports minéraux rapides) et dans le durable (la structuration et l'entretien des sols).
    À notre que la plupart des variétés modernes utilisées en agriculture de rapport produisent beaucoup mais nécessitent des apports forts. Comme nous sommes des jardiniers amateurs, les variétés anciennes sont préférables, elles produisent moins mais se contentent de moins et peuvent ainsi au top de leurs capacités productives en se contentant d'un amendement organique , et d'apports minéraux peu quantitatifs.

    Entre le paysan des années 70 qui excluait les apports organiques grâce à la magie des engrais "chimiques" et le jardinier amateur de 2025 qui ne raisonne qu'en "bio" quitte à apporter énormément de fumier, dont une partie se retrouve dans la nappe, il y a des procédures plus équilibrées, apport de fumier en quantité raisonnable, ajout d'engrais organique rapide et si ça ne suffit pas apport d'engrais minéraux, mais après avoir calculé ce qui a déjà été apporté (surtout pour l'azote) par la fumure organique.

    Dernier point : l'azote minéral (nitrate d'ammonium, ammoniac mais aussi nitrate du fumier et du guano) est très mobile et file avec l'eau mais la potasse se fixe sur le complexe argilo-humique du sol et elle est peu mobile, il y a donc nécessité de retourner le sol durant l'hiver après avoir apporté du fumier peu décomposé ou des engrais verts si l'on ne veut pas être obligé d'apporter trop de K. Mais évidemment, ça va à l'encontre des techniques prônées par quelques gourous (zéro sol retourné) qui nécessitent d'apporter trop de potasse car uniquement placée au-dessus du sol donc peu accessibles aux racines.

    Désolé pour la longueur mais on voit tellement de personnes qui ne connaissent rien à ces calculs d'engrais, voire qui pensent que le fumier en quantité monstre est une seule solution pour avoir de belles récoltes mais ne pas polluer, que de temps à autres, les évidences doivent être rappelées., et elles sont simples : mixer les apports organiques lents et les apports organiques rapides sans trop en mettre, et garder pour certaines cultures consommatrices quelques apports calculés d'engrais minéraux. L’excès en tout est souvent une mauvais voie, évitons de ne jurer que par l'ammonitrate mais évitons aussi de mettre du fumier en couche de plusieurs cm au pied de ses plantes, ce qui se voit parfois.
    Dernière modification par Sifo-Dyas ; 01/06/2025 à 14h29.
    Cordialement. Sifo-Dyas

  7. #6
    agitateur

    Re : Engrais bio /engrais chimique ?

    Citation Envoyé par Sifo-Dyas Voir le message
    Entre le paysan des années 70 qui excluait les apports organiques grâce à la magie des engrais "chimiques" et le jardinier amateur de 2025 qui ne raisonne qu'en "bio" quitte à apporter énormément de fumier, dont une partie se retrouve dans la nappe, il y a des procédures plus équilibrées, apport de fumier en quantité raisonnable, ajout d'engrais organique rapide et si ça ne suffit pas apport d'engrais minéraux, mais après avoir calculé ce qui a déjà été apporté (surtout pour l'azote) par la fumure organique.
    Comme toutes choses ( presques toutes ), les choses sont "complexes" en effet et la "bonne" solution est une solution complexe, presque unique à "son" cas de figure ( alliance sol + climat / pluviométrie + plante concernée ).
    Même dans des forums spécialisés sur des thèmes précis de culture amateur, on retrouve des conseils répétés ad nauséam par quelques piliers, et souvent personne ne demande des précisions sur le lieu concerné. Pourtant, entre Mareseille, Lille ou Rennes, ou ailleurs, ça peut engendrer énormément de différence dans les besoins, sans parler du sol / sous sol local à la culture ( quand pas en pot ).

    En plus, ça peut devenir vite complexe pour le débutant, dans le sens ou il y a l'organique, le "chimique" minéral, l'organo minéral, etc....En engrais liquide de jardinerie tout public, on trouvait autrefois essentiellement du minéral. Maintenant, c'est énormément d'organique liquide. Un azote organique dans un pot de qq litres en région ou saison un peu pluvieuse, et selon la qualité du substrat, il sera lessivé avant d'être accessible à la plante.......Depuis qq temps, il y a aussi les engrais chimiques "retard", que je trouve extrêmement adaptés et performant pour les usages d'agrément, d'ailleurs.

    Je rajouterai qu'en pot, bac et jardinière, AVANT de penser à l'engrais, il faudrait penser à la priorité, une bonne qualité de substrat ( ou une correction pour de la pleine terre pas adaptée.......même si je suis partisan d'apater les plantations au climat et sol que l'on a et pas l'inverse ).
    En pot bac, il faut que celà reste assez drainant ( en pleine terre le risque de pourrissement des parties enterrées est considérablement moindre ), mais aussi assez rétenteur en eau en cas de légère absence, avec un bon rapport C/N si on veut travailler avec de l'organique et pas du minéral systémique, etc.......
    A peu prés tout ce que se vend en "terreau" est assez franchement nul à employer seul, à chacun de savoir gérer le bon mélange en fonction de la situation. Et, là, je crois que c'est plus complexe que les engrais ( et ça va avec ).

  8. #7
    pachacamac

    Re : Engrais bio /engrais chimique ?

    @Sifo-Dyas : c'est quoi de l'or brun ?

  9. #8
    agitateur

    Re : Engrais bio /engrais chimique ?

    une marque avec pleins de produits ( comme fertiligène si tu veux ), mais Or Brun est sur les produits organiques, et historiquement des terreau avec du crottin de cheval ( puisque le logo de la marque c'est un fer à cheval ).


    Au sujet de la partie "calendrier" et timing:
    Quand le sol est encore frais ( température ) en sortie hiver, l'activité biologique du sol est encore trés faible, alors que les besoins de la plante peuvent commencer à être trés significatif, et le sol ne pourra pas y subvenir ( c'est une limite du tout organique ). En ce sens, la remarque de amori52 était trés justifiée.


    Inversement en automne les besoins plantes deviennent faibles à nul ( sauf plante adapté, conifère avec un peu de besoin permanent, etc....) mais le sol ( avec l'inertie thermique ) est encore tiède et la vie du sol y est encore forte, pour produire des produits décomposés et assimilables.....mais qui seront lessivés sur la période hiver.

    Il ne s'agit pas de faire la promo du tout chimique, ni l'inverse. Mais la compréhension du système global , c'est comprendre le vivant sol, le vivant végétal, et l'impact climat. Et tout ca, dans une dynamique saisonnière car c'est pas figé.

    Je suppose que les "pro" ne viendront pas chercher un conseil ici ( trop tout public, ou science mais pas en agro ). Donc je suppose ( bien ou mal ) que les lecteurs d'ici auront en général une vision plus purement ornementale ou potagère, ou les 2.
    Dans ces cas là, le manque d'engrais n'est clairement pas l'élément le plus limitant en culture, et dans la plupart des cas je mettrais devant d'autres choses plus présentes:
    - substrat ( sol corrigé ou pas corrigé, en bac ou en terre )
    - non adaptation de la plante à son environnement ( sol climat ), donc plante mal choisie.
    - parasites et maladies.
    - carences de certains oligo éléments, ou sol / eau déséquilibré pour la plante ( pH, etc....), mais ce n'est pas forcément un NPK qui règlera le pb.

    Un exemple de sous famille qui me vient en tête, ce sont les plantes dites "de terre de bruyère", en réel plutôt des plantes acidophiles. Et ces rayons ont un certain succés commercial, pourtant c'est pas les plus faciles. Je condamne pas, j'adore les érables japonais et les azalées.
    En pot ça peut se conduire, mais les "terreaux" et terres de bruyères du commerce c'est de la merde, c'est vite colmatant. Il faut de l'acide, du drainant "en même temps", et aussi une exposition avec ombrage partiel ou fort sur ces trucs là. C'est un mix qui conduira la plupart du temps à un échec au bout de qq années, sauf gestion par une personne trés avertie.

  10. #9
    ecolami

    Re : Engrais bio /engrais chimique ?

    Bonjour
    l'optimisation des apports d'engrais necessite des analyses du sol et elles sont compliquée, je crains, pour un utilisateurs amateur.
    Les conseils prodigués sont judicieux et utiles et doivent reposer sur des analyses au moins semi quantitatives.

  11. #10
    agitateur

    Re : Engrais bio /engrais chimique ?

    l'optimisation des apports d'engrais necessite des analyses du sol et elles sont compliquée, je crains, pour un utilisateurs amateur.

    En effet, et la recette universelle n'existe pas.

    Pour faire un début d'avancée, il faudrait au strict minimum connaitre:
    - la plante concernée,
    - le substrat sol, par la répartition entre éléments ( même approximatif ), donc analyse de terre. La "texture", et aussi le pH, la matière organique ( qté et rapport C/N ), les minéraux et les oligos.
    - la région ( département ).


    Dans une approche ornementale ou potagère, la question du rendement ne se pose pas vraiment ( rendement en croissance de bois pour un arbre ornemental, ou rendement potager qui est toujours suffisant quand la plante est en santé à peu prés normale ). Dans cette approche de particulier ( et non pro ), les soucis sont les non adaptations comme mentionnés plus haut, ou bien les carences.
    MAIS le pb des carences, c'est que pas mal d'éléments inter agissent entre eux. Donc si on rajoute "un peu de tout" au hasard, parfois / souvent on ne corrige pas la carence, parfois même on crée même un blocage encore plus fort ( une carence encore plus forte ).

    L'engrais multi tout, désolé pour le parallèle, ce sera prendre un Dafalgan matin et soir pour n'importe quoi, et même sans avoir quoi que ce soit de problématique. C'est rarement un cocktail gagnant si on n'a pas de diagnostic avant.

    En potager de manière assez régulière, et en ornemental de manière trés fréquente, la première cause d'échec c'est que c'est bon ou c'est joli, sauf que le sol et le climat ne conviennent pas dans l'adéquation avec la plante. L'engrais par lui même et sur ce seul élément est rarement une source de "problème".


    Pour illustrer:
    J'ai qq arbres "en pot" donc "bonsai".
    - l'arrosage est uniformisé, à partir de maintenant et pour l'été c'est le programmateur et 5 minutes matin et 5 minutes soir, pour se simplifier la vie. Sinon on ne peut pas s'absenter, et la fréquence nécessaire est telle que ce serait un "enfer" invivable sans programmation ni circuit. Ca, c'est un élément qui est donc "fixe" pour des espèces pourtant TRES différentes entre les extrêmes.
    - Les apports d'engrais sont modulés selon les espèces, mais surtout selon les stades de la plante en fait. Elément assez variable. Les doses et les proportions varient, mais en général je m'en sors avec un organique granulé et un engrais retard "chimique". 2 engrais différents, pour TOUT.
    - les substrats ( "sol" recrée par la main de l'homme dans un pot ) sont TRES variables et adaptés à chaque plant. Rétention en eau et porosité, pH, organique et C/N, etc.......Chaque plante a son substrat adapté à l'espèce ET à son stade de développement. On ne cherche pas la même chose pour un jeune plant ou on veut faire de la croissance et du bois, et un arbre évolué / mature sur lequel on veut des petites feuilles, des entre nœuds très courts, et qui est dans un pot minuscule ( avec beaucoup de surface foliaire en rapport du "sol" disponible ). Un arbre jeune ( le même arbre de la même espèce ) n'aura pas le même substrat "jeune" ou 20 ans plus tard. Ce qui n'est pas possible en pleine terre, d'ailleurs ( à part qu'avec l'age en sol naturel, le pain racinaire continue de plonger profond et par ce fait son substrat "moyen" change aussi..........encore faut il connaitre son sol de jardin ).
    - l'exposition est également évaluée selon l'espèce. Du plein soleil plein sud contre un mur, du presque soleil toute la journée, du mi ombre ( soleil jusqu'à midi / 14H00 ) et ombre ensuite, ou même parfois ( érable palmatum atropurpureum par exemple ) quasiment rien en soleil direct.

  12. #11
    F70

    Re : Engrais bio /engrais chimique ?

    La plante absorbe des ions dissous dans la solution du sol. Après c'est technique car le milieu sol peut s'infiltrer en partie entre l'épithélium racinaire.
    Et des recherches+/- récentes (10ans) ont montrés que des cellules de racines phagocytaient carrément des bactéries. Donc là on est bien sûr une nutrition organique au moins en partie. D'un point de vue thermodynamique même si je n'aime pas ce terme appliqué à la biologie la nutrition azotée à partir d'acide aminée est la moins entropique donc c'est intéressant. Tout ce passe dans la rhysosphere. Après pour des raisons de coût la fertilisation minérale des cultures est la plus pratiquée bien sûr

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