Bonjour,
Nous souhaitons rendre l'accès possible au premier étage avec un aménagement sans charges lourdes.
Espace bureau détente sans cloison avec un plancher OSB et un revêtement de sol.
La pièce fait 8 m par 4 m, le plancher est posé sur des solives et est constitué de panneaux OSB de 22 mm.
La partie accessible compte tenu de la pente et de l'isolation se réduit à environ 6,5 m par 4 m.
Les solives sont disposées entre le mur porteur (muralière) et repose sur l'un des 2 entraits (entrait moisé), et mesurent 4 m.
L'entraxe est de 40 cm, avec des entretoises, sont en chêne, et mesurent 15 cm de haut 5 cm de large.
Elles soutiennent un plafond de terre cuite (plafonnette de 5 cm) situé environ 2 cm sous les solives (maison des années 80 sans combles aménagés et aménageables).
Il y a une isolation d'environ 17 cm (15 + 2), le tout bien installé, la charpente est traditionnelle, classique avec des fermes, des arbalétriers...en chêne.
La hauteur n'est pas très conséquente, il s'agit d'un pavillon classique en L d'environ 150 m2 avec au premier étage une hauteur d'environ 2,1 m disponible sous la panne faîtière, d'où
la possibilité de récupérer de l'espace habitable.
Les différentes données (abaques....) montrent qu'il y a une insuffisance au niveau de la capacité des solives à soutenir une charge conventionnelle (environ 120 + 150 kg/m2),
on constate que pour une portée de 4 m des solives un peu plus conséquentes auraient été souhaitables.
Doubler ou renforcer les solives n'est pas dans l'idée retenue, tout est bien monté et isolé sans avoir été aménagé auparavant, nous souhaitons une solution plus simple à mettre en oeuvre sans avoir recours au démontage du plancher et au renforcement des solives.
Renforcer par en dessous avec des poutres (IPN et poutre verticale en H), sur 2 endroits réduisant les portées et ramenant celles-ci sur 1/3 de la longueur initiale nous intéresse.
Est ce une bonne idée et la mise en oeuvre nécessite-t-elle des contraintes et des considérations particulières...?
Cela va nécessiter de casser le plafond sur la largeur de l'IPN afin d'entrer en contact avec les solives en partie inférieure, car plaquer l'IPN sur le plafond en contact avec le plâtre n'apportera pas
grande chose (tige reliant plafonnette et solive ne transmettront pas les efforts).
Il existe une cloison parallèle aux solives à 4 m en dessous de ce plafond/plancher non porteur en plâtre, posé sur le mur porteur du sous-sol tenant la dalle en dessous, ce qui permettrait un appui pour soutenir les 2 poutres IPN avec des poutres IPN ou type HEM.
Ci-joints 3 croquis sommaires.
Je souhaiterai des avis et des commentaires, des conseils et des suggestions.
Merci et bonne journée.
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