Bonsoir , tout est dans le titre , la question est intéressante mais si vous me dites que c'est parceque l'on a observé que cela se'passait comme ça je peux accepter car je doute qu'il y ait vraiment un lien avec les électrons .
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Bonsoir , tout est dans le titre , la question est intéressante mais si vous me dites que c'est parceque l'on a observé que cela se'passait comme ça je peux accepter car je doute qu'il y ait vraiment un lien avec les électrons .
C'est en rapport avec le rayon atomique. Plus il est court, plus il est difficile de lui arracher un électron, et donc moins il a de chance d'être chargé positivement.
C'est aussi en rapport au nombre de proton du noyau. Plus ils sont nombreux, plus ils peuvent interagir avec un nombre d'électron autour.
Quand tu combines les deux (rayon atomique + nombre de proton) tu obtiens ta réponse. Fluor, oxygène, chlore, azote, brome sont ceux qui combinent le mieux les 2 et donc les plus électronégatifs.
Plus il y a de protons , plus l'élément à tendance à attirer des électrons ducou ! ?
J"dirais pas ça comme ça. C'est pas ma spécialité alors je veux pas dire des conneries, mais je dirais que plus y'a de protons, plus y'a potentiellement de "place" pour des électrons autour en fait. Maintenant ça veut pas dire qu'il y aura de place libre
Le noyau étant une sphère si l'on simplifie , certains protons vont plutôt attirer certains électrons placés près d'eux j'imagine , car au niveau 3D les liaisons se font à certains côtés du noyau , donc si le noyau possède bon nombre de protons , y'a peut être + de chance que les protons unis entre eux attirent les électrons mis en commun lors d'une liaison covalente !?( je dis ça sans prétention de rien , je ne sais pas expliquer cela avec un niveau de lycéen mais cela me passionne alors !
Les chimistes sont plus familiers de ces notions, je déplace.
Not only is it not right, it's not even wrong!
Alors déjà faut enlever les gazs nobles car il n'ont pas d'électrons de valences, donc ne peuvent être ni éléctronégatifs ni éléctropositifs. Ensuite faut vraiment les 2 notions.
Par exemple l'iode à un grand nombre de protons, mais un rayon atomique élevé, le noyau exerce donc moins de force sur les électrons de valence, donc moins éléctronégatifs.
L'hydrogene quant à lui a un faible rayon atomique, mais un faible nombre de proton, il a donc plutôt tendance à perdre son électron qu'à en gagner. (H+ est plus fréquent que H-)
Selon ce que j'ai compris l'attraction pour un électron supplémentaire (l'électronégativité) provient principalement de l'attraction perçue par un éventuel nouvel électron sur la couche périphérique. Cette attraction perçue dépend de trois facteurs: la distance, le nombre de protons du noyau et le terme d'écran (répulsion de la part des électrons des couches inférieures).
Selon cette théorie l'électronégativité du fluor est très grande car l'éventuel nouvel électron serait sur la deuxième couche (donc près de noyau), l'attraction du noyau serait due à 9 protons mais il n'y aurait qu'un terme d'écran de 2 puisqu'il n'y a que 2 électrons sur la couche inférieure. L'attraction serait donc due à 7 (9 protons - 2 électrons) charges positives. Pour le sodium, on aurait une attraction de 11 protons mais un terme d'écran de 10 (car il y a 10 électrons dans les couches inférieures) pour une attraction de 1 à distance moyenne (troisième orbite). Évidemment cette explication donne toujours une électronégativité nulle pour les gaz inertes.
Dernière modification par SunnySky ; 22/01/2017 à 14h20.
Le monde se divise en 10 : ceux qui connaissent le code binaire et ceux qui ne le connaissent pas.
Bonsoir
L'électronégativité caractérise le fait qu'un élément attire plus ou moins les électrons de la liaison qui le lie à un autre élément.
Ce sont donc les électrons qui peuvent occuper la couche de valence qu'il faut considérer.
Plus ils seront près du noyau, plus ils seront sous l'attraction créée par les protons, plus l'élément sera électronégatif.
Cordialement