Actu - Covid-19 : une distance de un à deux mètres de distanciation « simplifie à l’extrême la situa
Pour limiter la propagation du coronavirus responsable de la pandémie de la Covid-19, voici des mois que l’on nous demande de nous tenir à plus d’un mètre de distance des autres. Quelles que...
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Dernière modification par archeos ; 07/09/2020 à 15h26. Motif: Pas de lien, pas de titre....
Blub!! Et pas de lien.
Hello!
Ben oui : comme d'hab, les liens vers les articles de Nathalie Meyer sont pourris.
C'est corrigé.
Veuillez contacter l'administrateur si votre date de naissance a changé
(Futura Sciences)
Où est le lien vers la source dont est issue le tableau dans l'article ?
Là, cachée derrière le mot "chercheurs":Envoyé par noir_ecaille
À croire que c'est un jeu de cache-cache... On planque le lien quelque part dans l'article...Aujourd'hui, des chercheurs de l'université d'Oxford (Royaume-Uni) et du MIT (Massachusetts Institute of Technology) prétendent que ces recommandations sont basées sur « une science dépassée ».
Sinon, sur le fond, on se doutait bien depuis longtemps qu'il n'y a pas une frontière à 1 ou 2 m au-delà de nos grandes gueules...
Dernière modification par polo974 ; 08/09/2020 à 05h00.
Jusqu'ici tout va bien...
7-8m en instantané, sans doute bien plus au bout de quelques secondes/minutes. Ca rejoint des études que j'avais sourcées à ce propos (mais bon, une redite ne fait jamais de mal).
Seize heures de persistance pour les aérosols, jusqu'à dix-sept jours pour une surface contaminées ? Ca craint
Quant aux sportifs :
Ca va si c'est en extérieur loin des foules mais ça implique quand même que courir/pédaler à deux ou plus et démasqués, c'est prendre des risques et en faire courir aux autres.
Je suis un peu déçue, je pensais retrouver au moins dans l'étude ce qu'ils qualifient de "short time" / "prolonged time", vu qu'au pifomètre ça ne donne pas les mêmes valeurs chez tout le monde.
Bonjour,
Sait-on si le COVID 19 se transmet via les aérosols ?
Parce que j'avais lu (mais c'est peut être une fake news, c'est pour ça que je me permets de poser la question sur un site sérieux), que le COVID 19 a un taux de reproduction (r0, rt), trop bas que pour que le mode de contamination soit principalement aérosol (ex : rougeole : entre (12 et 18); COVID 19 ente 2 et 3)).
Merci
Si, si. C'est confirmé/constaté, notamment y'a eu un cas d'école avec des cars chinois où le contaminateur n'a donc pas bougé de son siège mais contaminé malgré tout plusieurs autres voyageurs et ce, à plusieurs mètres de distance (formant un cluster qui va d'un bout à l'autre du car presque).
Merci,
Mais qu'est ce qui fait que le taux de reproduction du virus est si bas (par rapport à d'autres virus qui se propagent par aérosol ? )
Pour le car chinois, est-ce vraiment une preuve absolue de contamination par aérosols ?
Suis je le seul à m'aider des rampes et des dossiers de sièges pour parcourir l'allée étroite d'un car ?
Bonjour,
Il y avait une ou des caméras dans le car, permettant d'exclure la manu-transmission.
Il y aurait une certaine protection (immunité croisée ?) qui fait qu'inhaler brièvement de l'air contaminé ne suffit pas à être infecté, ce ne serait qu'au bout de plusieurs minutes que notre première ligne de défense commence à être saturée.Mais qu'est ce qui fait que le taux de reproduction du virus est si bas (par rapport à d'autres virus qui se propagent par aérosol ?)
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Alors je suis sûr que Luciano Pavarotti tape les 10m sur les opéras italiens !Chanter, par exemple, génère des nuages de gaz chauds et humides, à forte impulsion d'air expiré et avec des gouttelettes dont la portée peut atteindre les 7 à 8 mètres en quelques secondes.
Tu lui file la covid, il te plombe toute la salle d'opéra à lui tout seul en 30 minutes ^^
On l'appelle le roi des 7 clusters, L'arroseur de SARS, le briseur de chloroquine !
Dernière modification par Anathorn ; 08/09/2020 à 15h28.
Selon Arnaud Fontanet, le faible R est justement la preuve que la propagation par aérosols n'est PAS le principal facteur de transmission.Mais qu'est ce qui fait que le taux de reproduction du virus est si bas (par rapport à d'autres virus qui se propagent par aérosol ?
Tout les virus a grand R sont des virus essentiellement d'aérosols.
Donc le vecteur principal suspecté est le postillon de toute taille, mais soumis à la gravité.
Et plus il est gros, plus il est chargé.
L'inoculum viral contaminant est atteint bien plus rapidement, apparemment, avec ces gouttelettes qu'avec les aérosols.
Mais si t’insistes dans la pièce close dont l'air se sature progressivement a cause d'un contaminateur présent, tu finis par y avoir droit.
Même si le contaminateur est déjà sorti de la pièce.
et même si, comme il est dit dans l'article, il y a un continuum entre les tailles, il n'y a pas d'un coté les gouttelettes et de l'autre les aérosols.
Dernière modification par Anathorn ; 08/09/2020 à 15h48.
Etes-vous le seul à penser que des experts n'ont pas pu y penser ?Comme le dit Nicophil, ils ont vérifié. D'où conclusion (surtout depuis le temps que ça faisait débat).
En même temps, la gestion de la ventilation est un cas d'école assez particulier en Chine, du moins ce que j'ai constaté. Hiver ou été, au nord ou au sud, par -15°Cou par +35°C, ou entre les 2.
Archétype en bus, mais dans une moindre mesure valable aussi dans les autres transports en commun, et dans les restos équipés, etc...
Position recyclage systématique,
Force de ventilation, à donf', maxi,
Compresseur de clim allumé, hiver été printemps automne. ( au moins y'a pas de buée quand c'est humide )
Z'êtes pas obligé de me croire, mais j'ai quand même été assis un certain nombre de fois rang 1, on a le temps d'admirer le paysage mais aussi le compartiment conducteur.....
Quand le moindre trajet inter urbain prends des heures, sûr que les micro aérosols sont contents....et nombreux.
Idem en restos climatisés, ça souffle, ça souffle....
Je suis étonné, à l'échelle française, que les mesures prises dans les bureaux concentrationnaires ( avec ou sans open space ) d'hyper centres urbains français soient assez proches de zéro, en dehors du respect d'une jauge et d'espace m² par personne. Ca règle contact direct, mais pas celui des circuits fermés. Attendons qq jours ou qq semaines des clusters dans les tours de La Défense.....( quoi que 95% doivent être en télétravail...)
En même temps respirer l'air extérieur en temps normal en Chine ? C'est vrai que le COVID19 a quelque peu résorbé le smog le temps du confinement. Mais ça n'a pas duré à la reprise...
Position recyclage ou pas, à Pékin, ça pue 365 j par an.
Même quand il n'y a pas de smog visible, dans les meilleures conditions ( visibles à possibles. j'ai fait des photos à Beijing début 2018, même les pékinois émigrés français était surpris du ciel rarissiment bleu et pur que j'avais pu avoir sur qq jours.
Une odeur de type composés soufrés. Même en taxi, ou autres. Aussi dérangeant que Paris y'a 20 piges, mais pas la même famille olfactive.
Cette gestion de ventilation est la même partout dans le pays, et ça n'enlève pas les odeurs.
Je suis pas maso, si je peux éviter le bus qui roule à 35 ou 50 km/h de moyenne, je prend le train grand vitesse à 300. Qui part à l'heure et arrive à l'heure à la minute près, pas comme notre fleuron national.... Mais parfois, il vaut mieux faire 6 heures de bus que 2 000 km en grande vitesse.
Les 20 ou 30 agglomérations chinoises de plus de 5 M d'hab. puent, presque tout le temps. En dehors de çà, c'est aussi respirable que chez nous. Et le bus ventile à plein tube, même sur des routes à 3000 metres ou plus.....( milieux rares en industries, hein )
