celui-là, il n' est pas chinois....
https://www.futura-sciences.com/sant...leterre-92575/
pourtant il contient une grande partie du code de la protéine spike (toutefois, sans le 'receptor binding code' pour ACE2....)
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celui-là, il n' est pas chinois....
https://www.futura-sciences.com/sant...leterre-92575/
pourtant il contient une grande partie du code de la protéine spike (toutefois, sans le 'receptor binding code' pour ACE2....)
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
Un risque de quelle grandeur?Donc, si une chauve-souris infectée par RhGB01 est contaminée par le SARS-CoV-2, il y a un risque que ces virus s'hybrident et qu'un nouveau émerge avec le RBD du SARS-CoV-2, et donc qu'il puisse infecter les gens.
dans l'article cité
La drôle de blague...“We need to apply stringent regulations globally for anyone handling bats and other wild animals,” she added.
Jusqu'ici tout va bien...
vous n'exprimez pas clairement les interprétations que vous faites de l'article cité, c'est difficile de répondre
vous pouvez lire :
https://ayjchan.medium.com/a-respons...w-5d4a644d9777
ci dessous une traduction au besoin du passage qui vous intéresse probablement :
Les scientifiques conviennent largement qu'une forme ancestrale du SRAS-CoV-2 a son origine chez les chauves-souris, il n'est donc pas surprenant que des coronavirus de chauve-souris apparentés continuent d'être trouvés dans la nature. La question est de savoir quel a été le parcours d'un ancêtre du virus de chauve-souris avant de devenir SARS-CoV-2 et de déclencher une épidémie à Wuhan ? Wuhan n'est pas situé à proximité de l'endroit où des virus proches apparentés au SRAS-CoV-2 ont été trouvés, et n'est pas un endroit où certains grands experts en coronavirus auraient prédit l'émergence de SARSr-CoV (SARS related coronaviruses) pathogènes pour l'homme [26-29]. En fait, la population humaine de Wuhan a été utilisée comme contrôle négatif dans une enquête sérologique de 2015 pour rechercher une épidémie de SARSr-CoV : sur 240 donneurs de sang à Wuhan, aucun (0,0 %) n'avait d'anticorps contre le SARSr-CoV ; en comparaison avec les 2,7 % de séropositivité observés chez 218 habitants du Yunnan vivant à proximité de colonies de chauves-souris [30].
tiens elle est drôle celle-là : les "experts" ne prédisaient pas une émergence à Wuhan. Sauf que personne n'a la moindre idée d'où peut apparaître un nouveau pathogène. Et Wuhan est juste un endroit comme un autre, où un voyageur a pu apporter son virus depuis n'importe quel coin de la planète. Je rappelle que le VIH est "apparu" à San Francisco alors que c'était un virus de chimpanzé et qu'il n'y a pas de chimpanzés sauvages à San Francisco (sauf dans les films).
Effectivement, grosse tentation de répondre "esse est percipi ?"
Pour ma part, je continue de parier sur les JO militaires comme évènement déclencheur en octobre 2019 (et ce n'est pas purement un hasard que le fameux labo soit situé dans la ville organisatrice) !
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
J'ai l'impression que comparer une MST avec un virus respiratoire transmissible par aérosols est assez compliqué. Par ailleurs dans le cas du SIDA, on a justement pu déterminer la "route" qu'a suivi le virus depuis son réservoir sauvage jusqu'à l'homme.Wuhan est juste un endroit comme un autre, où un voyageur a pu apporter son virus depuis n'importe quel coin de la planète. Je rappelle que le VIH est "apparu" à San Francisco alors que c'était un virus de chimpanzé et qu'il n'y a pas de chimpanzés sauvages à San Francisco (sauf dans les films).
On peut éventuellement comparer le SRAS2 avec le MERS ou le SRAS1, dont on a également pu déterminer la route depuis leurs réservoirs respectifs jusqu'à l'homme. Dans une des références citées par l'auteur :
https://dx.doi.org/10.1016%2Fj.meegid.2019.02.001Our analysis revealed that the human SARS-CoV may have originated from south China including Yunnan, Guangxi and Guizhou, and similar viruses likely circulated in these provinces for an extended time period before eventually emerging in humans.
le fait que le HIV soit transmis entre humains surtout via les relations sexuelles n'en fait pas un cas à part. Le point important c'est qu'il est passé de l'animal à l'homme dans un certain pays (la RDC) et a été repéré et isolé dans un autre (les USA). Pour le SARS-CoV2 on ne peut pas exclure qu'un voyageur l'ait apporté à Wuhan (éventuellement avec une étape dans un laboratoire de virologie).
Je suis bien d'accord, la différence pour moi c'est que dans le cas d'une MST, un voyageur contaminé n'a pas de relations sexuelles avec tous les occupants de son avion par exemple, par contre il partage le même air
donc en restant dans l'hypothèse d'un évènement accidentel (zoonose ou autre), la maladie devrait forcément pouvoir être détectée autour du lieu de l'évènement
oui mais si le saut d'hôte s'est produit dans une région reculée du Laos par exemple, ça peut être difficile à mettre en évidence. Il y a une étude de l'Institut Pasteur du Laos qui a montré que 20% des collecteurs de guano de chauve-souris dans une région du sud de ce pays avaient des anti-corps dirigés contre la protéine S du SARS-CoV2 (ou d'un coronavirus très proche). Le virus n'a pas été retrouvé chez les chauve-souris malgré des recherches intensives, mais c'est peut-être une question de temps.
Je rejoins MissJenny sur le point de la détection, mis en évidence.
Et d'ailleurs, c'est pas absurde de détecter un truc dans un coin ou il y a labo spécialisé là dedans.....
Pour quelle raison? Etant donné que c'est un laboratoire de recherche en biologie (i.e. pas un laboratoire d'analyses médicales), ils n'ont aucun rapports avec les malades de la ville
D'ailleurs, le médecin lanceur d'alerte au début de la pandémie n'avait aucun lien avec le labo, il n'était même pas spécialiste des maladies respiratoires puisqu'il était ophtalmologue