Bonjour
Je me permets d'ouvrir un fil car j'avis confondu (de bonne foi)la sphère gravifique déterminé par le rayon de Schwarzschild comme une sphere externe au trou noir.
Je n'imaginais pas que cela aurait pu concerner l'horizon des événements.
J'avais des images comme une lumière, un objet, attirés de plus en plus lentement par le trou noir j'en ai conclu de manière totalement erronée qu'ils étaient dans "la sphère de Schwarzschild". Et ce d'autant plus facilement que l'on parlait une attraction sur un d'heure lumière.
Quand je lis ça sur Wikipédia c'est plus prosaïqueDonc, approximativement, une masse solaire correspond à 3 km de rayon et un milliard de masses solaires correspond à 20 UA de rayon (soit à peu près l’orbite d’Uranus).
Je souhaite repartir sur des bases claires.
Cette vision est-elle conforme avec ce qu'il aurait pu se passer. C'est à dire un endroit ou la gravité est énorme mais pas irrémédiable. La lumière peut-elle être piégée de cette manière avant d'atteindre la sphère des évènements ?
Nous avons vu des images de ce que l'on peut qualifier de trous noirs massifs intra alactiques. La lumière émise par les corps est visible. Donc cette lumière/rayonnement c'est échappée du trou noir. Peut-on considérer que le reste va petit à petit être cannibalisé par le trou noir ?
Par contre il y a une chose étrange à mes yeux : la formation d'un disque d'accrétion. Pourquoi un seul. Bon je sais que cela concerne des trous noirs en rotation. Il devrait "tourner" dans le même sens de rotation que le trou et être situé schématiquement au niveau équatorial.
Mais on retrouve aussi cette particularité (si je ne dis pas de bêtises) sur étoiles en formations issue d'un nuage de gaz.
PS c'est facile de se forger de fausses images en comprenant de façon inverse une théorie.
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 Envoyé par jiherve
 Envoyé par jiherve 
 ), les jets auraient une double structure concentrique, un jet d'électrons-protons "normal" issu du disque d'accrétion, qui serait l'analogue des jets observés autour des étoiles jeunes (pas besoin de relativité pour les faire, la MHD "classique" peut les expliquer ), plus un jet ultrarelativiste d'électrons-positrons produit à l'intérieur qui serait responsable des phénomènes de très haute énergie observés en provenance des quasars : jets apparemment superluminiques (vitesse apparente > c mais c'est un effet d'optique provenant d'un mouvement réel très proche de c, accéléré par une sorte d'effet Doppler si l'angle avec la ligne de visée est assez petit), et émission intense de rayons X et de rayons gamma (beaucoup de quasars sont aussi des sources gammas).
), les jets auraient une double structure concentrique, un jet d'électrons-protons "normal" issu du disque d'accrétion, qui serait l'analogue des jets observés autour des étoiles jeunes (pas besoin de relativité pour les faire, la MHD "classique" peut les expliquer ), plus un jet ultrarelativiste d'électrons-positrons produit à l'intérieur qui serait responsable des phénomènes de très haute énergie observés en provenance des quasars : jets apparemment superluminiques (vitesse apparente > c mais c'est un effet d'optique provenant d'un mouvement réel très proche de c, accéléré par une sorte d'effet Doppler si l'angle avec la ligne de visée est assez petit), et émission intense de rayons X et de rayons gamma (beaucoup de quasars sont aussi des sources gammas). .
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