mon hypothèse sur les trou blanc

[particulePI]

quand on parle de trou noir on dit que la singularité en son centre a un volume infiniment petit mais avant d'atteindre la volume infiniment petit il a bien fallu que le cœur de l'Etoile s'effondre et vus que rien ne peut aller plus vite que la lumière on peut donc admettre que le cœur a besoin de temps pour être une singularité final,

en gros la formation de la singularité ne passe pas de 6km( le rayon d'une Etoile a neutron ce qui ce rapproche le plus du volume que pourrait avoir le cœur avant de former un trou noir) un point infiniment petit instantanément il ya un temps très court si on se trouve sur le cœur qui s'effondre mais éternellement long si on est sur terre.

mon hypothèse et donc tous simplement que si on ne trouve pas de trou blanc c'est parce que les cœur de nos trou noir ne sont pas encore effondrés en singularité finale et qu'il faudrait un temps infinie pour que sa arrive.

mon hypothèse sur les trou blanc on s'en fiche mais l'idée que en réalité il n'existe pas de singularité infinie me semble juste non?
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[Gilgamesh]

quand on parle de trou noir on dit que la singularité en son centre a un volume infiniment petit mais avant d'atteindre la volume infiniment petit il a bien fallu que le cœur de l'Etoile s'effondre et vus que rien ne peut aller plus vite que la lumière on peut donc admettre que le cœur a besoin de temps pour être une singularité final,

en gros la formation de la singularité ne passe pas de 6km( le rayon d'une Etoile a neutron ce qui ce rapproche le plus du volume que pourrait avoir le cœur avant de former un trou noir) un point infiniment petit instantanément il ya un temps très court si on se trouve sur le cœur qui s'effondre mais éternellement long si on est sur terre.

mon hypothèse et donc tous simplement que si on ne trouve pas de trou blanc c'est parce que les cœur de nos trou noir ne sont pas encore effondrés en singularité finale et qu'il faudrait un temps infinie pour que sa arrive.

mon hypothèse sur les trou blanc on s'en fiche mais l'idée que en réalité il n'existe pas de singularité infinie me semble juste non?

Dans le référentiel d'une particule test en chute libre, l'effondrement se fait en un temps fini (et petit). Le temps propre de chute libre depuis l'horizon r_s (rayon de Schwarzschild ) est :

Δτ = πr_s/2c

Il est difficile de parler de ce qui se passe "ensuite", mais formellement (dans le cadre de la relativité générale), la "singularité" n'est pas un "endroit" statique. Son caractère le moins contestable est sa courbure qui tend vers l'infini et qui formellement ne cesse de s'accentuer. Mais la théorie prédisant des infinis et aboutissant à une géodésique incomplète, on considère qu'elle ne capture plus la nature réelle de ce qui s'y passe.

Différentes approches existent pour prolonger la théorie. La gravité quantique à boucle propose un rebond vers un trou blanc. La théorie des cordes propose un stade ultime d'effondrement du genre "boule de cordes" (fuzzball), avec un densité planckienne. Mais au total on ne dispose pas d'un scénario consensuel, cela reste un problème ouvert et un genre de "banc de test" des théories de gravité quantique.

[yves95210]

Je ne vois pas en quoi ce serait une "théorie personnelle", puisque ça s'appuie sur un fait incontestable, selon la relativité générale : quand un trou noir se forme (ce qui doit bien être le cas des trous noirs réels puisque autrement il faudrait qu'ils existent depuis une éternité dans le passé), la matière qui passe sous l'horizon en un temps fini (dans son temps propre) met un temps infini à le faire dans le temps propre d'un observateur distant.
Ce que nous observons, ce sont des trous noirs en formation, mais qui ont déjà les caractéristiques "visuelles" d'un trou noir et en particulier un horizon apparent, car le rayonnement de la matière qui (de notre point de vue) s'accumule sur l'horizon est tellement décalé vers le rouge qu'il n'est plus observable. En revanche, logiquement, ce qui se passe en même temps que (ou immédiatement après) la formation réelle de l'horizon, la création de la singularité centrale à la quelle conduisent les équations de la RG (et par conséquent la création éventuelle d'un trou blanc) ne se produira qu'à l'infini dans note futur.

Bien sûr ce n'est qu'un modèle mathématique, qui ne peut prétendre représenter qu'imparfaitement la "réalité physique". En particulier la notion de singularité gravitationnelle, avec ses valeurs infinies de la densité d'énergie et de la courbure, ne correspond probablement à rien de physique et il doit exister une échelle à partir de laquelle on ne peut plus appliquer les équations de la RG "naïvement" sans tenir compte de la physique quantique. Mais on ne dispose pas aujourd'hui d'une théorie quantique de la gravitation, validée par l'expérience et permettant de prédire les phénomènes à cette échelle.
Il y a au mieux des spéculations telles que celles de Rovelli sur les trous blancs, s'appuyant sur une théorie encore incomplète et non validée (la gravité quantique à boucles). Sauf que dans son modèle, les trous blancs seraient une conséquence de l'évaporation des trous noirs et du rétrécissement de leur horizon qui en résulte, jusqu'à l'échelle de Planck à laquelle il se produirait un rebond. Or, pour des trous noirs de masse stellaire, la durée de l'évaporation (proportionnelle au cube de la masse) est déjà gigantesque, et très, très supérieure à l'âge de l'univers. Les trous blancs de Rovelli ne pourraient être issus que d'hypothétiques trous noirs primordiaux, microscopiques.

[yves95210]

supprimé (message enregistré suite à une fausse manip)...

[A voir en vidéo sur Futura]

[Gilgamesh]

Ok yves a raison, j'ai eu la gachette un peu facile je le reconnais, j'ai supprimé ma remarque de modération, surtout après lecture de cet article.

https://news.cnrs.fr/articles/are-wh...awning-at-last

Dans le cadre du rebond prédit par la quantité quantique à boucle et qui produirait des trous blancs

"Si l'on ne voit pas de trous blanc s'allumer dans le ciel, c'est que, dans notre propre espace-temps, ils n'ont pas encore eu le temps de le faire."