D'un autre côté, le rayonnement ne constitue que 0,005% de l'énergie de l'Univers. Ca donne une petite raison de s'intéresser au reste.
Cordialement,
PS: Quid des neutrinos? En énergie ça en fait plus, mais en particules?
Il faut bien comprendre le système isolé.
Un système isolé = pas des pertes thermique donc pas d’échange entre le système et l’extérieur dQ=0.
Et dQ/T =0 donc dS= dQ/T= 0.
Sa na rien avoir avec la température T =0 C°,
cette affirmation est sans fondement le rayonnement de fond est peut-être en équilibre (avec lui-même) mais le reste ne l'est pas, sinon l'intégralité de l'univers aurait une température de 2.7K et nous ne serions pas là pour l'observerEN fait l univers a atteint sa mort thermique environ " 300 000 ans" apres le big bang.
m@ch3
Never feed the troll after midnight!
donc cela signifie que l'énergie n'est pas distribuée de façon uniforme si j ai bien compris et n est qu' un phenomene local;
Dernière modification par Yoghourt ; 09/08/2008 à 18h26. Motif: Pas de majuscules inutiles, merci
ben oui, si la distribution d'énergie était uniforme on serait à l'équilibre, et il n'y aurait personne pour le constaté... ####
m@ch3
Dernière modification par Yoghourt ; 09/08/2008 à 18h26. Motif: majuscules corrigées
Never feed the troll after midnight!
BonjourD'une facon generale, le probleme de l'entropie en gravitation est assez difficile et je ne crois pas qu'il soit completement resolu.
Il n'y a qu'a considerer le cas simple de l'effondrement d'un nuage de gas pour s'en rappeler, processus qui semble exactement l'inverse temporel de ce que la thermodynamique voudrait sans gravitation. Evidemment en pratique, un nuage qui s'effondre s'echauffe (c'est pratique pour que le Soleil brille ! ) Bref, ce que je raconte est un peu trivial, mais pas inutile au contexte je crois.
La limite mathematique est loin d'etre simple. Prend un cas ideal d'univers avec seulement des photons. La densite d'energie et la temperature sont en correspondance de telle sorte que la densite d'entropie (calculee par Gibbs) reste fixe il me semble. C'est juste l'entropie d'un gas de photons.
Pratiquement, la presence d'un seul trou noir dans tout l'univers compliquerait encore les choses.
A part, je confirme que j'ai moi aussi du mal a supporter les majuscules. JE NE SUIS PAS SOURD
Quelle différence fais-tu avec la séparation spontanée entre un solvant et un soluté qui cristallise?
Si le gaz qui s'effondre émet un rayonnement en quantité suffisante, il peut y avoir augmentation d'entropie.
La diminution locale de l'entropie n'est pas contradictoire avec son augmentation globale.
Ceci dit, je ne discute pas le fond, juste l'exemple choisi pour illustrer ce fond.
Cordialement,
Au niveau ou se placait ma remarque, aucune.
De facon moins superficielle, je n'ai pas l'impression que dans ton exemple la gravite joue un role explicite. Je peux faire l'experience dans le vide.
Le caractere universel de la thermodynamique est remarquable. Avant que les reactions nuclaires ne rentrent en jeu, mon exemple joue un equilibre dynamique entre electromagnetisme et gravitation.
bonjour,
je ne voudrais pas metttre les pieds dans le plats mais qu'es-ce que le temps ?
Et lorsqu'on y réfléchie (ou qu'on se documente) la question de ce débat pourrait être :
comment le concept de temps est-il généré par l'augmentation d'entropie ?
Bonjour,
Idée: du fait du principe de moindre action, chaque particule tend, depuis le Big Bang, à minimiser la différence entre son énergie cinétique et son énergie potentielle au cours du temps. Il en résulte une homogénéisation de la répartition de la masse-énergie d'où une augmentation de l'entropie.
bonjour,
Sauf erreur de ma part, l'univers doit logiquement être un système isolé, or pour ce type de système, l'entropie ne peut qu'augmenter.Envoyé par nikcosNotre univers issu du chaos originel n'a jamais cessé de s'organiser, l'ordre est apparu et l'entropie ne cesse de diminuer.
les gens qui ont des montres n'ont pas le temps. Sagesse africaine