Salut à tous !
Je me demande : Comme un photon possède une vitesse, mais pas de temps propre, est-ce que cela signe l'arrêt de mort de l'espace-temps et la commémoration des interactions relationnelles ?!
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Salut à tous !
Je me demande : Comme un photon possède une vitesse, mais pas de temps propre, est-ce que cela signe l'arrêt de mort de l'espace-temps et la commémoration des interactions relationnelles ?!
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Bonsoir,
Qu'est-ce que tu entends par "pas de temps" propre ?
Cordialement,
Non, "temps propre", on ne peut associer de référentiel à un photon ! C'est tout !
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Je ne vois pas quel lien il y a entre la propriété d'un photon et le "pléonasme" interaction-relationnelles ?
Le fait que les cônes de lumière qui caractérise le photon soient une structure intrinsèque de (E , g), c’est-à-dire que leur définition ne fasse appel aucunement à la notion d’observateur, est la traduction géométrique de l’indépendance de la vitesse de la lumière par rapport à tous les observateurs inertiels (l’un des postulats historiques d’Einstein (1905)).
Dans une vision 4D on pourrait interpréter que le photon est immobile Par contre tous les objets de l'Univers de masse non nulle se "déplaceraient" dans l'espace-temps toujours à la même vitesse, celle de la lumière.
Patrick
Dernière modification par invite6754323456711 ; 12/11/2010 à 21h03.
bonsoir,
ça veut dire que le photon n'a pas de temps propre tel qu'il est définis par la relativité : http://fr.wikipedia.org/wiki/Temps_propre
un conséquence par exemple c'est que ça n'a pas de sens de parler de la duré de vie d'un photon.
vu que le photon ce déplace a vitesse c on pourrais dire que dans son référentiel le temps est dilaté a l'infini et donc les durées sont nulles, j'ai dit on pourrais pour essayer d'expliquer ce qui ce passe, mais il faut retenir qu'il n'existe pas de référentiel ou on peut avoir le photon au repos, il se déplace toujours a vitesse c.
La logique est une méthode systématique d’arriver en confiance à la mauvaise conclusion.
Est-ce que tous ces questionnements et affirmations ne pourraient pas être causés par une vue "naïve" consistant à "concevoir" un photon comme une "petite bille", comme une particule ?
C'est toute la difficulté, me semble t-il, de vouloir interpréter : « La courbe d'univers d'un rayon lumineux dans l'espace-temps de Minkowski est une géodésique de longueur nulle »
Patrick
Rovelli bien sûr ... n'a-t-il rien inventé ?
La difficulté est, me semble t-il, de formaliser une vision épistémologique qui c'est développé au fil de l'histoire. Il me semble qu'avec Alain Connes ils ont formulé (Dixit Wiki) un modèle covariant de la théorie quantique des champs, basé sur l'hypothèse du « temps thermique ».
Patrick
La RG est "relationnelle", et ce depuis sa conception, et Einstein explicitement indiquait être inspiré par Mach.
Mais la Physique Quantique telle qu'elle est actuellement n'est pas compatible avec les principes mêmes de la RG. La PhyQ est exprimée avec un arrière-plan explicite, un espace-temps statique. C'est l'un des aspects de l'incompatibilité entre ces deux grandes théories du XXème siècle.
Les "relativistes", comme Rovelli, essayent de trouver une théorie intégrant la RG et la PhyQ en gardant les principes essentiels de la RG. Alors qu'il n'est pas si clair qu'on puisse dire la même chose de la théorie des cordes, qui est plutôt inspirée par l'idée d'ajouter la gravitation au modèle standard.
La tentative des "relativistes" consiste donc de pousser au bout le "cadre relationnel", qui est en lui-même une idée "ancienne".
Merci à vous !
Mais je me demande pourquoi ne pas plutôt utiliser la MQ pour élaborer la RG et au delà !!!
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Les équations du champ de la RG semblent pouvoir se déduire d'un principe de force ou puissance maximale F <= c4/4G : Volume II http://www.motionmountain.net/bienvenue.html
Ce qui semble avoir conduit au principe holographique qui jette les ponts entre le principe d’équivalence de la relativité générale et le principe de complémentarité de la physique quantique : http://www.gicotan.fr/Cosmo/Chapitre_GC-T_SH_v2_pdf.pdf
Patrick
D'une manière rgénérale, s'il reste désespérément plat, on va plutôt vers l'individualisme forc(en)é, mais il se peut qu'il trouve des limites inhérentes à sa physique, et que dans un futur pas si lointain il avoue des courbures propices au regroupement.