La théorie du Chaos,
http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_du_chaos
Attention, que ce soit bien clair, je propose un débat scientifique par un débat éthiquo-philosophie sur le pour ou contre des OGM.
Eloignons nous maintenant de la physique pour nous intéresser à la biologie, plus particulièrement aux OGM.La physique est fondée sur le postulat que l'univers possède des lois, et toute son ambition est de les trouver. De ce point de vue, il n'y a donc pas de système désordonné : tous les systèmes ont tous un ordre, des lois qui les décrivent.
Par contre, il est bien évident pour tous qu'il existe des systèmes "compliqués", dotés de trop de facteurs pour qu'on puisse tous les prendre en compte et faire des calculs de prédiction précis. Ces systèmes apparaissent désordonnés.
Petit clin d'oeil à Jurassic Park;
Jef Goldblum y incarne un savant "chaoiste" aui prédit la pire des catastrophe imprévisible puisque comme il dit
"la vie trouve toujours le chemin de la vie".
Dans la réalité c'est un peu la même chose puisque des ogm deviennent vulnérables à des souches résistantes d'insectes,
Voir également tout ce qui n'avait pas été prévu sur
http://fr.wikipedia.org/wiki/Organis...contre_les_OGM
Risques alimentaires
Il faut distinguer les risques liés au gène lui-même des risques liés à la protéine qu'il fait produire à l'organisme. Il n'y a pas d'effet nocif connu des acides nucléiques (support matériel des gènes). De ce point de vue, il y a consensus sur l'innocuité des gènes introduits. En revanche, les protéines produites peuvent présenter des risques de toxicité (rarement) ou, plus fréquemment, d'allergénicité.
Il y a en France une controverse sur l'évaluation de ces risques. Selon Gilles-Eric Séralini (Professeur de biologie moléculaire à l’Université de Caen et ancien membre de la Commission du génie biomoléculaire en France), ces risques ne sont pratiquement pas évalués aujourd'hui dans les procédures d’autorisation des OGM. Les membres de la Commission du génie biomoléculaire sont d'un avis opposé. Les détails de la controverse peuvent être lus dans le rapport annuel de cette commission.
Dans l'exemple de la transplantation d'un gène de la noix du Brésil (améliorant la teneur en un acide aminé, la méthionine) dans le génome d'un soja destiné au fourrage, il s'est révélé que la protéine codée par le gène inséré était responsable de l'allergie à la noix du Brésil chez l'homme. Même si la consommation de fourrage n’est pas une habitude de l’alimentation humaine, le principe de précaution a conduit à interdire un tel montage génétique pour prévenir tout risque lié aux phénomènes de contamination dans les circuits de distribution.
Selon un rapport sur « les OGM et l'alimentation » publié par l'Afssa le 13 mai 2004, « à ce jour, aucun problème de santé, qu’il s’agisse de toxicité ou d’allergénicité, n’a pu être spécifiquement attribué à un OGM mis sur le marché ». Cependant ce rapport met aussi en évidence le manque d’analyses préalables suffisantes nécessaires à rassurer les consommateurs par rapport aux aliments transgéniques. FRANCE - AFSSA : Innocuité sanitaire des OGM ?
Expérimentalement, une étude récente a prouvé l'absence d'allergénicité spécifique aux lignées de maïs et soja transgéniques testées (Lack of detectable allergenicity of transgenic maize and soya samples, Journal of Allergy and Clinical Immunology 116:2, août 2005). Les chercheurs portugais signataires de l'article préconisent cependant en conclusion la mise en place en routine de tests d'allergénicité et de sensibilisation des aliments après leur mise sur le marché.
Risques alimentaires
Il faut distinguer les risques liés au gène lui-même des risques liés à la protéine qu'il fait produire à l'organisme. Il n'y a pas d'effet nocif connu des acides nucléiques (support matériel des gènes). De ce point de vue, il y a consensus sur l'innocuité des gènes introduits. En revanche, les protéines produites peuvent présenter des risques de toxicité (rarement) ou, plus fréquemment, d'allergénicité.
Il y a en France une controverse sur l'évaluation de ces risques. Selon Gilles-Eric Séralini (Professeur de biologie moléculaire à l’Université de Caen et ancien membre de la Commission du génie biomoléculaire en France), ces risques ne sont pratiquement pas évalués aujourd'hui dans les procédures d’autorisation des OGM. Les membres de la Commission du génie biomoléculaire sont d'un avis opposé. Les détails de la controverse peuvent être lus dans le rapport annuel de cette commission.
Dans l'exemple de la transplantation d'un gène de la noix du Brésil (améliorant la teneur en un acide aminé, la méthionine) dans le génome d'un soja destiné au fourrage, il s'est révélé que la protéine codée par le gène inséré était responsable de l'allergie à la noix du Brésil chez l'homme. Même si la consommation de fourrage n’est pas une habitude de l’alimentation humaine, le principe de précaution a conduit à interdire un tel montage génétique pour prévenir tout risque lié aux phénomènes de contamination dans les circuits de distribution.
Selon un rapport sur « les OGM et l'alimentation » publié par l'Afssa le 13 mai 2004, « à ce jour, aucun problème de santé, qu’il s’agisse de toxicité ou d’allergénicité, n’a pu être spécifiquement attribué à un OGM mis sur le marché ». Cependant ce rapport met aussi en évidence le manque d’analyses préalables suffisantes nécessaires à rassurer les consommateurs par rapport aux aliments transgéniques. FRANCE - AFSSA : Innocuité sanitaire des OGM ?
Expérimentalement, une étude récente a prouvé l'absence d'allergénicité spécifique aux lignées de maïs et soja transgéniques testées (Lack of detectable allergenicity of transgenic maize and soya samples, Journal of Allergy and Clinical Immunology 116:2, août 2005). Les chercheurs portugais signataires de l'article préconisent cependant en conclusion la mise en place en routine de tests d'allergénicité et de sensibilisation des aliments après leur mise sur le marché.
Risques éthiques
Les manipulations génétiques posent le problème de la bioéthique. Généralement perçu comme moralement acceptable chez les organismes végétaux, bactéries et virus, le recours aux techniques de transgenèse est parfois considéré comme illégitime d'un point de vue :
philosophique : lorsque la transgenèse heurte les conceptions que l'on peut avoir à l'égard de la nature,
religieux : lorsque la transgenèse est perçue comme un blasphème.
Les partisans comme les adversaires des OGM empruntent chacun des concepts philosophiques et religieux pour défendre leur point de vue :
des opposants aux OGM critiquent leur application à la modification génétique des animaux et a fortiori de l'homme. Ils s'inquiètent d'une dérive de ce type de pratique vers le mythe de l’« homme parfait » et d'eugénisme.
des partisans des OGM estiment qu'une conception de la nature fondée sur la notion de « pureté génétique » est suspecte.
Risques de restriction du choix
Du fait des possibilités de dissémination non maîtrisée des gènes et les mélanges de semences dans les circuits d’approvisionnement-distribution, la culture de plantes OGM peut conduire à détecter la présence de transgènes dans des denrées où leur présence n'a pas été voulue par les producteurs. Dans l'Union européenne, des seuils de présence fortuite d'OGM sont prévus, mais, pour les opposants aux OGM, le développement des surfaces cultivées (même à but d'expérimentation) avec des OGM apparaît incompatible avec la coexistence de l'agriculture biologique. En effet, les champs n'étant pas des milieux confinés, et les grains de pollen pouvant circuler à très grandes distances, les cultures OGM peuvent se mêler à d'autres cultures, la reversibilité étant impossible et la consommation inévitable.
Le risque réel est ici essentiellement d'ordre commercial et marketing dans la mesure où la présence d’OGM dans des produits naturels biologiques remet en cause la confiance des consommateurs dans le label certifié « bio ». En effet, les denrées « bio » pourraient ne pas porter la mention réglementaire « contient des OGM » tout en contenant une faible teneur de transgènes. Les consommateurs d'aliments bio sont aujourd’hui particulièrement inquiets de ces risques. Le marché du « bio », en croissance permanente du fait de l’attention soutenue des consommateurs aux qualités sanitaires des aliments, risque ainsi d’être déstabilisé.
Pour ma part, je pense que dans beaucoup expérimentations, il y a au début pas mal de tatonement pour réussir un maitriser ce qui à la base n'avait pas forcément été prévu,
C'est le cas pour les thérapie génique, le clonage,
C'est aussi probabelemnt le cas pour le portable dont on ne sait pas encore si c'est dangereurx ou pas.
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