Bonjour
De plus en plus confronté à la désinformation, le corps médical fait désormais fasse à ce qui n'est plus des exceptions plus ou moins isolées mais un phénomène de fond largement réseauté et tout bonnement viral.
Il est sans doute possible de poser un diagnostic et a priori de construire des prohylaxies (éducation en amont) voire des cures (rééduquer ?). Pour quelles conséquences ? On entre quand même dans la caractérisation de ce qui s'apparente à un jugement altéré. Une personne touchée peut-elle encore prendre des décisions rationnelles ou qualifiables comme telles au regard de la Loi ? Si tel n'est pas le cas, ça implique quand même des prises en charges particulières tant médicalement que juridiquement.
A quel point l'altération du discernement d'une personne peuvent-elles être assimilées/qualifiées comme altération de la capacité de jugement (en: impairment of judgement) ?
Je remercie d'avance la modération (en espérant qu'il y ait plus de peur que de mal) et tous les participants (qui sont priés de ne pas initier/inviter des HS polémiques ni de troller) qui discuteront de façon constructive de ce sujet et autour du sujet (digresser n'est pas un mal tant que ça reste lié au présent sujet et que ç'a un intérêt réel -- scientifiquement/médicalement parlant et/ou éthiquement parlant, et à l'avenant*).
* : A entendre comme: questions néophytes mais pas faussement néophytes (=rhétoriques), parallèles/digressions possibles avec d'autres domaines comme l'Education ou la Vulgarisation ou l'Histoire, ou encore des inférences psychanalytiques tant que ce n'est pas du grand n'importe quoi. Bref, ça n'est pas une invitation à faire de la patascience ni à faire de la philo de comptoir, ni même à faire un procès de la Science/Médecine ni à faire de la politique pas plus que de la propagande complotiste (mentions non-exhaustives) et bien d'autres trucs exclus par la charte FSG.
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