Enceinte et à la fraise

[ThM55]

tu ne réponds pas à mon objection.

Madame peut encore changer d'avis et chercher un autre monsieur qui voudra bien s'occuper du bébé.
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[oxycryo]

tu ne réponds pas à mon objection.

tu dis que c'est un peu tard, j'en conclue que tu penses que la sélection sexuelle se fait apriori... je dis que neni, elle cours pendant toute la période de l'enfance... qui n'est point assurée jusqu'à la maturité sexuelle (enfin pour notre espèce) papa ne doit pas être seulement le Rocco Sifredi de ses bois, mais aussi doit assurer le devenir de sa progéniture, sans quoi, l'échec marque la fin du processus de reproduction et la fin de la lignée génétique des deux parents(variants) passant par l'enfant.

reste à savoir ce que tu posais par sélection sexuelle, j'entends plutôt sélection de reproduction...

tout l'intérêt de la sexualité binominale acquise il y a 2 milliard d'année, eu-égard à la parthénogénèse bactérienne, repose sur cette contrainte à postériori du choix du partenaire le plus apte.. d'un double choix commun pour en faire un troisième... là où le rêves des bactéries est d'être 2...4...8 adlib... mais où il n'y a pas de contrôle apostériori des variants les plus aptes versus un environnement... ce qui n'est pas le cas pour la sexualité... où il y a un contrôle apostériori de chaque variant sur tout autres... et comme le dirais justement le Blob... sur ceux qui ont le plus de flocon d'avoine

[MissJenny]

tu ne comprends pas : si une femme doit choisir un "bon père", c'est avant d'être enceinte qu'elle doit exercer ce choix. Après il faudra qu'elle fasse avec lui.

[JPL]

C'est un peu radical et il y a des arguments te donnant tort.

Je ne parlais pas de la théorie de la sélection sexuelle mais de l’application de celle-ci à un sujet futile qui doit une bonne partie de sa "crédibilité " à des légendes urbaines, plus qu’à des observations réelles. Bien entendu la grossesse est un état physiologique particulier qui, comme d’autres, peut causer des modifications de l’appétit et de l’appétence, mais rien qui justifie ces caricatures qu’un mari, aussi attentionné soit-il, se sente obligé de faire des kilomètres pour satisfaire des envies impérieuses, capricieuses et irréalistes.

Bref on discute sur un cliché.