Bonjour à tous,
Je cherche un moyen de transformer un contact continu en impulsion unique (sous 5 ou 12 V continu).
Est-ce que le montage ci-joint permettrait d'obtenir cette impulsion unique en cas de contact permanent sur l'ILS ?
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Bonjour à tous,
Je cherche un moyen de transformer un contact continu en impulsion unique (sous 5 ou 12 V continu).
Est-ce que le montage ci-joint permettrait d'obtenir cette impulsion unique en cas de contact permanent sur l'ILS ?
Bonjour JPDEREUX
Genias a repondu a ta question,
Mais si tu souhaite plus d'informations sur ce montage cherche sur google :
NE555 montage a monostable
Bonjour,
j'ai testé le montage, mais en sortie, je n'ai pas eu ce que j'entendais par impulsion unique, c'est à dire une fraction de temps (dépendant à priori de la valeur des des composants associés au NE 555), mais une impulsion d'une durée égale à celle du contact d'entrée. Ce que je voudrais , c'est une seule impulsion d'une fraction de seconde, à partir (au pire) d'un contact continu.
Je ne pense pas m'être trompé dans le montage, si toutefois vous me confirmez que le montage dont j'ai fourni le plan est correct, je vais le refaire plus soigneusement.
Merci d'avance, bonne fin d'année à tous, et meilleurs voeux pour 2009
Bonjour!
J'ai une question ou va cette impulsion??
Un condensateur de liaison permetrait pas une impulsion? A la fois positive lorsque c'est front montant et négative lorsque c'est front descendant.
Bonjour,
L'impulsion est destinée à commander un relais (12 v 360 ohms)
Voila le schéma de ma commande actuelle :
elle sert, par l'intermédiaire de l'ILS, à envoyer par le relais , une impulsion sur un des bobinages d'aiguille ( c'est du modélisme ferroviaire), gros consommateur de courant.
Le montage fonctionne très bien, seulement, il y a un danger : si l'ILS fournit un contact permanent (arrêt sur celui-ci de la loco portant l'aimant de commande), le bobinage de l'aiguille chauffera et sera même détruit.
C'est pour cette raison que je cherche à limiter dans la durée l'impulsion fournie au relais.
Bjr à tous,
Faudrait AUSSI connaitre les caractéristiques du dit relais.
Pas sur que le relais ai le temps de collé SI il n'y a QUE cette impulsion pour le commander .
Tout au plus il va collé/décollé aussi sec.
Un petit schéma COMPLET est TOUJOURS bienvenu.
Bonne journée
bonjour,
j'ai bien compris qu'un ils doit déclencher la commande d'un électroaimant pendant quelques dixieme de seconde même si ton train reste au dessus de l'ils . Combien de temps aprés le premier declenchement est autorisé le deuxieme ?
je suis en train (c'est le cas de le dire !) de faire ce développer type de montage pour un ferrovipathe et j'utilise un pic ce qui me permet de gerer ce type de probleme . apres la detection de l'ils on peux programmer de ne plus le prendre en compte pendant quelques dizaines secondes par exemple (le temps de laisser refroidir )l'électroaimant .
quand j'aurais progressé dans le programme je le mettrai sur mon site .
cordialement
Alain
Bonjour à tous, et meilleurs voeux pour 2009
J'ai trouvé un peu par hasard une solution à mon problème, sans NE 555, mais par décharge de condensateur.
Après plusieurs essais, j'ai trouvé les valeurs des composants à utiliser pour avoir mon impulsion de commande de relais unique, même si le contact sur l' ILS reste permanent, mais permettant une autre impulsion dans un délai de 10 secondes (temps de recharge du condensateur) après rupture du contact de l' ILS.
Voila le schéma, qui n'a plus rien à voir avec celui que je comptais utiliser au début
De mon temps (il y a 30 ans), les moteurs d'aiguille étaient équipés d'interrupteurs de fin de course pour éviter ce genre de problème.
Une fois l'aiguille en position, la bobine était déconnectée du fil correspondant à ce sens, et seul le fil correspondant au basculement de l'aiguille dans l'autre sens était actif. On pouvait donc laisser sans crainte les moteurs d'aiguille alimentés en permanence.
Je m'étonne que ce ne soit plus le cas maintenant.
Bonjour,
C'est toujours le cas pour les aiguilles avec moteur intégré, mais les moteurs séparés n'ont pas de contacts de fin de course. (on peut toutefois en ajouter, mais c'est un autre problème)
Bonjour,
si j'ai bien compris le shemas on charge le condensateur qui est alors près a alimenter l'ils le temps de la sa decharge dans le bobinage .
puis le la nouvelle commande n'est possible que lorsque le condensateur est à nouveau charger avec une constante de temps RC
avec les valeurs du schemas
R=1000 ohms
C=0,000100 (100µF)
RC= 0,1
donc pour moi le temps est de 0,1Seconde est non pas de 10S .
ou alors j'ai pas tout compris ?
cordialement
Alain
Les moteurs d'aiguille que j'utilisais il y a 30 ans étaient pourtant bien séparés...
Ça irait de mal en pis ? Alors quel progrès !
Ca doit être ca, mais étant brouillé avec les chiffres, je n'avais pas fait le calcul, et le délai que j'ai mentionné n'est pas le temps de recharge théorique du condensateur, mais le temps que j'ai mis pour retester le montage.
Désolé pour l'approximation, j'ai encore beaucoup à apprendre dans ce domaine.
Quelle était la marque des aiguilles et des moteurs ?
Pour ma part, j'utilise deux sortes de moteurs avec des aiguilles PECO (vendues sans moteurs)
- des moteurs SEEP à solénoides (anglais), pas chers , mais consommant beaucoup de courant, et disposant d'un seul inverseur, dont l'un des contacts alimente un relais, qui effectue diverses opérations : inversion de la polarité de la pointe de coeur, répétition de la position de l'aiguille par leds, et qui pourrait en plus servir pour la fin de course (mais bonjour le cablage !)
- des moteurs à mouvement lent (moteur + vis sans fin), qui, eux, possèdent des contacts de fin de course, inversant le sens de rotation du moteur
Arnold (maintenant repris par Hornby)
Bonjour,
pas de doute, les deux éléments formaient un ensemble de qualité et étaient prévus pour éviter les surchauffes. Des modèles similaires existent toujours, que ce soit en N ou H0, j'en ai quelques uns dans les parties cachées de mon réseau, mais tous les autres ont des moteurs placés sous la table de roulement, ce qui est plus esthétique, et permet de coller à la réalité ( option modéliste du réseau).
Le modèle que j'utilisais (et qui est représenté sur la photo) pouvait indifféremment être monté au-dessous ou en-dessous du plan des rails. Il pouvait donc totalement disparaître sous le ballast et sauvegarder ainsi l'esthétisme et le réalisme de la maquette. Le petit trou (en bas à gauche sur la photo) permettait de commander un mécanisme annexe, comme un signal mécanique ou un levier apparent.