Je fais mes mesures avec un multimètre.
Je peux faire varier la tension d'entrée via un potentiomètre du LM et du coup ça change aussi la tension entrée pour le TL. Avec un bon réglage de Vin du LM, j'arrive à faire des variations de 400mV en sortie TL.
C'est idiot: il est impossible de tester un ampli AC des niveaux et des instruments DC. Tout au plus peut-on vérifier que les tensions au repos, sans signal, sont correctes.
Mais pour réellement tester le fonctionnement, il faut injecter un vrai signal d'entrée, et voir à l'oscillo comment il se retrouve à la sortie.
A la limite, si tu n'as pas d'oscillo à disp, tu le réalises soigneusement, avec le gain prévu (qui est facilement et précisément calculable), tu vérifies qu'il n'y a pas d'anomalie en DC, et tu l'utilises tel quel pour ton application. Ca devrait fonctionner.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
C'est pas encore fini ??
Ps : si un diviseur donne 4,9V et l'autre 5,1V çà peut pas aller
J'ai aussi un oscilloscope à dispo.
Quand je me branche dessus, j'ai un carré avec des états bas très brèfs. (carrement une pointe)
C'est vrai que sur l'oscillo en calibre 1V/div ,j'ai une variation de presque 2carr. et demie par rapport à l'entrée. Mais avec le multimètre ça donnerait carrem. autrechose.
Bizarrement c'est l'état bas du carré qui varie donc il descend et non pas l'état haut ou alors très peu.
L'oscillo est la seule méthode fiable pour déterminer l'amplification.
Si tu veux continuer, il faudrait que tu postes des screenshots des signaux d'entrée et de sortie, et que tu sois un peu plus bavard sur le but recherché.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
En fait je veux monter un détecteur de métaux. Ca semble fou mais voilà mon schéma qui correspond déjà à ma construction actuelle.
Un NE555 qui fournit un signal rectangulaire et que j'inverse afin d'avoir des états hauts plus brefs que les états bas et donc des impulsions brefs.
Ensuite j'amplifie avec une première partie du LM358. J'envoye le tout sur le transistor de puissance 2N3055 et ensuite sur la bobine.
En approche d'un métal à proximité de la bobine, le courant qui parcourt la bobine semble augmenter.
Je repêche une petite partie du signal donc au niveau de la bobine et je l'amplifie avec le fameux LM358 (seconde partie et ensuite avec le TL). Le potentiomètre au niveau de la bobine me sert à doser le courant à amplifer et avec ça aussi la sortie des amplis.
Ensuite je veux envoyer le tout sur un galvanomètre à aiguille qui me montrera la variation du signal.
Enfin c'est ce que je comtpe faire. C'est peut être un schéma un peu barbare mais bon.
Maintenant voici différentes images que j'ai pris en photo de l'oscillo (un vieux oscillo mais fidèle)
La 1. prise est la sortie du NE555 cal.0.1ms/div et 2V/div.
La 2. prise est le signal inversé avec le transistor mêmes calibes que pour le signal précedent.
La 3. prise est la sortie du second amplificateur cal 0.2ms/div et 0.5V/div
La 4. prise est le même signal avec une approche d'un objet métallique sur la bobine.
Donc le haut du signal bouge à peine tandis que les pointes du bas descendent beaucoup (2.5V environ)
En somme c'est un détecteur type PI. Mais il y a beaucoup d'incohérences et de problèmes potentiels.
Ce qui est entre le 555 et le 2N3055 est inutile: il suffit d'une diode sur le 555 pour lui faire sortir directement le bon signal; le 3055 lui-même est discutable: pour presque tous les réglages du potentiomètre, sa puissance ne sera pas utilisée, et vers 0, c'est la fin de piste du potentiomètre qui cramerait.
La chaine d'amplification a les problèmes que tu connais, mais qui peuvent être résolus, par contre à l'entrée, il va y avoir des difficultés: le signal de sortie de la self a une forte amplitude générale, et seule une petite partie, le trainage après l'impulsion a de l'intérêt et doit être amplifiée. Il faut donc un système d'échantillonnage/ecrêtage pour ne garder que la partie intéréssante. Le reste ne servira qu'à saturer les amplis.
Enfin, pour afficher le résultat sur un galva, il faut le redresser d'une façon ou d'une autre, soit avec une diode, soit avec un switch d'échantillonnage synchronisé au bon moment de l'impulsion.
Ce genre de principes est implémenté dans les divers schémas que l'on peut trouver sur le net. Il vaut mieux commencer par là plutot que de réinventer la roue depuis le début:
http://engnet.anu.edu.au/DEpeople/Sa...aching/TA5.pdf
http://thunting.com/smf/downloads.html;cat=16
http://www.oldradiobuilder.com/mdetsp.html
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Merci beaucoup pour les documentations
et votre patience.
Je vais voir ce que peux faire.
