Bonsoir,
J'ai trouvé ce montage assez sympa qui permet de mettre une sphère métallique en sustentation avec l'aide d'un électroaimant.
Quelqu'un pourrait-il m'expliquer comment fonctionne la partie figure 1 svp ? Je comprend le principe du système (avec le photo transistor, qui ordonne ou non d'aimanter suivant la position de la boule), mais pas l'utilité de chaque composant. Comment arrive t'on a ce schéma ?
Merci d'avance
http://d.nardi.free.fr/sphere.htm
devoir à rendre quand ?
simple intérêt pour un montage que je compte réaliser ...
Probablement qu'un simple capteur et émetteur infrarouge brancher sur un comparateur et envoyer a un microcontrolleur qui contrôle un transistor pour l’électroaimant ferais l'affaire...
le microcontrolleur est probablement facultatif et le transistor pourrais aussi bien être contrôler par le comparateur mais si la machine a besoin d'ajustement ce serais beaucoup plus facile par la suite...
Bjr à toi,Envoyé par marshall_
En gros cela s'appele de la rétroaction. As tu lu le descriptif du montage ?o
C'est une commande AUTOMATIQUE de variation du champ magnétique.
Si la boule s'éloigne , cela augmente l'attirance.
Si la boule est trop prés cela diminue l'attirance (le courant dans l'électro).
Il ya forcément un POINT ou cela s'équilibre.
@mgduc: t'as pas du LIRE le lien!
A+
ok merci les gars, et pourquoi utilise t-on un BC337 et après un BD679 ? et à quoi sert le condensateur entre les deux (celui en parallèle avec la resistance de 3k3)?
merci
Dernière modification par marshall_ ; 28/12/2012 à 09h39.
Bonjour marshall_ et tout le groupe
Intéressant et spectaculaire. La teneur des questions qui suivent risquent d'émousser un peu l'enthousiasme, tant elles sont basiques. Bon courage!
Tu devrais t'apercevoir, lors de ta réalisation, que le courant traversant les bobine devra être gigantesque, ce qu'est incapable de fournir la cellule. C'est donc simplement, un amplificateur de puissance.
Le gigantisme de cette intensité imposera que le gros transistor soit très efficacement refroidi, sinon, le fonctionnement ne durera pas plus de quelques secondes.
Rien ne prouve qu'il sera indispensable, pourtant, sa présence laisse supposer que des surprises peuvent être au rendez-vous, et qui condamnent, a priori, les propositions du genre microcontrôleur, dont la réponse n'est pas assez efficace en terme de rapidité. Il faut, dans ce dernier cas, constater une erreur, définir une action corrective, la réaliser, pour s'apercevoir qu'il est trop tard, et écrouler le système.
La seule solution, ici, est exclusivement analogique.
Cette capacité essaie donc de compenser un des effets pervers de la prise de décision décrite au dessus. Elle apporte ce que l'on appelle une avance de phase, qui tend à anticiper la correction, ce qui pourra, peut-être, éviter le décrochage.
Le plus difficile, sera de construire une (électro)mécanique qui veuille bien se comporter comme tu le souhaites.
ok merci bien gienas
