Bonjour ,
je suis débutant en électronique et souhaiterai bénéficier de vos conseils .
Mon projets et de piloter 2 cellules et 2 vérins électriques alimentés en 24v , avec les entrée sortie d'une carte arduino , le coté programmation ne me pose pas de problème .
Ma question est : quel composant ( relais ou autres .......) dois je installés entre la sortie de la carte est les verins et cellules pour qu'ils fonctionnent aux signal haut et bas du programme .
Merci de vos réponses
Salut,
A priori, si tes distributeurs de vérin fonctionnent en tout ou rien (c'est à dire 0 ou 24v), le mieux est effectivement d'utiliser un relais. Mais la sortie de la arduino n'est pas forcément conçue pour piloter directement un relais, aussi je te conseille d'utiliser un transistor en commutation pour cela. (Ta sortie d'arduino reliée à la base d'un 2n2222 par l'intermédiaire d'une résistance de 1k, emetteur à la masse et ton relais entre Vcc et le collecteur via une résistance de 300 ohms)
Si le distributeur ne demande pas plus de 100mAEnvoyé par Yoruk
et ton relais entre le 24V et le collecteur (ne pas oublier la diode de roue libre en inverse sur le distributeur)et ton relais entre Vcc et le collecteur via une résistance de 300 ohms)
PS : Pour plus de 100mA, mettre un darlington ou mieux,un NMOS
Bjr à toi et bienvenue sur FUTURA
Faut connaitre les capacités "électriques" des sorties de la carte (tension/ courant)
pour savoir ce que tu peux alimenter. A ce niveau là ça ne sera que : commander un transistor..
ou autre du meme genre ( ULN...).
Ce transistor commandera à son tour un relais qui lui pourra commander ton vérin.
Les caractéristiques du relais (pouvoir de coupure et tension) vont dépendre des tensions et
courant (inconnues pour l'instant ) consommés par ton vérin.
Bonne jounrnée
Dernière modification par f6bes ; 24/03/2013 à 10h44.
Merci pour la correction, DAUDET78.
Après, si le vérin électrique dont tu parles est piloté en tension "analogique" et non en tout ou rien, un relais n'est pas adapté !
Bonjour,
juste une petite remarque ...
J'ai lu quelque part qu'il était préférable de faire absorber du courant par les sorties d'un microcontrôleur,plutôt que lui en faire débiter.Pour quelques micro ampères ça n'est peut être pas préjudiciable,mais pourquoi ne pas s'habituer dès le départ à le faire travailler correctement? concrètement,utiliser un pnp qui lui,commandera un npn...
c'est une question que je pose...
merci
C'était surtout vrai en technologie TTL donc bipolaire. En technologie CMOS, c'est quasiment kif kif au niveau haut ou niveau bas . Par contre, il faut utiliser les valeurs de courant max spécifiées Iol et Ioh (et pas les absolute maximum rating !)
BonjourJe peux citer en contre-exemple l'Arduino dont il est question ici, qui selon le modèle peut être équipé d'un micro-contrôleur ATmega 168, 328 ou 2560.
Le spécifications du constructeur indiquent que le courant maximum par sortie individuelle est le même à l'état haut (IOH) et à l'état bas (IOL).
De plus, il existe des limites par groupe de sorties. On relève notamment :
On constate que pour les ATmega168/328 qui équipent notamment les Arduinos UNO, certaines configurations (utilisation des sorties 0 à 13 notamment) permettent d'atteindre une somme de courants plus importante à l'état haut qu'à l'état bas (nb: d'autres configurations autorisent également l'inverse).Code:ATmega168PA/328P: IOL: A0...A5, A6, A7 < 100 mA 0...4 < 100 mA 5...13 < 100 mA IOH: A0...A5, A7, 0...4 < 150 mA 5...13, A6 < 150 mA ATmega2560: IOL/IOH: 14, 15, 22...29, 39 < 200 mA 18...21, 30...38, 40...49 < 200 mA 6...13, 16, 17, 50...53 < 200 mA 0...5 < 100 mA A0...A15 < 100 mA
je vais donner un avis d'ordre général , appuyé par l'expérience de quelques années de BE.
les µ-controleurs , cartes programmables , etc , traitent de l'INFORMATION .
et il ne faut pas leur en demander plus , notamment fournir du COURANT.
bref , toute sortie logique OU analogique de traitement de l'information doit être exploitée
à travers une interface , de la plus basique : simple transistor de commutation, à la plus sophistiquée :
AOP, circuits de puissance , etc....
comme dit le bon sens : "chacun son métier , et les vaches seront bien gardées"
adapté à l'électronique :
"interface tu utilisera,
sommeil tranquille tu gagnera"
Merci pour toutes vos réponses je vais etudier toutes vos infos , et vous donner la suite
Bon dimanche
+1 ...............
Merci pour vos réponses précises,
@Pixel,
il parait évident que pour commander des équipements de puissance il soit necessaire de passer par des interfaces
mais lorsqu'on suit les cours d'un didacticiel comme celui du zéro,par exemple,conçernant l'arduino,et qu'au fil des expériences on voit de plus en plus de leds s'allumer sur la bread-board,on finit par se poser des questions
merci encore pour vos éclaircissements instructifs
biscotte ces textes sont écrits par des pisseurs de lignes qui ne CONNAISSENT RIEN à l'ÈLECTRONIQUE,mais lorsqu'on suit les cours d'un didacticiel comme celui du zéro,par exemple,conçernant l'arduino,et qu'au fil des expériences on voit de plus en plus de leds s'allumer sur la bread-board,on finit par se poser des questions
merci encore pour vos é
et encore MOINS à la PHYSIQUE.
ce qui est la maladie congénitale des informaticiens , je suis payé pour le savoir !
Le site du zéro fournit notamment des explications pour bricoler à moindre coût. Il s'agit donc pas forcément de mettre en œuvre de « bonnes pratiques », et certainement pas comme l'exige certains niveaux de qualité recherchés dans les milieux professionnels.mais lorsqu'on suit les cours d'un didacticiel comme celui du zéro,par exemple,conçernant l'arduino,et qu'au fil des expériences on voit de plus en plus de leds s'allumer sur la bread-board,on finit par se poser des questions
Il se trouve que les limites assez élevées du µC de l'Arduino offrent quelques possibilités pour simplifier certains types de circuit, ce qui arrange bien les débutants rebutés par la complexité et les designers de solutions low-cost.
À condition de ne pas trop exagérer, on arrive donc à « tirer sur la gu..le » d'une sortie pour piloter un consommateur de courant. Il est important de préciser qu'en faisant cela, le signal logique produit par cette sortie n'est plus exploitable avec le même niveau de sécurité.
Et il y a aussi le risque de trop exagérer.
Avec une limite conseillée de 20 mA sous 5V, on pilote directement une led ... à haute luminosité de 2 à 3 mA† !
Mais cet exemple et l'indication d'une limite absolue de 40 mA incitent certains à piloter une led de 25 mA. Et comme ça semble marcher, d'autres ne voient pas d'inconvénient à étendre le principe jusqu'à piloter plusieurs leds simultanément avec ce même courant.
Sauf que :
- le constructeur ne garantit le fonctionnement correct de son circuit qu'avec un courant stable (i.e. sans transitoire) de 20 mA sous 5V (ou de 10 mA sous 3V), et tout dépassement de ces conditions s'effectue aux risques et périls de l'utilisateur (i.e. ce dernier ne peut pas se plaindre si des dysfonctionnement sont constatés)
- il existe d'autres limites à prendre en compte, comme le courant maximum par groupe de sorties (que j'ai indiqué plus haut), le courant maximum sur les pins d'alimentation (limite absolue de 200 mA sur Vcc et GND), et les contraintes de dissipation thermique (notamment fonction de la température extérieure et des conditions de ventilation).
J'en connais un qui a dû porter le deuil de sa carte après lui avoir fait allumer des afficheurs 7 segments par un chaud après-midi d'été...
†: En regardant de plus près le schéma de l'Arduino UNO, les leds ne consomment que 2 à 3 mA. Et si la led L est directement pilotée par la sortie #13 dans la version 2 du circuit, un ampli LMV358 a été intercalé dans la version 3.
