Ce que j'en pense ?
C'est qu'avant de passer commande des composants, il faut avoir terminé la conception. Et qu'avant de commencer une conception digne de ce nom, il faut avoir un cahier des charges qui tienne la route. Et pour avoir ce cahier des charges, il faut avoir eu une bonne expression du besoin et une bonne description de la situation.
Or, pour l'instant, je ne vois rien de tout cela. J'ai même plutôt des indices qui me laissent pensent qu'on fait un peu n'importe quoi.
La situation de départ ne me paraît toujours pas claire. Je ne sais pas si l'Arduino reçoit puis ré-émet les données ou bien s'il les lit au vol sur une liaison. Je ne sais pas non plus s'il reçoit (et émet) des signaux de handshake, ni lesquels.
Je ne vois pas non plus l'utilité de prendre 10 boutons (avec 4 ou 5 seulement, parfois moins, je pourvois à la plupart des applications). Mais pour en décider, encore faut-il avoir déterminé comment on allait opérer.
Je me demande aussi comment on va pouvoir montrer les milliers d'octets qui vont défiler chaque seconde sur un LCD de seulement 32 caractères. Comme on n'est pas Superman, que notre persistance rétinienne nous limite à moins de 20 images par seconde et que l'Arduino n'a pas beaucoup de mémoire, il va falloir mettre en œuvre un procédé (lequel ?) pour lire les données choisies (selon quels critères ?)... procédé qui pourrait avoir un impact sur la constitution matérielle de l'appareil.
Quant au « max rs232 », je ne connais pas. En revanche, je connais MAX232 et MAX232A, et encore d'autres références totalement ou partiellement équivalentes. Les MAX232 et MAX232A ne fonctionnent pas avec les mêmes valeurs de condensateurs.
On n'a pas de schéma électrique global, pas d'indication sur l'alimentation électrique ; on ne sait pas si la CEM est respectée, pas même si les masses des appareils en présence peuvent être connectés au même potentiel...
Bref, électroniquement et informatiquement parlant, on est encore dans le flou.
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