bonsoir
est t'il possible de tester le tube à vide (comme ce lui du lien )
https://www.m-ware.de/en/radioroehre...-valvo/a-9610/
y'a t'il un filament dedans ?
merci
le test au multimètre ne donne rien
-----
bonsoir
est t'il possible de tester le tube à vide (comme ce lui du lien )
https://www.m-ware.de/en/radioroehre...-valvo/a-9610/
y'a t'il un filament dedans ?
merci
le test au multimètre ne donne rien
On vous a donné que peu de savoir ....PDD
Bonjour,
Thyratron Cold Cathode
c'est un tube à gaz (cathode froide donc pas de filament)
Thyratron = grosso modo un thyristor
Je pense sans certitude qu'avec un multimètre tu ne puisses rien tester...pour le tester il faut l'essayer dans son circuit...
Dernière modification par cubitus_54 ; 08/07/2014 à 08h27.
de mémoire , surtout à usage militaire dans les 50's :
fusées de proximité de roquettes air-air, mines maritimes , etc..
En 1906, les thyratrons n'existaient pas, on en était loin; la triode venait juste d'être inventée.
De manière générale, les tubes "spéciaux" tels que tubes à gaz (thyratron, ignitron), les tubes à grille positive, etc ... sont arrivés plutôt à partir des années 20, puis ça a continué avec arrivées des premiers magnétrons, les klystrons (années 30), etc ...
Certains tubes spéciaux continuent d'ailleurs à être utilisés car pas facilement remplaçables par du "solide state", notamment les klystrons et les tubes à ondes progressives.
Tu as raison, j'ai dit une bêtise! La ligne a existé, mais elle employait le principe de René Thury, avec des génératrices à courant continu en série. Bonne journée
Oui, ce qu'on appelait des "commutatrices" (basiquement un moteur AC ou DC entrainant une génératrice de l'autre espèce).
Les premiers redresseurs de puissance à tubes, ce sont les ignitrons dans les années 30.
Pour moi, ça, ce sont des groupes convertisseurs! La commutatrice est un truc un peu incestueux sans isolation galvanique entre entrée et sortie : c'est comme une machine à courant continu, mais le rotor est muni, en plus du collecteur, de bagues lisses (mono ou tri). Si on alimente en alternatif, la machine se comporte comme un moteur synchrone inversé, avec l'induit au rotor et l'inducteur au stator. Mais la puissance servant à faire tourner la machine, qui est à vide, est très faible : l'essentiel est récupéré après le collecteur, qui redresse les tensions alternatives présentes sur les enroulements du rotor et permet d'obtenir du continu! Dans l'autre sens, en alimentant en continu, on a un fonctionnement classique de MCC, mais encore une fois la charge mécanique est nulle, et les tensions alternatives présentes sur l'induit sont récupérées par les bagues lisses!
C'est moins cher et plus performant qu'un groupe convertisseur (deux machines mécaniquement couplées), mais n'offre pas d'isolation galvanique et rend fortement liées les tensions des deux côtés (AC et DC), alors que sur un groupe convertisseur on peut exciter séparément les deux machines...
En passant, l'énergie de la ligne était produite par des turbines (centrale hydroélectrique), donc il n'y avait qu'un poste de conversion DC/AC!
https://fr.wikipedia.org/wiki/Commutatrice
bonsoir
merci les gars
autre chose ,peut on le remplacer par un composant de nos jours ?!
si oui par le quel ?
@+
On vous a donné que peu de savoir ....PDD
on peut toujours: question de moyens techniques et/ou financiers,
mais il faut connaitre contexte et shéma à modifier.
Le composant moderne qui ressemble le plus au thyratron dans son fonctionnement est le thyristor, amha... Maintenant, je doute fort qu'on puisse aveuglément remplacer l'un par l'autre sans la moindre modification périphérique!