REmoi, Soyons PRATQUE...le monsieur VEUT que son drone , en cours d'évolution ( quelconque) POINTE en ^permanence son antenne de réception
vers l'émission de la télécommande. Pas plus...ni moins.
Bonne journée
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REmoi, Soyons PRATQUE...le monsieur VEUT que son drone , en cours d'évolution ( quelconque) POINTE en ^permanence son antenne de réception
vers l'émission de la télécommande. Pas plus...ni moins.
Bonne journée
Bonjour.
Tout dépend aussi du niveau de liberté possible pour faire la manip.
Les bandes dites WIFI sont en fait des bandes fréquence à usage accessible sans licence au prix de quelques limitations de puissance émise. Dans ce bandes, il y a aussi le Bluetooth, les fours micro-onde etc. ...
Mais, il y a d'autres bandes à fréquences plus élevées (23 GHz de mémoire, à voir pour le pays concerné) bien plus calmes au niveau électromagnétique et dans lesquelles une antenne à gain est bien moins encombrante.
Bonsoir.
Pas d'erreur de virgule, mais un défaut de mémoire, en Europe c'est : SHF 24,0 - 24,25 GHz (soit 24,125 GHz ± 125,0 MHz)
dixit : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bande_...ue_et_médicale
A priori la même pour l'Amérique du nord (donc USA et Canada).
Bonjour à tous,
Tiens ? Je ne connaissais pas l’expression yaka/faucon. J’admets de bonne grâce avoir mérité d’une telle apostrophe. Toutefois, pour ma défense, laissez-moi utiliser les mots de Marcel Pagnol : « Tout le monde savait que c'était impossible à faire. Puis un jour quelqu'un est arrivé, qui ne le savait pas, et il l'a fait. ».
Pour revenir au projet en cause, la télécommande ne se déplacera pas. Elle pourra pivoter sur elle-même mais elle demeurera toujours aux mêmes coordonnées. Il semble bien que c’est du côté du drone que les choses vont devoir se passer.
Il faudrait donc concevoir un mécanisme qui s’occupera de garder automatiquement l’antenne du drone pointée vers la télécommande durant les changements d’orientation du drone (Ciel ! une nouvelle attaque de yakafokon). L’utilisation d’une centrale inertielle permettrait de fournir en continu la position du drone en rapport avec son point de départ (près de la télécommande). Un logiciel (microcontrôleur embarqué ?) pourrait interpréter la position du drone et orienter l’antenne en conséquence. Pour mettre tout cela au point il va falloir :Vous avez tous pu constater la profondeur abyssale de mes lacunes dans le domaine de l’électromagnétisme. Vous vous doutez bien que je n’ai vraiment pas l’expertise nécessaire pour sélectionner les composantes adéquates. Pourriez-vous m’épauler à nouveau ? Une fois les composantes réunies je vais pouvoir sortir le fer à souder et plonger dans la mêlée (enfin de l'électronique avec des soudures et de la programmation).
- Une antenne directionnelle pouvant être transportée (et alimentée) par un drone.
- J’ai trouvé une centrale inertielle miniature : https://www.aeroexpo.online/fr/fabri...rone-3363.html. Avez-vous mieux à suggérer ?
- Il faut aussi mettre la main sur les moteurs qui vont faire se déplacer l’antenne. Il serait probablement possible de récupérer les moteurs d’un kit de caméra vidéo motorisée adapté pour les drones mais j’imagine que de tels moteurs sont disponibles comme pièce de rechange.
- Existe-t-il un kit de microcontrôleur pouvant être implanté dans un drone ? Une sorte de « Raspberry Pi » pour drones ?
Grâce à Gwinver, je suis conscient (depuis peu) qu’un lien entre deux antennes directrices ne présente pas de garantie d’immunité totale aux interférences. C'est pourquoi, le but recherché consiste maintenant à augmenter considérablement les chances pour un drone de traverser des zones avec de grandes interférence sans perdre la communication avec son opérateur.
Ouaiiiiiis ! Les grands esprits se rencontrent !
Je suis bien d’accord avec vous, la prochaine étape va demander des oscilloscopes ! Une fois les équipements adéquats trouvés, il me restera à retrousser mes manches.
…À moins, bien sûr, qu’un tel système ait déjà été mis au point (l’espoir fait vivre).
Bonne journée à tous !
Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur. (Beaumarchais)
Remoi Tu est vraiment sur ?? Car tout de meme c'est des fréquences bien plus hautes que les transmissions TV satellitaires ( 12 Ghz) !Bonsoir.
Pas d'erreur de virgule, mais un défaut de mémoire, en Europe c'est : SHF 24,0 - 24,25 GHz (soit 24,125 GHz ± 125,0 MHz)
dixit : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bande_industrielle,_scientifiq ue_et_mécm edicale
A priori la même pour l'Amérique du nord (donc USA et Canada).
Ca frise les millimétres en llongueur d'onde !!
La faut des paraboles !
Je comprendrais mieux....2.,3 Ghz ( bande 13 cm de longueur d'onde) (portion de bande utilisée aussi en radiocommande)
Bonne journée
Dernière modification par f6bes ; 30/08/2023 à 10h06.
Remoi,
"...... Toutefois, pour ma défense, laissez-moi utiliser les mots de Marcel Pagnol : « Tout le monde savait que c'était impossible à faire. Puis un jour quelqu'un est arrivé, qui ne le savait pas, et il l'a fait. »....."
Connais tu l'histoire du passe -muraille !!
Suffit pas de vouloir...il faut pouvoir !
J'ai beau essayer... je ne récolte que des bosses !
D'autre part on ne sait quelles sont les capacités et tes moyens.
Lorsqu'on part (une antenne dans un tuyau)...on est en droit de se poser des questions sur les...connaissances de l'intéressé .
On peut aller sur la Lune....y en a qui l'on fait.
Donc faut mettre toutes les cartes sur table....et ensuite on cause!
Tu peux faire un drone qui rentre TOUT seul à la maison...c'est faisable ( connaissance+ moyen !!)
Bonne journée
Bonjour,
Il existe déjà des systèmes d'auto pointage des antennes vers une position fixe. Le problème se pose notamment sur les bateaux qui pointent leur antenne vers le satellite alors qu'ils naviguent et la mer n'est pas toujours calme....
Je pense que l'on peut trouver des centrales inertielles à tous les prix donnant des sorties pour contrôler des servis moteur pour orienter l'antenne dans une direction fixe. Compte tenu de votre application , je pense que c'est possible , mais cela va demander une petite sérieuse étude de mise au point... reste a définir la précision et la durée sans repositionner le pointage initial.....
En science " Toute proposition est approximativement vraie " ( Pascal Engel)
Bonjour.
Archi sûr.Remoi Tu est vraiment sur ?? Car tout de meme c'est des fréquences bien plus hautes que les transmissions TV satellitaires ( 12 Ghz) !
Ca frise les millimétres en llongueur d'onde !!
La faut des paraboles !
Voir l'ANFR : les bandes à faible portée, c'est la même famille que les bandes dites wifi.
https://www.anfr.fr/liste-actualites...-faible-portee
Pas besoin de paraboles, des antennes imprimées suffisent, avec seulement 4 patchs, un gain de près de 20 dB est envisageable, taille environ 2 à 3 lambdas. Largement portable par un drone et facile à orienter.Les bandes pour AFP les plus connues se trouvent dans les gammes suivantes : 6,7 MHz, 13,56 MHz, 27 MHz, 40,7 MHz, 169,4 MHz, 433 MHz, 868 MHz, 2,4 GHz, 5,8 GHz, 24-24,25 GHz, 60 GHz, 122 GHz et 244 GHz. Ces bandes bénéficient d’une forte harmonisation et leur cadre réglementaire est adapté aux applications de type AFP/DCP.
Et un excellent rapport avant arrière.
Et peu de pollution EM.
REmoi, Mais je ne connais pas de radiocommande qui utilise le..24 ghz !
Ok pour l'ANFR......mais en pratique j'en connais pas beaucoup qui fonctionnent sur de telles fréquences !
Ne parlons pas des utilisations SPECIFIQUES....profesionnelles .
Faible portée.....mais de combien ? Un drone ( de loisir) ça peut se balader à plus 200m de l'opérateur!
Maintenant on ne sait ce que veux faire EXACTEMENT.....l'intéressé !
C'est du flou artistique.
Cordialmement
Dernière modification par f6bes ; 30/08/2023 à 13h57.
en effet comme les Plus de 4O GHz ont du mal a allez très loin cela limite les risques de pollutions.....!! et de plus les utilisateurs sont rares
Bonjour.
Archi sûr.
Voir l'ANFR : les bandes à faible portée, c'est la même famille que les bandes dites wifi.
https://www.anfr.fr/liste-actualites...-faible-portee
Pas besoin de paraboles, des antennes imprimées suffisent, avec seulement 4 patchs, un gain de près de 20 dB est envisageable, taille environ 2 à 3 lambdas. Largement portable par un drone et facile à orienter.
Et un excellent rapport avant arrière.
Et peu de pollution EM.
En science " Toute proposition est approximativement vraie " ( Pascal Engel)
Tout dépend du niveau de liberté de design.
Une simple transposition 2.4 --> 24 GHz devrait faire l'affaire. Côté puissance, je crois que c'est 200 mW, tout à fait compatible avec 200 m.
Remoi, Effectivement c'est dans les compétences du demandeur : !!
(Ce tube a 2 m de longueur pour un diamètre de 10 cm.
Est-il correct de supposer qu'un récepteur radio placé au fond de ce tube ne pourra capter la transmission de la station radio, à moins que l'émetteur ne soit directement situé dans l'axe du cylindre ?)
Ya plus ka !
Bonne soirée
Bonsoir.
Afin de mieux cerner le besoin et rechercher des solutions, il pourrait être utile de caractériser le cas considéré.Il existe des secteurs où le bruit électromagnétique est suffisamment intense pour faire perdre la communication entre un drone et sa télécommande.
Il a été dit :
Est-il possible de préciser la nature de ces secteurs : environnement campagne ou ville, dimension ou étendue, nature et origine du bruit électromagnétique, etc. ...?Il existe des secteurs où le bruit électromagnétique est suffisamment intense pour faire perdre la communication entre un drone et sa télécommande.
Bonjour à tous,
À ce stade du projet, la dissimulation n’est plus nécessaire (c’est F6bes qui va être content !). Voici donc de quoi il en retourne réellement.
Calculair avait déjà mis le doigt dessus. Je vous explique : Les actualités en provenance du champ de bataille européen font souvent état de la perte de drones à cause du brouillage. « Comment se fait-il que ces drones ne soient pas équipés d’un dispositif antibrouillage ? » soliloquais-je à chaque fois. À un moment donné, j'ai décidé d’en avoir le cœur net.
Pour contourner mes profondes lacunes dans l'univers du modélisme et des ondes radio, j'ai choisi de procéder par élimination : « Pourquoi un dispositif antibrouillage ne peut-il pas être installé sur un drone grand public ? La première raison démontrant cette impossibilité sera la bonne !
Pourtant, une après l'autre (je vous fait grâce de leur énumération), les raisons pouvant expliquer cette absence furent rejetées. Vint le moment où je dus commencer à me tourner vers l'Univers de la Communication Radio (dans mon esprit, les majuscules sont bien là).
Un peu plus tôt, j'avais imaginé un dispositif optique fonctionnel, basé sur des émetteurs lasers et des capteurs nichés au fond d'un tube noir mat. Comme les ondes radio et la lumière font toutes deux partie du spectre électromagnétique et que leur différence ce n'est due qu'à une question de longueur d'onde, alors pour avoir un effet similaire au tube du modèle optique, le tube du modèle radio devrait avoir des dimensions en conséquence (je vous laisse le temps de finir de rigoler). J'ai donc pris contact avec le Forum pour me faire confirmer que pour obtenir l'effet désiré, le tube devrait avoir de telles dimensions qu'il serait impossible à installer sur un drone.
À ma grande surprise, à la place du tonitruant éclat de rire que je m'attendais de provoquer, de fructueuses nouvelles pistes ont été proposées. Rapidement, des précisions furent demandées. C'est à ce moment que j’ai réalisé qu'un tel sujet avait de grandes chances d’exacerber les passions, au point de peut-être faire déraper la discussion et provoquer la fermeture prématurée de la question. Voyez là l’unique raison de mes (maladroites) dissimulations. ...Et croyez-moi, essayer de jouer au plus fin avec le genre d'intervenant qu'on trouve sur le Forum n’est pas une sinécure. Soyez magnanimes et pardonnez cette inconvenante duplicité de ma part.
Voilà qui résume bien l’état de ce projet. Si on veut aller plus loin, l’étain doit couler !
Dans son état actuel, on pourrait estimer que ce projet approche de l’étape du prototypage. J’ai personnellement les connaissances et l’expérience nécessaires pour affirmer qu’un premier prototype est réalisable. En effet, un microcontrôleur qui utilise les données d’une station inertielle pour piloter quelques activateurs électriques ne représente pas un bien grand défi (toutefois ça peut représenter vraiment beaucoup de boulot). Ce genre de travail ne me rebute pas (en réalité j’y prend même du plaisir) mais je n’ai pas de fonds personnels à y consacrer.
Toutefois, par respect pour tous ceux qui ont consacré du temps à cette question, j'aimerais fournir une ébauche de cahier de charges. Ainsi, le travail accompli jusqu’à maintenant pourrait s’avérer utile à d’autres.
Ce qui concerne la chose militaire a le don d’éveiller les passions, alors avant de nous exciter, rappelons-nous alors qu'une fois mis au point, ce dispositif sera facile à reproduire. Il ne représentera pas un avantage réel pour aucun des deux camps.
Voici donc les grandes lignes de ce projet :
- Un dispositif antibrouillage, pouvant être adapté sur des drones vidéo achetés dans le commerce, n’existe actuellement pas.
- Le « DJI Mavic 3 » est un exemple des modèles de drones commerciaux utilisés.
- Un drone peut se déplacer à une distance pouvant aller jusqu’à une dizaine de kilomètres.
- Une immunité accrue au brouillage peut être considérablement accrue si la communication avec le drone est assurée par des antennes directionnelles (plutôt qu’omnidirectionnelle).
- La position de l’opérateur ne change pas.
- L’antenne omnidirectionnelle du drone sera remplacée par une antenne directionnelle.
- Une station inertielle permet au drone de connaitre sa position à tout moment sans GPS ni boussole.
- Un dispositif va utiliser les données de la station inertielle pour conserver l’antenne directionnelle constamment pointée en direction de la télécommande (fixe).
- Un puissant brouillage, provoqué volontairement, peut être activé à tout moment.
- En zone de conflit, il parait peu probable que les règles régissant la puissance maximale des plages de fréquence soient scrupuleusement respectées.
J'ai quelques autres petites interrogations :
- L’utilisation d’antennes directionnelles devrait augmenter la portée des drones. D’après ce que j’ai compris, certaines fréquences sont réservées pour les drones mais leur puissance doit être limitée. Sachant que par un effet de concentration, la puissance émise sera plus élevée dans certaines directions, est-ce qu'un drone ainsi équipé perd le droit de voler (en France) ?
- S’agit-il d’une piste utilisable (dans un contexte militaire) ?
- Que sait-on sur les caractéristiques du brouillage militaire ? Fréquences, puissance, mode de diffusion ? J'imagine que les intéressés doivent se montrer assez discrets sur la question...
Portez-vous bien !
Dernière modification par QuébecEcho ; 02/09/2023 à 01h49.
Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur. (Beaumarchais)
S'il s'agit d'in dispositif militaire, je prévoirai un drone tueur embarqué sur le drone ( ou petit missile ) qui serait guidé par l'émission brouilleurs et détruirai le brouilleur , une façon de dépoulluer l'environnement radio...
Par ailleurs , il y a toujours une stratégie pour déjouer une attaque Pour viser la cible, une centrale inertielle connaissant les coordonnées du but, pour les transmissions video , peut être passer par un satellite de Telecom ....
une solution peut consister a utiliser les fréquences considérées comme utiles de l'ennemi, la codification de l'information la protégera... Une bonne connaissance des perturbateurs est une façon d'éviter la gêne éventuelle...
Bonjour à tous,
À ce stade du projet, la dissimulation n’est plus nécessaire (c’est F6bes qui va être content !). Voici donc de quoi il en retourne réellement.
Calculair avait déjà mis le doigt dessus.
Je vous explique : Les actualités en provenance du champ de bataille européen font souvent état de la perte de drones à cause du brouillage. « Comment se fait-il que ces drones ne soient pas équipés d’un dispositif antibrouillage ? » soliloquais-je à chaque fois. À un moment donné, j'ai décidé d’en avoir le cœur net.
Pour contourner mes profondes lacunes dans l'univers du modélisme et des ondes radio, j'ai choisi de procéder par élimination : « Pourquoi un dispositif antibrouillage ne peut-il pas être installé sur un drone grand public ? La première raison démontrant cette impossibilité sera la bonne !
Pourtant, une après l'autre (je vous fait grâce de leur énumération), les raisons pouvant expliquer cette absence furent rejetées. Vint le moment où je dus commencer à me tourner vers l'Univers de la Communication Radio (dans mon esprit, les majuscules sont bien là).
Un peu plus tôt, j'avais imaginé un dispositif optique fonctionnel, basé sur des émetteurs lasers et des capteurs nichés au fond d'un tube noir mat. Comme les ondes radio et la lumière font toutes deux partie du spectre électromagnétique et que leur différence ce n'est due qu'à une question de longueur d'onde, alors pour avoir un effet similaire au tube du modèle optique, le tube du modèle radio devrait avoir des dimensions en conséquence (je vous laisse le temps de finir de rigoler). J'ai donc pris contact avec le Forum pour me faire confirmer que pour obtenir l'effet désiré, le tube devrait avoir de telles dimensions qu'il serait impossible à installer sur un drone.
À ma grande surprise, à la place du tonitruant éclat de rire que je m'attendais de provoquer, de fructueuses nouvelles pistes ont été proposées. Rapidement, des précisions furent demandées. C'est à ce moment que j’ai réalisé qu'un tel sujet avait de grandes chances d’exacerber les passions, au point de peut-être faire déraper la discussion et provoquer la fermeture prématurée de la question. Voyez là l’unique raison de mes (maladroites) dissimulations. ...Et croyez-moi, essayer de jouer au plus fin avec le genre d'intervenant qu'on trouve sur le Forum n’est pas une sinécure. Soyez magnanimes et pardonnez cette inconvenante duplicité de ma part.
Voilà qui résume bien l’état de ce projet. Si on veut aller plus loin, l’étain doit couler !
Dans son état actuel, on pourrait estimer que ce projet approche de l’étape du prototypage. J’ai personnellement les connaissances et l’expérience nécessaires pour affirmer qu’un premier prototype est réalisable. En effet, un microcontrôleur qui utilise les données d’une station inertielle pour piloter quelques activateurs électriques ne représente pas un bien grand défi (toutefois ça peut représenter vraiment beaucoup de boulot). Ce genre de travail ne me rebute pas (en réalité j’y prend même du plaisir) mais je n’ai pas de fonds personnels à y consacrer.
Toutefois, par respect pour tous ceux qui ont consacré du temps à cette question, j'aimerais fournir une ébauche de cahier de charges. Ainsi, le travail accompli jusqu’à maintenant pourrait s’avérer utile à d’autres.
Ce qui concerne la chose militaire a le don d’éveiller les passions, alors avant de nous exciter, rappelons-nous alors qu'une fois mis au point, ce dispositif sera facile à reproduire. Il ne représentera pas un avantage réel pour aucun des deux camps.
Voici donc les grandes lignes de ce projet :
- Un dispositif antibrouillage, pouvant être adapté sur des drones vidéo achetés dans le commerce, n’existe actuellement pas.
- Le « DJI Mavic 3 » est un exemple des modèles de drones commerciaux utilisés.
- Un drone peut se déplacer à une distance pouvant aller jusqu’à une dizaine de kilomètres.
- Une immunité accrue au brouillage peut être considérablement accrue si la communication avec le drone est assurée par des antennes directionnelles (plutôt qu’omnidirectionnelle).
- La position de l’opérateur ne change pas.
- L’antenne omnidirectionnelle du drone sera remplacée par une antenne directionnelle.
- Une station inertielle permet au drone de connaitre sa position à tout moment sans GPS ni boussole.
- Un dispositif va utiliser les données de la station inertielle pour conserver l’antenne directionnelle constamment pointée en direction de la télécommande (fixe).
- Un puissant brouillage, provoqué volontairement, peut être activé à tout moment.
- En zone de conflit, il parait peu probable que les règles régissant la puissance maximale des plages de fréquence soient scrupuleusement respectées.
J'ai quelques autres petites interrogations :
- L’utilisation d’antennes directionnelles devrait augmenter la portée des drones. D’après ce que j’ai compris, certaines fréquences sont réservées pour les drones mais leur puissance doit être limitée. Sachant que par un effet de concentration, la puissance émise sera plus élevée dans certaines directions, est-ce qu'un drone ainsi équipé perd le droit de voler (en France) ?
- S’agit-il d’une piste utilisable (dans un contexte militaire) ?
- Que sait-on sur les caractéristiques du brouillage militaire ? Fréquences, puissance, mode de diffusion ? J'imagine que les intéressés doivent se montrer assez discrets sur la question...
Portez-vous bien !
En science " Toute proposition est approximativement vraie " ( Pascal Engel)
Bonjour.
A ce stade, il faut faire la distinction entre un matériel grand public utilisé en application militaire et le matériel militaire.
L'investissement requis pour le matériel civil en application militaire doit être minimal afin de rester à portée d'un utilisateur/réalisateur non professionnel.
Il faut aussi que la charge complémentaire soit compatible en poids et volume avec les éventuelles charges utiles "militaires" que l'engin doit emporter, et ne pas diminuer les performances (vitesse, autonomie, rayon d'action).
Le coût doit être limité car la robustesse aux interférences électromagnétiques ne protège pas d'un tir de sniper.
Remoi,
Hum..." D’après ce que j’ai compris, certaines fréquences sont réservées pour les drones mais leur puissance doit être limitée."
Dans le domaine militaire il n'y a pas de contrainte....administrative !!!
L'emploi de TOUS les moyens ne comporte pas d'interdiction.
Bonne journée
Re-bonjour.
Il y a d'autres contraintes, ne serait-ce que de ne pas polluer les autres (et nombreux) utilisateurs de dispositifs radio. Il y a donc une coordination à opérer.
,
En tant de GUERRE les autres utilisateurs sont secondaires.....il ya meme des INTERDICTIONS d'émettre....on ne demande pas l'avis du pékin lambda.
Bonne journée
Remoi,
Attendre....plus de 45 messages pour en arriver là (....À ce stade du projet, la dissimulation n’est plus nécessaire (c’est F6bes qui va être content !)...."
pourquoi pas !!!
Tant qu'on ne connait pas les tenants et les aboutissants....on peut piétiner longtemps dans la choucroute.
Mais là ça frise les solutions Yaka faucon !
Les ceussent qui sont sur le terrain le font avec les moyens mis à leur dispositions.
Ils n'attendent des "solutions" en provenance de forums.
Bonne journée
Je parlais des autres utilisateurs militaires du même camp.En tant de GUERRE les autres utilisateurs sont secondaires....
Sinon, il est vrai que les règles changent, en Ukraine, les radio-amateurs sont actuellement interdit d'émission.
Mes 50 centimes au fil...
En zone fortement (électromagnétiquement) polluée, on ne guide pas mais programme le drône.
Ça limite les missions, mais du coup le matériel est immunisé contte le brouillage (du guidage, pas de l'électronique embarquée, à blinder en conséquence)...
Une centrale inertielle risque de pas être fonctionnelle trés longtemps... par contre, il existe des MEMs (microsystème électromécanique, les boussoles des smartphone par exemple), qu'il faut régulièrement recalibrer mais qui savent garder un cap, et reste fortement intégrés, donc facilement embarquables...
Dernière modification par Ikhar84 ; 03/09/2023 à 12h41.
J'ai glissé Chef !
Remoi, Il y a aussi le filo-guidé déjà utilisé chez les mirlitaires.
Mais apparemment.....rien de tout ça....pour ce fil.
J'ai compris que le demandeur se demandait "mais pourquoi ne font ils rien pour etre plus ou moins furtif !!.."
Bonne journée
bonjour, je suis perdu :
A ) faut il rester dans une application civile en temps de paix avec le respect des normes
B) S'agit t il de modifier des drone s civils pour une utilisation sur champ de bataille ?
En science " Toute proposition est approximativement vraie " ( Pascal Engel)
Remoi, Pour l'instant on écrit un livre !! ( sans avoir une vue CLAIRE sur les tenants et les aboutissants de la demande )
Bonne journée
idée idiote peut être, serait il possible da passer par le réseau gsm ?
Maaaagnifiiiiique ! tout ça n'a aucune importance..
Une chose est à peu près certaine...
dans le domaine contre-mesures électroniques (CME) et contre-contre mesures (CCME), ceux qui savent sont à minima habilités secret défense, et donc se taisent.
cette discussion ne donnera rien sur un forum public !!!
cdlt,
JY
Ne dites pas "Nous sommes en retard" mais dites "Oui Arlette"
Va falloir que ...Thalés (...mais non pas le théoréme !!) s'inscrive sur le forum !!
Bonne journée
Bonjour à tous,
Évitons de longues et inutiles digressions, concentrons-nous sur le projet dans son état actuel.
Rappelons les principaux points :
- Des drones récréatifs civils équipés d’une caméra PTZ, sont utilisés par l’armée ukrainienne pour faire des repérages. Un brouillage ennemi provoque souvent la perte de ces derniers en territoire ennemi.
- Un système permettra au drone de conserver son antenne directionnelle pointée en direction de la télécommande pourrait (peut-être) le prémunir contre ce danger. Les composants principaux du système sont un microcontrôleur, une station inertielle miniature et une antenne directionnelle orientable.
- Le drone DJI Mavic 3 est un exemple de drone civil utilisé par l’armée ukrainienne pour effectuer des missions de reconnaissance ou délivrer des petites charges explosives (grenade, tête de RPG, etc.). Outre sa caméra embarquée, il possède l’autonomie et la capacité d’emport adéquates pour les militaires ukrainiens. D’après ce qu’on peut voir dans les reportages, les drones utilisent d’abord leur caméra PTZ embarquée pour identifier une cible.
- Le système antibrouillage doit être léger, bon marché et facile à mettre en œuvre sur un DJI Mavic 3. Un prototype devra être produit pour ensuite être testé par les militaires pour mieux en définir les caractéristiques au fil des mises à jour.
- Un effet secondaire intéressant de l’utilisation d’antennes directionnelles, se concrétise par une augmentation de la portée de ladite antenne. Dans la réglementation civile française il y a des limites de puissance permises. L’antenne doit-elle nécessairement être omnidirectionnelles ou la concentration de la puissance par des antennes directionnelles est-elle autorisée (dans le civil) ?
- Je tente actuellement de monter une équipe pour concrétiser ce projet. Outre les militaires, des établissements scolaires pourraient en faire un projet de classe ou des industriels s’intéresser à un nouveau gadget à rentabiliser.
Je vous tiens au courant !
Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur. (Beaumarchais)