L’abeilles, science à problèmes
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L’abeilles, science à problèmes



  1. #1
    invite0365aaec

    L’abeilles, science à problèmes


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    L’abeilles, science à problèmes
    Bonjour je demande des réponses a cette étude
    Etude 1
    Expérimentation 1
    Protocole d’expérimentation (éprouvé)

    Le matériel, de simples pots de yaourt en plastique vide de leur contenu. La couleur jaune a été préférée la couleur bleue n’existant peu. Il faut constituer un toit de matière transparente, genre plexiglas. La hauteur du toit entre le pot de yaourt, dans mes premières expériences correspondait à une hauteur d’une pince à linge. Aujourd’hui la hauteur se trouve entre 6 ou 7 cm. Les supports d’attaches n’étant pas de la même longueur pour mettre le pot de yaourt dans une situation non horizontale. Ensuite il faut un système d’accroche pour suspendre-le tout sur un support t’elle qu’une branche d’arbres ou autre. Quatre ficelles mis à chaque coin du plexiglas percé ou scotché nouer ensemble sert d’accroche et donne la possibilité de réglé ficelle par ficelle le tout. Une autre façon que j’utilise plus particulièrement aujourd’hui est celle de percé un trou dans le plexi et de fixer directement le tout sur le support. Ceci permet à la nacelle de moins bouger au vent malgré que le vent ne dérange pas les abeilles. Avant la mise en place de l’appât il faut à l’intérieur du pot de yaourt mettre un revêtement moins glissant. Ce qui est fait par moi, n’est pas effectué par tous, cela marche aussi sans. Ma solution est de mettre un papier épousant le pourtour intérieur du pot de yaourt sans m’occuper du fond, le papier doit venir à fleur du pot. Pour le fond je découpe un rond suivant la grandeur du pot de yaourt. Je fais en sorte que la profondeur du pot soit diminuer quitte à lester et boucher un peu le fond (caillou papier),
    Appât il faut d’abord leurrer les abeilles dans un premier temps suivant la demande de l’abeille. S’il n’y a rien dans la nature cela marche part contre s’il y a quelque chose d’autre de plus attrayant dans la nature cela marche moins bien. Leurrer les abeilles consiste à les attirer avec leurs préférences entre le nectar et le pollen. Les abeilles choisissent le miel donc le premier appât à mettre en place se trouve être du miel. Attention à sa qualité et à sa provenance (maladie) je le chauffe pour le rendre liquide et plus odorant. Je le place sous le rond en carton avec une petite dose de parfum. Ensuite il reste à mettre de la farine de soja dégraisser, on dit en apiculture du succédané de pollen. Il y en a d’autre, utilisé en mélange dans le sirop suivant les régions les pays le plus courent du lait en poudre écrémé, de l’œuf, divers farine dégraisser etc. certain mélange du pollen frais avec la farine le temps de l’apprentissage. Ne pas mélanger le miel avec la farine les abeilles n’en fond pas bon usage et disperse le tout. Le tout en place les yaourts dans les arbres font boule de Noël pour abeilles. Il n’y a plus qu’à attendre que les dames abeilles veulent bien s’y rendre. 100% de réussite si le secteur se trouve sans pollen et que la ruche ne possède plus ou peu de ressource protéinique en réserve ouverte. Une fois dressée, il n’y a plus besoin dans le fond du pot yaourt n’y miel n’y parfum le produit suffit. Est-ce que et qu’est ce que cela prouve pour vous ? Regarder l’abeille amasser en pelote de la farine ne vous fait-il pas entrevoir autre chose. Taper sur votre ordinateur dans recherche (succédané de pollen) (substitut du pollen) (nourrissement substitut abeille) je n’ai pas trouvé grand chose pourquoi ? Je demande de l’information documentation ou tout autre sur le sujet ainsi que lien inter net merci.

    http://www.apis.admin.ch/fr/biologie...nwechsel_f.pdf

    BIBLIOGRAPHIE ( LIVRE )

    http://www.oiseau-libre.net/Refuge/N...s/Nichoir.html on peut utiliser des nichoirs pour oiseaux
    (Titre : être performant en apiculture auteur : H. GUERRIAT )

    (Titre : Le nourrissement auteur : M. BOCQUET p 106 )

    (Titre : Le rucher de rapport auteur : ALIN CAILLAS ingénieur agricole texte 224)

    -----

  2. #2
    kinette

    Re : L’abeilles, science à problèmes

    Bonjour,
    Merci pour ces explications, je n'avais jamais entendu parler de nourrissage artificiel d'abeilles avec du substitut de pollen. Ca montre la grande capacité d'apprentissage de ces insectes. Finalement, le fait que ça marche reste assez "logique" puisqu'on mime le "comportement" de fleurs qui fournissent du nectar et du pollen, la production de nectar n'étant pas continue...
    Du coup je me demande si les abeilles sont capables de reconnaître le pollen en absence de nectar... ou du moins si certains pollens ne sont pas récoltés uniquement car du nectar sécrété par la plante permet aux abeilles de le repérer.
    Autre interrogation que ça me suggère: les abeilles sont-elles capables d'évaluer la qualité du pollen qu'elles récoltent? La farine a-t-elle les mêmes qualités que le pollen?
    Si on substitue à la farine un produit peu nourrissant (voire pas du tout) vont-elle le récolter comme du pollen?

    K.estions...
    Nomina si nescis, perit et cognito rerum.

  3. #3
    invite919d2356

    Re : L’abeilles, science à problèmes

    Citation Envoyé par httchristian.grasland.fre
    L’abeilles, science à problèmes
    Bonjour je demande des réponses a cette étude
    Etude 1
    Expérimentation 1
    Protocole d’expérimentation (éprouvé)
    ...
    http://www.apis.admin.ch/fr/biologi...enwechsel_f.pdf
    Salut,
    Quel est l'objectif de ton expérimentation ? Est-ce que cela a une raison pratique ?
    Merci pour le lien super intéressant ci-dessus. J'ai parcouru brièvement mais l'influence des facteurs environnementaux et la dynamique des populations des ruchers décrits sont riches d'enseignement.
    Je savais qu'on nourrissait les abeilles avec des sirops sucrés lorsque la nourriture s'avère insuffisante (par exemple en serre de production de fraises ou en tunnels de production de semences (de colza, tournesol, etc.) mais je découvre comme Kinette les expériences avec des substituts de pollen (surprenant !) et du coup je me pose les mêmes questions...

  4. #4
    invite0365aaec

    Re : L’abeilles, science à problèmes

    Bonjour réponse 21 novembre 2004 pour Kinette

    Poster par Kinette « explications, je n'avais jamais entendu parler de nourrissage artificiel d'abeilles avec du substitut de pollen
    Maintenant vous avez entendu parler de nourrissage artificiel. Il faut approfondir d’abord par une recherche sur le sujet pour ne plus entendre le jamais. Ensuite il faut voir et avoir la vision de l’abeille butinant autre chose que des fleurs. Cela se trouve déjà dans la nature.

    Poster par Kinette « Ca montre la grande capacité d'apprentissage de ces insectes.
    Je suis en désaccord avec vous le mot apprentissage me fait, vous poser une autre question. Est-ce que l’abeille apprend ?

    Poster par Kinette "logique" puisqu'on mime le "comportement" de fleurs
    Est-ce que l’abeille se trouve logique dans son comportement ?

    Poster par Kinette Du coup je me demande si les abeilles sont capables de reconnaître le pollen en absence de nectar... ou du moins si certains pollens ne sont pas récoltés uniquement car du nectar sécrété par la plante permet aux abeilles de le repérer.
    Est-ce qu’il y a que le pollen et le nectar qui soit récolter par les abeilles ?

    Poster par Kinette les abeilles sont-elles capables d'évaluer la qualité du pollen qu'elles récoltent? La farine a-t-elle, les mêmes qualités que le pollen?
    Je réponds, elles sont apte a trouvé un produit, à le ramasser le trouvant convenant et a sans désintéresser par la suite pour non-rentabilité. En exemple une certaine fleur produit plus de nectar à une certaine heure de la journée. Les abeilles on déjà mémoriser ce laps de temp. Les abeilles son plus enclin à être au travail dans le champ à l’heure dite que le reste de la journée. A partir d’un certain seuil de rentabilité l’abeille se désintéresse de la source malgré un essaie infructueux ou fructueux
    PS : merci d’avoir répondu au fil

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    invite0365aaec

    Thumbs up Re : L’abeilles, science à problèmes

    Bonjour réponse 21 novembre 2004 pour Np 81
    Posté par Np 81 Quel est l'objectif de ton expérimentation ?
    Le fil gaucho abeille à démontrer une lacune que je cherche à instruire. L’expérience date des années 80. A l’époque le temps ne me manquait pas. La vision que donne à l’apiculteur cette expérience est celle d’une abeille récoltant de la farine. Cela lui fait dire que l’abeille récolte ce quel trouve qui correspond à son besoin. L’abeille se trouve apte a ramassé de la farine, alors quoi de plus normal quel ramasse un produit naturel dans la nature n’est ce pas !

    Posté par Np 81 Est-ce que cela a une raison pratique ?
    Substitut au pollen, remplacer le pollen par un substitut pour l’apiculteur se trouve être une raison pratique. Les périodes sans pollen dans la nature existent. Fermer le manque de pollen par un substitut en saison (fonctionne mal) automne (marche bien après première gelée par manque de pollen) printemps (marche bien en petite quantité)
    La prise de succédané en extérieur marche mais il faut une présence sur place trop contraignante. Pour cela le procédé ne se trouve pas en pratique. Quelques apiculteurs chevronnés et éleveur de reine l’utilisent pour stimuler quelques colonies au printemps pour leurrer les abeilles sur un démarrage de floraison. La stimulation extérieure marche mieux au printemps que la stimulation intérieure.

    La solution pratique pour les apiculteurs dans le substitue de pollen ne se trouve pas en extérieur mais a l’intérieur de la ruche. Une pâte sucre et succédané de pollen suffit et l’affaire se trouve faite.

    L’expérience démontre que cela se trouve possible autrement et il faut le savoir.

    Les dernières expérimentations dans le milieu apicole (littérature). Les effets escomptés du substitut de pollen ne son pas a la mesure du travail effectuer par l’apiculteur. Peut être avec le substitut extérieur la stimulation serait plus rentable

    PS : merci d’avoir répondu au fil, d'autres questions, surtout de l' information de tous

  7. #6
    invite919d2356

    Re : L’abeilles, science à problèmes

    Bonjour httchristian.grasland,

    Je suis en désaccord avec vous le mot apprentissage me fait, vous poser une autre question. Est-ce que l’abeille apprend ?
    Ca ressemble pourtant beaucoup à de l'apprentissage tout ça...
    Tu parles de dressage, ça revient un peu au même, non ? :
    Une fois dressée, il n’y a plus besoin dans le fond du pot yaourt n’y miel n’y parfum le produit suffit.
    Rien de choquant à dire que les abeilles apprennent. Il a déjà été montré chez des insectes la possibilité d'apprentissage. Par exemple chez la drosophile, en associant un choc électrique avec une odeur particulière, on peut observer après quelques répétitions que les mouches éviteront cette odeur.
    Le fil gaucho abeille à démontrer une lacune que je cherche à instruire.
    Je comprends pas bien le rapport avec le fil "gaucho". Est-ce que tu fais allusion aux commentaires qui concernaient le fait que les abeilles vont boire la rosée ou bien récolter le miellat de pucerons ?Est-ce que tu parles de cette expérience pour appuyer la veracité de ces exemples en nous démontrant que les abeilles peuvent récolter autre chose que du pollen ou du nectar ?
    l’abeille récolte ce quel trouve qui correspond à son besoin. L’abeille se trouve apte a ramassé de la farine, alors quoi de plus normal quel ramasse un produit naturel dans la nature n’est ce pas !
    C'est vrai que l'image de l'abeille n'allant butiner que des fleurs s'en trouve un peu abîmée... Je crois qu'on manque pas mal d'infos à ce sujet. La composition de la gelée royale a toujours été un grand mystère mais ce n'est peut-être pas étonnant s'il faut compter sur d'autres sources de nourriture que les fleurs !...
    Substitut au pollen, remplacer le pollen par un substitut pour l’apiculteur se trouve être une raison pratique...
    ...Quelques apiculteurs chevronnés et éleveur de reine l’utilisent pour stimuler quelques colonies au printemps pour leurrer les abeilles sur un démarrage de floraison.
    C'est peut-être une vision un peu naïve de ma part mais est-ce que l'utilisation de ces succédanés n'est pas anti-naturel en fin de compte ? Ca n'a peut-être pas grand chose en commun mais ça me rappelle quand même un truc chez les bovins qui a mal fini...

  8. #7
    invite0365aaec

    Re : L’abeilles, science à problèmes

    Bonjour réponse 23 novembre 2004 pour information

    Pour information le Bulletin Technique Apicole (BTA) Office Pour l’Information et la documentation en Apiculture (OPIDA)

    Réédite des mises a jour dans son N°127 Volume 31 du 3 ème trimestre 2004.

    Y sont présenté entre autre :
    Guide pratique de l’apiculture, Cahier N°53, fiche technique.
    -F.T.3 8 20 (nouvelle), technologie du nourrissement : Les sirops de sucre, F . Jéanne,
    -F.T.3 8 22 (nouvelle), technologie du nourrissement : Les apports protéinés, F.Jéanne
    -F.T.9 1 10 , Législation : Obligations et droits en apiculture (annexe), F.Jéanne

    Web : http://assoc.wanadoo.fr/opida/opida/
    E.mail/opida@aol.com

    Demander à avoir cet exemplaire comme référence à un futur abonnement. Je pense qu’avec de la courtoisie on arrive à tout, surtout pour eux non exempt de pub.

    Ceci se trouve rééditer sous la demande de la profession apicole, instance apicole,

    La F.T.3 8 20 et F.T.3 8 22 peuvent être acquise pour une somme modique (voir fiche thecnique sur le site).

    Sur la F.T.3 8 22 ils montrent (photo) le distributeur extérieur. Par contre l’explication est faite avec du pollen en succédané en pelote de pollen ou en pulvérulent. La photo se trouve être la même que dans le livre « Le nourrissement auteur : M. BOCQUET p 106 » l’explication elle, explique le succédané de pollen par de la poudre de farine.

    Personnellement, je ne nourrit pas au pollen, je préfère la farine malgré le prix pour une question de transmission de maladie.

  9. #8
    invite0365aaec

    Re : L’abeilles, science à problèmes

    Bonjour réponse du 30 novembre 2004 en réponse a la contribution de Np 81

    Posté par Np 81 Tu parles de dressage, ça revient un peu au même, non ? :
    Le mot dressage en faite ne convient peut être pas a ce que j’ai voulu dire. Se n’est pas moi qui dresse l’abeille, s’est l’abeille qui se dresse toute seule. Elle apprend ! Non elle établit un rapport entre offre et demande de nourriture pour cela elle se sert de ses sens. Une fois trouvées, l’abeille travail la source alimentaire jusqu'à ce que la source soit taris ou quel devienne non rentable. L’abeille enregistre les données de ce quelle a trouvé ceci n’est pas une fonction apprise. Elle adopte un comportement de récolte maladroite au début mais par la suite les automatismes deviennent de plus en plus sur. Ce n’est pas du dressage au vue que si vous lui proposé autre chose de plus rentable ailleurs la ruche la débauche pour qu’elle s’occupe de l’autre source de nourriture. Lorsqu’une abeille sort de sa cellule pour la première fois elle demande à manger et aussitôt elle se met au travail. Qui lui a appris ? Pour apprendre, il faut savoir d’où vient l’apprentissage ?

    Posté par Np 81 avec une odeur particulière, on peut observer après quelques répétitions que les mouches évitent cette odeur.
    En donnant à un produit une odeur on différencie le produit de son environnement. L’odeur est diffusée par les plantes pour attirer un hôte. L’abeille trouve le produit par l’odeur différente dans l’environnement. L’abeille après l’odeur prospecte si le produit correspond à sa recherche, une réponse négative entraîne un enregistrement de la stimulation a l’odeur du produit néfaste. Se n’est pas pour cela qu’elle ne retournera pas voir l’odeur sauf si l’odeur est devenue un danger.

    Posté par Np 81 nous démontrant que les abeilles peuvent récolter autre chose que du pollen ou du nectar ?
    En démontrant que les abeilles peuvent récolter autre chose. Il devient normal que les abeilles récoltent du pollen quelle que soit la fleur dans la nature lorsqu’ils en trouvent !

    Posté par Np 81 l'image de l'abeille n'allant butiner que des fleurs s'en trouve un peu abîmée
    Pourquoi je ne récolterais pas quelque chose qui existe ? Je récolte tout ce qui se trouve possible de récolter suivant mes besoins. Ma convenance va bien sûr aux fleurs, mais aussi aux bourgeons des arbres pour la propolis. Je vais fourrer mon nez dans les fruits abîmés pour y recueillir les matières sucrées (pomme, poire, raisin, mûr, etc..). Je suis même apte dans les périodes sans pollen à récolter de la farine distribuée par l’apiculteur. Oui je suis apte a ramassé de la farine de soja dégraissé comme substitut au pollen donné par l’apiculteur on appel cela un succédané. Vous comprenez bien que s’il n’y à rien d’autre dans l’environnement avant de ramasser de la farine je récolte ce qui se trouve de naturel a proximité.

    Posté par Np 81 La composition de la gelée royale a toujours été un grand mystère
    La gelée royale est fabriquer par les glandes hypopharyngiennes de l’abeille. La raison de produire un produit si riche est de permettre à la reine de pondre des milliers d’œuf et de vivre plus longtemps. Sa composition riche limite les déchets qui permettent à la reine de ne pas aller souvent au WC.

    Posté par Np 81 ça me rappelle quand même un truc chez les bovins qui a mal fini...
    Détromper-vous votre vision n’est pas naïve au contraire. L’abeille ne mange pas l’abeille avec la farine mais avec d’autre produit en succédané fourni par l’industrie les vitamines ne vienne pas de plantes. La farine vient d’un végétal et l’abeille butine un végétal, entre le pollen et la farine de la graine on peut déjà appeler cela de l’anti-naturel. Par contre il faut le dire, un pollen contenant un insecticide est ce mieux que de donné de la vache a une vache. Il n’était pas aléatoire de donné de la viande carnée a une époque cela n’avait rien dans la contenance de fâcheux. Les événements ont déterminé un élément non prévisible qui a changé la donne. Avec l’insecticide l’apiculture a déterminé sa présence du début a la fin de vie de la plante. Le produit a été ensuite déterminé dans la fleur, nectar pollen et maintenant dans le jabot des abeilles. Cette présence de l’insecticide présence partout n’est-elle pas pire que la vache. L’apiculture a dit que si les cadavres étaient des vaches cela ferait désordre dans leurs champs (témoin gênant). Cela ne fait pas désordre tant que les choses ne son pas a la bonne grandeur. Aujourd’hui l’agriculture nous dit se ne sont pas nos produits qui font cela c’est la poussière, vous voyez même la poussière finie par être d’ange heureux. Ils ne savent pas ce qu’est un insecticide, un insecticide est prévisible ou imprévisible ? Est ce naturel ou anti-naturel ?

  10. #9
    invite0365aaec

    Re : L’abeilles, science à problèmes


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