L'un n'empêche pas l'autre : on peut consommer un minimum ET consommer renouvelable.La meilleure économie d'energie qu'on puisse faire, c'est de consommer un minimum.
Raison de plus pour la faire la nuance : si tout le monde répète des propos simpliste, il est normal que l'on entende que cela.tu fais peut-être des nuances, mais ce que l'on entend autour de nous (mélange entre les termes biocard et agrocarb) n'est pas très nuancé.
Oui, mais c'est une ressource gratuite.j'ai pas des chiffres terribles: 600kg d'huile/ha
Mais bon, s'il s'agit de valoriser des haies, haies qui peuvent d'autant plus protéger les cultures, c'est sympa, mais pas super bézef
Sans compter que c'est une plante qui pousse bien sur des sols arides.
C'est un déchet dont la méthanisation est moins rentable que ses autres utilisations, voire impossible techniquement (pour les déchets qui contiennent des inhibiteurs de la méthanisation, trop de sel par exemple).qu'est ce qu'un déchet non méthanisable pour toi (par rapport à un déchet dit méthanisable), quel en serait sa proportion?
La première étape de la méthanisation, c'est l'hydrolyse des polymères, et ce sont les produits de cette hydrolyse qui seront fermentés.
L'énergie de liaison en question est perdue. Plus elle est importante, moins c'est rentable de méthaniser.
Ensuite, viennent l'acidogénèse, l'acétogénèse, et enfin seulement la méthanogénèse : ce qui donne un rendement pas nécessairement génial.
Rendement à comparer à celui des autres utilisations qu'on peut faire de ces déchets.
S'il n'y en a pas, c'est tout bénef. On peut penser à la méthanisation de lisiers, des papiers etc...etc...
Sinon, ça se complique.
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