A la recherche de l'origine des désordes environnementaux et climatiques actuels...
" Il ne faut pas croire le proverbe. L'argent peut faire le bonheur, mais à condition d'être un peu plus riche que son voisin.
C'est en tout cas la conclusion à laquelle sont parvenus deux sociologues américains, Glenn Firebaugh, de l'université de Pennsylvanie, et Laura Tach, de Harvard, qui ont présenté leurs travaux dimanche 14 août à l'occasion du centenaire de l'Association américaine de sociologie. D'après leur étude, la principale condition pour être heureux est la santé physique ; viennent ensuite l'argent, le niveau d'éducation et la situation familiale. (...) "Au lieu de contribuer à accroître le bonheur général, accroître la richesse alimente une course permanente à la consommation. Les gens achètent toujours plus, juste pour maintenir un niveau constant de satisfaction par rapport aux autres" (...) " Suite ici :Le Monde.fr (paru le 17 août)
Qu'est ce qui pousse les gens à vouloir continuellement accumuler des biens ? Cette étude sociologique américaine (ci dessous) nous donne un éclairage nouveau et sans doute une piste sur l'origine des désordes environnementaux et climatiques actuels. Cette recherche de bonheur liée à la richesse relative explique peut-être et par exemple pourquoi certains citadins roulent en 4/4 équipés de pare boeufs en ville...Avoir une voiture 10 ou 20 % plus grosse que son voisin serait consciemment ou inconsciemment une source de bonheur.
NB - En lien avec la discussion sur "brider sa voiture" Le forum-auto.com permet de mieux cerner le paysage mental de certains automobilistes (forum malheureusement bien plus visité que celui de FS).
-----


 
 
 Envoyé par Tenacatita
 Envoyé par Tenacatita 



 ), qui se nourri des idées des autres et qui pense que "partager son savoir est une manière d'atteindre l'immortalité" (Dalaï Lama). Je ne conçois pas une réflexion scientifique en dehors du contexte sociétal et sans réflexion épistémologique. Ce ne sont pas des machines qui font la science mais des hommes et pour les hommes.
  ), qui se nourri des idées des autres et qui pense que "partager son savoir est une manière d'atteindre l'immortalité" (Dalaï Lama). Je ne conçois pas une réflexion scientifique en dehors du contexte sociétal et sans réflexion épistémologique. Ce ne sont pas des machines qui font la science mais des hommes et pour les hommes. )
 )