que deviendra l agriculture avec le manque d 'eau a venir
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que deviendra l agriculture avec le manque d 'eau a venir
Bonjour et bienvenue,
Un rappel:Il faudrait aussi préciser un peu votre question. Elle concerne des pays en particulier?Envoyé par charte2. La courtoisie est de rigueur sur ce forum : pour une demande de renseignements bonjour et merci devraient être des automatismes. Vous pouvez critiquer les idées, mais pas les personnes.
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
BONSOIR,
Petit indice : avant que les romains ne fassent du nord de l'Afrique leur grenier à blé c'était une savane verdoyante et pleine de faune...
Vincent
B O N J O U R à toi, si cela n'est pas contre nature !
Manque d'eau.................ou ?
La quantité d'eau sur TERRE est INVARIABLE !
Et de plus on nous annonce une "élevation" du niveau d'eau des océans !
D'accord la surface des océans ne changera guére, mais ça pourra TOUJOURS s'évaporer
et.......retomber..... en pluie.
Eh, mais c'est un grand timide:
Date d'inscription: février 2010
premier post décembre 2010...
Il ne faut pas le paralyser...
Bon:
un élément de réponse: le manque d'eau (baisse catastrophique des nappes en France comme aux US et bien ailleurs) n'est pas dû au réchauffement, mais à l'agriculture irraisonnée de maïs (plante tropicale) dans des régions quasi semi-désertique.
la température n'y est pour rien.
Ailleurs, il semblerait qu'il y aura plus d'eau, mais elle sera salée...
Ailleurs encore, il pleuvra comme vache qui pisse...
Ailleurs toujours, il y aura un cagnard d'enfer...
Bref, globalement, il y aura juste un déplacement des ressources, mais les frontières compliqueront le déplacement des populations...
Jusqu'ici tout va bien...
moins de récoltes et prix plus chère à payer, plus de faim dans le monde
bonsoir,
heureusement que la combustion du pétrole et du charbon dégage pas mal de vapeur d'eau pour arroser les plantes et de CO2 pour les faire pousser.
Le seul problème, c'est que cette combustion piege de l'oxygène dans des molécules d'eau et que l'on va peut être manquer
fred
bjr a toi
je suis un future agent de developpement mon but c est de pouvoir amoindrire la speculation dans le future
meme si le niveau de l eau de mer va augmenter l eau douce va conciderablement diminuer
malheusement le cycle de l eau va basculer avec la destruction du couche d ozone
mercie
Bonne chance si tu veux changer tout le système économique actuel...
C'est de la pure spéculation ça, ça ne s'appuie sur aucune preuve scientifique, ni pour le cycle de l'eau ni pour la destruction de la couche d'ozone. Et ça veux dire quoi "le cycle de l'eau va basculer". L'eau va continuer à s'évaporer et à retomber en pluie. Peut-être retombera-t-elle ailleurs c'est tout.
Suivant quels mécanismes?
Qui plus est, suite aux mesures prises, les composés susceptibles de s'y attaquer ont nettement diminué. Mais il faudra des décennies pour que cette "couche" se reconstitue.
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Le "seul problème" n'en est pas un car "dégage pas mal de vapeur d'eau pour arroser les plantes et de CO2 pour les faire pousser" comme tu le dis si bien.bonsoir,
heureusement que la combustion du pétrole et du charbon dégage pas mal de vapeur d'eau pour arroser les plantes et de CO2 pour les faire pousser.
Le seul problème, c'est que cette combustion piege de l'oxygène dans des molécules d'eau et que l'on va peut être manquer
fred
Et que font les plantes quand elles assimilent le CO2?? elles rejètent O2....
Francis
Bonjour,La quantité d'eau sur TERRE est INVARIABLE
Il y a des contradictions!!!
SI il y a réchauffement, il y aura plus d'évaporation, donc plus de nuages, donc potentiellement plus de pluie à tomber.
Les pessimistes diront il pleuvra plus là ou il pleut déjà beaucoup.
Je ne vois pas comment on peut affirmer ca, c'est peut-être l'inverse
:il pleuvra aux endroits secs et un peu moins aux endroits déjà trop arrosés.
apzo11
Ne faudrait il pas dire que l'eau se régénère, ce qui permettrait d'écrire qu'elle est susceptible de ne pas se régénérer, l'accès à l'eau douce et potable, étant une préoccupation pour beaucoup.
Pour être exacte je crois avoir lu qu'une infime fraction se décompose et disparaît dans l'espace, celle ci serait compensée en partie par de l'eau appelée juvénile (issue de l'activité volcanique océanique et terrestre), mais autant dire que cela ne change rien à la quantité d'eau sur terre.
Par contre avec le réchauffement climatique, je ne vois pas trop, si ce n'est la montée des mers ou les inondations et l'accumulation du sel sur des parcelles cultivées.
(je penserai à me présenter, je viens de découvrir le topic)
Bonjour,
si on est à peu prés sur qu'il y a un rechauffement climatique, on est aussi à peu prés sur que l'on ne sait rien de ses conséquences au niveau régional.Par contre avec le réchauffement climatique, je ne vois pas trop, si ce n'est la montée des mers ou les inondations et l'accumulation du sel sur des parcelles cultivées.
On a bien quelques scénarios, mais pas beaucoup plus.
Il ne faut pas forcément assimiler changement et catastrophe.
La saine gestion des nappes phréatiques me semble par contre être un point sur le quel on peut agir assez facilement mais qui n'est pas trés connecté au problème du réchauffement.
fred
Bsr à toi,Bonjour,
Il y a des contradictions!!!
SI il y a réchauffement, il y aura plus d'évaporation, donc plus de nuages, donc potentiellement plus de pluie à tomber.
Les pessimistes diront il pleuvra plus là ou il pleut déjà beaucoup.
Je ne vois pas comment on peut affirmer ca, c'est peut-être l'inverse
:il pleuvra aux endroits secs et un peu moins aux endroits déjà trop arrosés.
apzo11
Hum , c'est NORMAL puisque je ne suis pas d'accord !!
Et ce n'est pas les MEMES personnes qui ont écrit cela.
Lorsque je dis "=QUANTITE d'EAU INVARIABLE...sur TERRE", j'englobe la TERRE et son.........atmosphére et..... l'eau sous.....TOUTES ses formes.
A+
Bonsoir ,
et salut f6besEt ce n'est pas les MEMES personnes qui ont écrit cela
J'avais bien vu et d'accord avec toi.
Mais ce futur agent ne me rassure pas!!!
apzo11
Bonsoir.
Le dernier réchauffement à entrainer un maximum humide qui a permis de verdir une partie du Sahara il y a quelques milliers d'années, le réchauffement devrait faire remonter la limite de la culture du blé vers le nord et il y a de très nombreuses terres au nord.
Le seul truc qui assèche l'atmosphère, donc diminue les pluies c'est les glaciations et on n'est pas près d'en voir une.
@+
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
bjr a toi c pour augmenter mes chances que j ss la
rien ne se perd rien ne se crée tout se transforme j sais mais est ce qu' on pourra survivre
Bonjour à toi,
Si tu pouvais eviter le langage SMS , tu ferais plaisir à tout le monde !!
Non on ne survie pas: la VIE est une maladie qui inexorablement méne à la...mort !
Faut pas mélanger les dires de Mr Lavoisier avec la climatologie !!
A+
mes chances pour particiter a dimimuer la speculation a venir dans ma region dans le domaine de l agriculture
Vivre c'est très dangeureux, la preuve c'est qu'on a 100% de chance de mourir.
apzo11
ça fait très "brèves de comptoir" par ici, garçon, une pression ! ! !
Jusqu'ici tout va bien...
oui
nondonc plus de nuages,
apzo11
ouidonc potentiellement plus de pluie
plus de nuages ne veut rien dire en soi. Quels nuages?
L'air pourra contenir davantage de vapeur d'eau parce qu'il sera plus chaud. Lorsque les précipitations auront lieu elles seront plus abondantes parce que davantage d'eau pourra condenser , ça peut signifier nuages plus épais par endroits mais pas nécessairement plus de nuages
Si tout va plus vite: plus d'évaporation, plus de précipitations, ce qui reste sous forme condensée dans l'atmosphère peut rester sans changement.
Dix secondes pour écrire une bêtise, parfois des heures pour montrer à tous que c'en est une...
bjr a toi
l afrique de l ouest plus particulierement le senegal mercie
mr Lavoisier l a mis a notre disposition aussi pour l utiliser a des conditions semblables c est le casBonjour à toi,
Si tu pouvais éviter le langage SMS , tu ferais plaisir à tout le monde !!
merci e pour le conseil
Non on ne survie pas: la VIE est une maladie qui inexorablement mène à la...mort !
mias avec un petit geste on peu sauver des vies
Faut pas mélanger les dires de Mr Lavoisier avec la climatologie !!
A+
Le réchauffement climatique , c'est très bien pour faire pousser la verdure. Mais ce qui est plus grave , c'est l'assèchement des continents par des activités humaines comme la déforestation ou le pompage des eaux souterraines.
Donc pour utiliser le réchauffement climatique et irriguer les terres sans épuiser l'eau souterraine , il est indispensable de modifier nos habitudes et de reprendre des techniques plus anciennes comme les canaux d'irrgation gravitaires qui permettre de répartir la ressource en eau des précipitations en la prélevant latéralement sur les cours d'eau et en la transportant gravitairement ( gratuitement ) sur les coubes de niveau ( comme les aquducs romains ou les biefs et béaliaires de nos campagnes) .Ces compléments d'écoulement des cours d'eau permettent de réduire les inondations en aval en retardant les écoulements par un voyage sous terre qui filtre l'eau en rechargeant les réserves souterraines , c'est à dire aussi en soutenant les débits d'étiages en été. Autrement dit une technique qui permet de lutter contre les sécheresse avec l'eau des inondations et le bras des chomeurs .
bonjour a tous
j aimerai partager cette analyse avec vous et recueillir en même temps vos suggestions et commentaires
merci
La bombe à retardement alimentaire
Analyse
La faiblesse des récoltes due aux aléas climatiques et la spéculation sur les matières premières font craindre des répercussions dramatiques sur les populations du Sud.
Un accès de fièvre sur les marchés agricoles, et c’est le spectre de la faim qui ressurgit. L’aveuglement au désastre aura duré deux ans, depuis ce début de 2008, lorsque l’Egypte, le Maroc, l’Indonésie, les Philippines, Haïti, le Nigeria, le Mozambique ou encore le Burkina Faso s’enfoncent dans le chaos des émeutes de la faim. Deux années de récoltes abondantes, en 2008 et 2009, auront suffi à faire oublier ces soulèvements. En témoigne, malgré le milliard d’êtres humains qui crie famine, le désintérêt des dirigeants des pays du G8 pour le sommet consacré à l’alimentation mondiale par la FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, qui s’est tenue en novembre à Rome : aucun n’a fait le déplacement.
Pourtant, les voyants annonçant une nouvelle hécatombe alimentaire s’allument inexorablement les uns après les autres. «Nous revoilà à la case départ. Celle de 2008, avec des populations qui ne peuvent plus se nourrir correctement», prévient Olivier de Schutter, rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l’alimentation. Blé, maïs, café, sucre, huile de palme… La plupart des matières premières agricoles voient leurs cours s’envoler. Le blé a plus que doublé depuis la fin juin, il se rapproche de son plus haut historique de 300 euros la tonne, atteint pendant l’été 2008. La hausse s’est accéléré l’été dernier, comme si les opérateurs sur les marchés de Chicago et de Londres achetaient par peur de manquer. Ou comme s’ils pariaient sur une augmentation imminente des cours mondiaux des produits agricoles. Des comportements qui ont suivi l’envolée du cours du blé dans le sillage des incendies en Russie cet été… Et l’embargo sur les exportations de céréales décrétées par Moscou. Dans cette partie de l’hémisphère Nord, les récoltes de blé sont passées de 61,7 millions de tonnes en 2009 à 42 millions en 2010. Même chose au Kazakhstan, où les incendies ont fait chuter les récoltes de blé de 17 à 13 millions de tonnes. Ou en Ukraine qui a vu ses récoltes passer de 20,9 millions en 2009 à 17 millions de tonnes l’été dernier.
Inondations. Résultat ? L’indice mensuel de la FAO, qui mesure la variation de prix d’un panier de produits incluant céréales, oléagineux, produits laitiers, viande et sucre s’établit aujourd’hui à 214,7 points, contre 163 en mars, bien au-dessus de son précédent record de 213,5 points atteint en juin 2008. Celui des prochains mois risque d’être encore plus élevé. Et pour cause : c’est désormais l’hémisphère Sud qui souffre des aléas climatiques.
En Argentine, l’un des plus gros producteurs mondiaux de blé et autres céréales, ces aléas climatiques se sont traduits par une sécheresse. Et les inondations qui ravagent actuellement l’Australie, notamment le Queensland, n’arrangent rien à la crainte d’une hausse générale des cours mondiaux. «Les conditions d’une nouvelle crise alimentaire sont réunies, insiste Olivier de Schutter. D’autant plus que, comparé à 1990, le nombre de pays dépendants des importations de matières premières agricoles n’a cessé d’augmenter. Depuis 1990, la quarantaine de pays les moins avancés a vu le total de ses importations de produits agricoles multiplié par six… Il est temps de mettre le paquet sur le développement des cultures vivrières.»
Les stocks mondiaux de céréales devraient atteindre 427 millions de tonnes contre 490 en 2010. Une baisse qui s’explique aussi par un arbitrage en faveur des biocarburants. Aux Etats-Unis, près d’un tiers de la production de maïs est transformé en bio éthanol. Au Brésil, la canne à sucre sert de plus en plus à faire le plein des voitures. En 2007, le pourcentage des terres arables consacrées à des cultures destinées à la production des biocarburants était d’environ 4% au niveau mondial. Aujourd’hui, cette part serait de l’ordre de 6%.
«Moralisation». Dans ce contexte d’offre qui baisse et de demande qui augmente, les investisseurs redoutent que la première ne puisse suivre la seconde. En effet, la Chine s’est mise à manger plus de viande, ce qui nécessite d’importer toujours plus de céréales et de soja pour nourrir bétail et volailles. Un Chinois consomme désormais en moyenne 50 kilos de viande par an, contre seulement 20 kilos en 1986. Quant à la hausse du pétrole, elle alourdit la facture du transport des matières premières, et donc du prix du produit final. En Chine, la hausse des prix alimentaires frôle les 20% en 2010 !
Ce contexte physique se conjugue à une spéculation financière qui n’a pas fini d’enfler depuis le début des années 2000. A l’époque, producteurs et consommateurs de matières premières agricoles sont rejoints sur les marchés de Chicago ou de Londres par de nouveaux acteurs : les investisseurs institutionnels. Ce sont eux, fonds de pensions et autres banques d’affaires, qui ont découvert qu’ils pouvaient placer leurs formidables avoirs monétaires sur le blé, la viande, le pétrole, le sucre, le riz… Ce qui en fait des responsables idéaux ? «Non, ces investisseurs ne sont pas responsables decette envolée des prix, car la spéculation est nécessaire, notamment pour se protéger des aléas», affirme l’économiste Philippe Chalmin. Ce à quoi répond Olivier de Schutter : «Mais quand un fonds britannique peut à lui seul parier 1 milliard d’euros sur le marché du cacao, espérant ainsi pousser à la hausse les cours de la fève et empocher la différence entre le cours d’achat d’aujourd’hui et le cours de vente de demain, alors là c’est de la pure spéculation, Or, cette finance-là pèse pour plus de la moitié des opérations financières liées aux matières premières.»