Bonjour,
Le 3 mars 2006 : Nouvelle étape dans la prévention des risque de grippe aviaire. Les Zoos se vaccinent. Pour parler de ceci il faut prendre comme écriture simple à comprendre Ouest France du 3 Mars 2006. Il faut retenir du texte qu’une piqûre préventive va être effectuée pour rassurer les visiteurs. La grippe aviaire ne passera pas, principe de précaution oblige. Les Zoos s’invitent dans la campagne de vaccination. Programme de vaccination au ministère de l’agriculture. Dissiper de nouvelle craintes. Le vaccin sera de type H5N2, reprend Alain Lecavelier. Empêcher que l’animal soit malade, réduire son excrétion de virus à l’extérieur, deux effets. La vaccination n’empêche pas le portage du virus. L’opération vise moins à dégonfler une éventuelle inquiétude du client qu’à protéger à tout prix les volatiles. On s’interdit toute contamination potentielle. Détenteur d’oiseaux rares….Une perte génétique qu’on ne peut se permettre. Une nouvelle contrainte suite au confinement des oiseaux.
Faisons une analyse ensemble de la situation : Ce n’est pas le Zoo qui vaccine, c’est l’administration qui impose la vaccination. Le manque à gagner du Zoo d’un chômage technique ou d’une contamination serait économiquement néfaste avant tout non pas aux oiseaux mais à la société humaine. Le Zoo ne s’invite pas, on lui oblige la campagne de vaccination pour ce besoin de protection économique. Le secteur contaminé interdirait l’ouverture, un oiseau contaminé détruirait l’outil de travail. La protection ici n’est pas de protégé le vivant mais l’attraction commerciale de ce vivant pondérant à un risque économique avéré d’un client dégonfler d’inquiétude. Le programme de vaccination du ministère de l’agriculture ne vise qu’à dissiper de nouvelle craintes des consommateurs même çi pour celui ci, il s’agit de se divertir. Qu’est ce qu’il gagne le consommateur ? Des oiseaux vaccinés H5N2, l’animal ne sera plus malade de H5N2 mais des autres. Oui il sera moins malade, mais comme ils le disent dans l’article il sera porteur du virus ont dit porteur sain. De quelle souche sera porteur l’animal on s’en fou que ce soit N1 N2 ou un autre du moment que lui n’est pas malade. Il est faux de dire que l’on s’interdit toute contamination potentielle, on s’interdit que ces animaux soient malades, mais on accepte qu’ils soient résistant au virus en étant porteur sain pour une dissémination gratuite aux individus extérieur. Le consommateur n’a rien gagné. Se sent t’il mieux une fois la volaille vaccinée. De l’inquiétude il se doit de passer aux risques, celui d’être contaminé et de ne pas savoir et connaître l’origine de sa contamination. Un volatile porteur sain ne meurt pas mais lui le consommateur du divertissement n’est pas porteur sain, c’est ce que l’on qualifie d’une contamination volontaire. Une contamination volontaire est un risque avéré d’être contaminé génétiquement par un risque faible qui est pour un risque déclaré et contaminé un risque qui se situe aujourd’hui au-dessus de 0.9% 9 graines sur mille. Le fait n’est pas de dire, on ne peut avoir, le fait est de ne pas avoir au-dessus de. Quant aux pertes génétiques, un animal vacciné n’a t’il pas perdu sa génétique et son aptitude à développé sa propre résistance.
La loi et les règles imposent de protéger l’humain à l’encontre de l’environnement. Il adviendra que le danger plus grand ne sera pas de leur responsabilité mais de celle à pas de chance. Quand est ce qu’ils vont comprendre que vacciné toute la population ? OUI cela marche vacciner qu’une partie de la population cela ne marche pas
Vacciner des volatiles confinées est peu être une raison. Disséminer dans un secteur extérieur des volailles sentinelles vaccinées revient à crée un espace de prolifération du virus muté de même que de la dissémination D’OGM. On applique ici le principe de précaution de garder l’économie humaine en valeur aux détriments de l’imprécaution de la valeur environnementale. Leur principe de précaution n’est qu’économique. Il n’est que normal que l’on en parle pas du principe de précaution dans la loi de coexistence OGM ou il y a tant à gagner politiquement.
Vos remarque s'il vous plait merçi
Votre correspondant : Christian Grasland (apiculteur)
Association d’association : L’état nature de nature « ANTI OGM »
Participant : collectif citoyens « Bretagne sans OGM »
A bientôt
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