Moi il y a 13 jours:
RTE confirme les coupures du plan de défense si la météo n'est pas coopérative.Vérifier votre check liste en cas de délestage du plan de défense.
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Moi il y a 13 jours:
RTE confirme les coupures du plan de défense si la météo n'est pas coopérative.Vérifier votre check liste en cas de délestage du plan de défense.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
King Coal pour éviter que tous les français soit emm.....
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Un truc qui se confirme (Angleterre, Allemagne) , avec les ENR indisponibles, l'électricité est devenue prohibitive pour le transport ferroviaire, les marchandisent retournent sur la route et les locomotives diesels reviennent.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Bonjour,
Je découvre ce texte :
"""""
Pour disposer de 1 GW d'électricité en permanence, il faut coupler 1GW d'éolien avec 1GW de "flexibilité" c'est à dire une source d'électricité pilotable qui va compenser la baisse de puissance par manque de vent. La puissance et la capacité des barrages hydroélectriques étant limitée ainsi que la souplesse du nucléaire, il ne reste que les centrales à gaz pour la flexibilité avec de l'éolien à forte dose. Si on retient un facteur de charge moyen de 33%, pour chaque kWh d'éolien, on fait 2 kWh au gaz. Le rendement de stockage de l'électricité par la filière hydrogène est de l'ordre de 33% donc le GW de flexibilité alimenté à l'hydrogène pour les 2/3 de la production va nécessiter 6GW d'éolien plus 6 GW d'électrolyseurs, plus 6GW de puissance réseau, un stockage d'hydrogène et une centrale modifiée pour fonctionner à l'hydrogène.
Une éolienne dure entre 20 et 25 ans, un électrolyseur peut-être 10 ans.
Alors même si le vent est gratuit, ça fait cher du kWh à l'arrivée et ça relativise l'affirmation de l'intervenant en début de vidéo sur l'équivalence entre 1GW de nucléaire et 1GW d'éolien.""""
https://www.youtube.com/watch?v=Ur8a...nkf9bpIHVNA06i
Qu'en penser ?
Dernière modification par Mickey-l.ange ; 04/06/2022 à 09h17.
Ce que j'adore dans la vidéo (1:35) c'est "l'Allemagne est le pays de référence", on en voit toute la pertinence dans la situation actuelle....
Comparer un gisement renouvelable avec une centrale nucléaire (en GW) voilà dite toute la confusion sur ce sujet qu'est l'énergie.
Dernière modification par Bitrode ; 04/06/2022 à 10h12.
Qu'en penser ? Que l'éolien, ce n'est que du vent, une arnaque aux subventions publiques, un vol des contribuables.Bonjour,
Je découvre ce texte :
"""""
Pour disposer de 1 GW d'électricité en permanence, il faut coupler 1GW d'éolien avec 1GW de "flexibilité" c'est à dire une source d'électricité pilotable qui va compenser la baisse de puissance par manque de vent. La puissance et la capacité des barrages hydroélectriques étant limitée ainsi que la souplesse du nucléaire, il ne reste que les centrales à gaz pour la flexibilité avec de l'éolien à forte dose. Si on retient un facteur de charge moyen de 33%, pour chaque kWh d'éolien, on fait 2 kWh au gaz. Le rendement de stockage de l'électricité par la filière hydrogène est de l'ordre de 33% donc le GW de flexibilité alimenté à l'hydrogène pour les 2/3 de la production va nécessiter 6GW d'éolien plus 6 GW d'électrolyseurs, plus 6GW de puissance réseau, un stockage d'hydrogène et une centrale modifiée pour fonctionner à l'hydrogène.
Une éolienne dure entre 20 et 25 ans, un électrolyseur peut-être 10 ans.
Alors même si le vent est gratuit, ça fait cher du kWh à l'arrivée et ça relativise l'affirmation de l'intervenant en début de vidéo sur l'équivalence entre 1GW de nucléaire et 1GW d'éolien.""""
https://www.youtube.com/watch?v=Ur8a...nkf9bpIHVNA06i
Qu'en penser ?
Si une solution est réellement efficace, il n'y a pas besoin de subvention.
merci pour votre démonstration à laquelle il faut ajouter le pilotage de ces fluctuations de production au travers du réseau : cela a un coût également.
C'est plus subtil que ça, ceux qui produisent et poussent les ENR ont bien compris que les décideurs sont pris dans l'étau.
L'obligation d'une part de satisfaire les accords de la COP et d'autres part (et surtout) de satisfaire des enjeux économiques.
Si on ajoute à ça des règlementations dont personne n'y comprend plus rien tellement elles changent mois après mois, on aboutit à ce que nous avons connus avec les PAC (pompes à chaleur), à savoir une gabegie sur le crédit d'impôt.
Entre le crédit impôt recherche (CIR) distribué sans discernement (et surtout sans réel contrôle de pertinence et de résultats) aux différents acteurs ENR et un crédit d'impôt à l'acquisition qui fait du dumping et de la transfusion financière dans ce marché (avec nos impôts), il faudra bien un jour faire les comptes de rentabilité d'un secteur qui peine à innover, qui peine à produire et qui peine à s'émanciper financièrement.
On a connu ça pour d'autres domaines industriels, perdus depuis.
Si on ajoute à cette situation ubuesque des écolos incultes qui disent tout et son contraire sur l'énergie, on perd tout le monde et surtout le sens de l'objectif commun.
Pendant ce temps là le réchauffement climatique gagne du terrain et le réveil sera d'autant plus brutal.
que c'est du baratin (même pas la peine de donner le lien) à l'emporte pièce. il faut viser un mix, et il serait temps de provisionner pour chaque gramme de CO2 fossile émis, car en fait, d'une certaine manière, les énergies fossiles sont lourdement subventionnées par un endettement de réchauffement climatique à venir (sans même parler de l'épuisement de la ressource qui est inéluctable et auquel il faudra bien faire face).
Jusqu'ici tout va bien...
Bonjour,
Nouveau point de vue que je soumets à votre sagacité, concernant cette fois les step.
"""
la France de par son relief exceptionnel et la longueur de ses côtes a une spécificité : elle a un des plus grand potentiels pour construire des batteries hydrauliques (les STEP) d’après plusieurs rapports dont un de l’UE.
En d’autres mots, la France pourrait stocker assez d’énergies intermittentes pour assurer un mix 100% ENR, et mieux encore stocker un surplus conséquent lui permettant de revendre à profit cette ENR stockée durant les pics énergétiques.
Seulement 3 projets de ce genre suffiraient à assurer l'autonomie/stockage pour un mix 100% ENR à la française. Mais la France pourrait aussi utiliser son littoral (le plus long dans l'UE) pour construire des STEP marines afin d'arriver au même résultat.
La France compte seulement 6 STEP de taille modeste alors qu'elle pourrait en avoir une cinquantaine de la même taille ou juste quelques méga STEP comme le projet d'Abondance.
https://twitter.com/ewenlagadeg/stat...22894199046145
En France, par exemple, le volume actuel de stockage des STEP est de 184 GWh pour quelque 5 GW de capacité, et le potentiel réalisable de 4 000 GWh – 20 fois plus donc.
https://cedricphilibert.net/lenorme-...e-hydraulique/
https://www.revolution-energetique.c...ant-ingenieur/
"""
Je ne comprend pas le relation entre STEP et longueur du littoral !
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
Une question de "step marines", je crois.
On pompe quand la mer est haute et on turbine quand le mer est basse ?
A partir de quelle hauteur d'eau c'est raisonnablement efficace ?
Merci
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
Bonjour,
Je suis content de voir l'intérêt des STEP bord de mer reconnus! l'UNIQUE centrale marémotrice de la Rance s'apparente a une STEP avec ses turbines réversibles.
Le role de la marée pour ces centrales STEP est certes important mais leur fonctionnement ne doit pas en dépendre: vu que les horaires de marées changent sans cesse suivant un cycle décalé de nos jours et nuits.
Les STEP bord de mer ne peuvent pas se faire sur des falaises de craie.