Merci.
En résumé:
Les épandages sauvages de particuliers, de Roundup et désherbants, pesticides dans les sols de jardins, pelouses, champs latifundiaires, auront désherbé la quasi totalité de la terre, ces polluants nocifs pour la vie envahissant les nappes phréatiques, et si versés dans tout-à-l'égout, envahi les eaux fluviales, de ce fait jauni les feuillages de la végétation mondiale, desséché les forêts jusqu'à l'incendie de milliers d'hectares de zone arborées parties en fumée, tué des populations de lombrics sensibles aux pesticides, désherbants, détruit de ce fait des sols riches en humus entretenus de ces populations de lombrics, exterminé des populations d'insectes pollinisateurs dont les abeilles.
Le rehaussement calculé de niveaux différents intercalés de zones cultivées à arborées, au dessus du niveau de la ville ou de la mer par régions entend un remodelage total de l'agencement géographique du sol, de l'environnement végétal et urbain. Les cultures, zones arborées étagées sur buttes parcellaires ajoutées à paillage de damiers de composts agricoles de niveaux étagés divers agencés au hasard, ou fonction de pente locale des cours d'eau, si voulu de drainer les crues et eaux pluviales, une solution alternative. Faut il reconstruire Paris ailleurs qu'en son emplacement actuel ou l'enraciner en zone inondable devenue dangereuse des défauts de gestion de ses zones en amont sans aires réservées à espaces au rehaussement calculé de niveaux de substrats, humus de compostage agricole.
Si subsistent quelques populations d'oiseaux encore non affectées de pesticides, ils consomment le peu d'insectes si insectivores, graines, si granivores, imprégnés de pesticides mortels pour eux, affectant leur survie, dénaturant l'ADN, polluant leurs œufs, semences, habitats.
Rizières étagées dans le but de nourrir les surplus de populations mondiales, des rizières pour lesquelles des déforestations massives s'opèrent afin que les humus imbibés retiennent les eaux pluviales dans un bain constant, déforestation créant le dérèglement climatique actuel prévu de mai 68.
Les rizières, cultures vivrières asiatiques ne connaissant de désherbant industriel typique, et cultivant, laissant proliférer le monde végétal plus que l'anéantir, sinon par politique de brûlis des forêts, technique en agriculture de venue dangereuse avec la survenue du réchauffement climatique.
D'autant plus grave que le riz, aliment principal hindou, asiatique, prend le pas sur les cultures traditionnelles vivrières locales, contient un toxique pur, le poison cyanure si le riz mal cuit, sorte de poisson lune asiatique consommé à la roulette russe autant les noix de cajou et manioc, cyanure pur si consommés crus.
Le riz raffiné ne contenant qu'amidon pur sans principes nutritifs aucuns ni élément préventif de la malnutrition liée à famines entretenues de dictatures, à catastrophes humanitaires constantes. Ou le riz usité couramment en ersatz euthanasique lent, ou brutal. Si la surpopulation planétaire survit à son surnombre, la sur-urbanisation couvrira l'espace terrestre de sur-croissance imposée de lois du travail pour l'embauche sous-rémunérée, privera la terre des cours d'eau, éléments, Météores agriculture, végétaux, vies animales, humaines.
Lors que l'occident, toujours à la pointe du progrès, réclame l'anéantissement industrialisé, du vivant végétal, sauf ses consommations agricoles alimentaires, sans aucun esprit de gestion des paysages ni environnements autre que ceux délimités par le progrès, ses obédients, leur lieux de vie, villas, véhicule, Femmes, Enfants, travail.
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