Bonjour, j'ai écris une hypothèse et j'aimerais avoir votre avis sur:
-la facilité de compréhension
-la cohérence de l'hypothèse (voir si tout ce qui est écrit pourrait être cohérent, sinon démontrez le contraire)
-savoir si l'équilibre présente de l'intérêt, si cela vous a plu ou non.
merci
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« La perfection n’existe pas »
Il était une fois, il y a bien longtemps, existait une harmonie si parfaite qu’elle décida de se diviser pour expérimenté le retour à cette unité ultime à travers ce qu’on appelle la vie.
L’harmonie se divisa donc en deux entités, l’une dite « la loi », L’autre appelée « la nature ». Par sa division l’harmonie se « manifesta » instituant la réalité que l’on nomme univers. Cette réalité n’avait pour but que d’être l’environnement dans lequel l’expérimentation de la vie puisse être possible tout en étant suffisamment cohérente pour assurer, une fin à cette expérimentation et un retour sain et sauf à cette harmonie parfaite.
Pour garantir cela, l’ordre des choses fut instauré. L’ordre des choses c’est la base de l’univers. C’est le pilier qui permet de garantir la cohérence de l’expérimentation, mais aussi la liberté de l’expérimentation. Et ce, à travers la fonction même des entités « loi » et « nature ».
La « nature » représente le mouvement c’est le pouvoir, l’exécuteur de la volonté, avançant implacablement en vue d’atteindre la « loi » pour s’unir à elle et créer l’accomplissement.
La « loi » représente le pilier, c’est la volonté, le plan qui définit clairement l’origine et la fin. Pour faire plus simple et en terme de cheminement, la « loi » représente-le « d’où je viens » et « où je vais » et la « nature » représente le « comment je veux y aller ». Par conséquent la « loi » détermine la forme de la « nature » et sous cette forme la « nature » tend vers la « loi ». Ainsi est l’ordre des choses.
De ce fait, la « loi » fut désignée comme étant la gardienne de l’âme alors que la « nature » fut désignée comme étant la gardienne de la vie. L’âme désigne l’essence d’un être manifesté dans l’univers, c’est ce qu’il est originellement, c'est-à-dire son identité au-delà de toute manifestation. La vie désigne la forme de ce même être, forme qu’il a choisie en tant qu’âme pour expérimenter au sein de l’univers.
En tant que gardienne de l’âme, la « loi » doit s’assurer que toutes âmes quelles qu’elles soient, puissent trouver le chemin vers sa propre origine, c’est l’accomplissement de l’existence. Et en tant que gardienne de la vie, la « nature » doit s’assurer que toutes formes manifestées puissent pleinement et librement expérimenter la vie et, au terme de cette expérimentation de la vie, avoir le choix entre un retour direct à sa propre origine au-delà de toute manifestation, c’est le progrès menant à la destruction, ou commencer une nouvelle expérimentation avec l’acquis de l’ancienne expérimentation, c’est le progrès menant à l’évolution. Chacun de ces deux choix forme ce que l’on appelle l’accomplissement de vie.
L’accomplissement de vie en terme d’origine suppose l’accomplissement de l’existence en terme de finalité, l’un ne vas pas sans l’autre, l’un ne peut pas aller sans l’autre, l’un ne doit pas aller sans l’autre. C’est ce principe primordial qui permet d’assurer pleinement l’objectif originel qui se résume à : « se séparer pour mieux se retrouver ».
Notre histoire commence sur la petite planète appelée « terre » où les choses concernant l’expérimentation de cette chère harmonie parfaite ne semblent pas, mais alors vraiment pas s'être passées comme prévue…
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