Salut,
Non, je crois que ça n'a rien a voir. Ce qui est augmenté par la numérisation c'est la longévité de l'oeuvre et la facilité de restauration.
L'oeuvre une fois numérisé peut être plus facilement restauré et copié infiniment à l'identique.
Je parlais de la compression a perte celle utilisé en mpeg par exemple... Audio ou vidéo c'est une compression à perte qui ne saurait restituer, ou encore moins, augmenter la qualité. Quand le flux est bon pas de probleme. Mais si une erreur ce produit en amont certains algorithme ne permettent même plus de "sauver" le reste du film... Les films de qualité comme ceux qui sont projeté aujourd'hui dans les cinémas numérique sont de tres gros fichier.
Voir aussi les problêmes artistique en compression audio qui n'ont rien a voir avec la compression dont je parlais...
En audio, les vieilles oeuvres sont masterisé. On augmente alors le son avec un compresseur audio qui hélas détruit le dynamisme au profit de l'égalisation dynamique. Ce qui nous rend sourd et qui doivent être jugé artistiquement comme une qualité "réhaussée" ou non...
Les instituts de restauration comme La cinémathéque font tres attention a ces aspects quand ils numerisent une oeuvre. Le rapport artistique contre numérisation devient crucial. Perte de données et de son dans l'élimination d'un souffle sur les bandes son sont a eviter. Création de retouche sur les poussiéres et craquelure se discute aussi.
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