Les probabilités classiques sont respectées par la MQ, ce qui n'est pas respecté, c'est le principe de localité, ce qui rend les inégalités de Bell inappliquables.Envoyé par gillesh38
Autrement dit, pour qu'une théorie à fonction pseudo-aléatoire marche, il suffit simplement de garder le même principe de non localité de la MQ, ce qui permettra de violer comme prévu les inégalités de Bell.
En fait, je ne vois pas comment tu peux faire la différence entre une fonction aléatoire et une fonction pseudo-aléatoire, sauf à les essayer toutes.
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. En effet, il considére que l'on survit à cette expérience d'un point de vue interne et personnel (inconcevabilité d'un tel état qui n'est plus un état qui devient ainsi inenvisageable). La probabilité de survivre est donc bien égale à 1 pour le philosophe de l'expérience. De plus, il ne se pose pas dutout la question de savoir si un cerveau est ou non digitalisable puisqu'il l'admet dès le début en postulant comp' (voir les remarques de Gillesh38). 
Euh note qu'il suppose comp' vrai pour sa thèse qui a tout de même comme objet d'étude ses implications par rapport au problème corps/esprit et pas vraiment la vérification de l'hypothèse (bien qu'il en propose une consistant à comparer Comp' et MQ).
Je n'ai jamais affirmé que B.MARCHAL avait pour objectif de reduire l'homme à ce simple mélange corps/esprit. J'ai bien conscience que ce n'est pas l'objet principale de sa thèse. Cela dit, comme tu l'ennonces dès le début de ton post, il admet comme vrai cette allégorie. C'est precisemment ce qui me dérange, puisque qu'il cherche justement à resoudre à sa manière le problème corps esprit...
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