Il y a des idées de base et des raisonnements de base, communs à tous les êtres humains, que tout être humain avec une instruction minimale, est en principe en mesure de comprendre. Reste que la pratique de l’ordinateur n’est pas innée, s’apprend. Même chose avec un robot, il faut la notice pour s’en servir. Les personnes d’un certain âge ont plus de mal avec un ordinateur que des personnes jeunes et celles qui ont peu d’instruction également. Reste qu’une personne isolée dans un village isolé aux mœurs ancestrales dans une forêt profonde de Patagonie ou en Papouasie, a-t-elle besoin d’un ordinateur ou d’un robot celle-là Moralité aux chinois des ordis chinois, à tout peuple ou peuplade ses ordis et robots propres, adaptés, évidemment Enfin l eplus court chemin pour aller quelque part est de ne pas y aller en effet et il y a une façon très circulaire de résoudre un problème celle de dire qu’il n’y a pas de problème et donc que si le vivant est une machine alors le vivant est une machine, cela s’appelle « pétition de principe » ou « tautologie » :Oui, mais si tout le monde ne pense pas de la même manière (c'est le sujet du fil, la question de savoir s'il existe une manière absolue de penser), alors l'utilisateur n'est pas celui qui a pensé l'ordinateur (ça peut être celui qui a imaginé son design ou distribué l'ordinateur ou etc.).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pétition_de_principe
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tautologie
http://www.toupie.org/Dictionnaire/P...n_principe.htm :
Définition de pétition de principe
Etymologie de pétition : du latin petitio, demande, requête, prière.
Etymologie de principe : du latin principium, commencement, début, origine, prélude, composé de primus, premier, et de capio, prendre, soit étymologiquement ce qui est pris en premier.
En logique, une pétition de principe est un raisonnement fallacieux, un sophisme, une illusion d'argumentation qui consiste à tenir pour vraie la proposition que l'on veut démontrer, en la présumant vraie dans l'une des prémisses (affirmation énoncée en support à la conclusion). La conclusion est alors donnée sans argument ni preuve.
Synonyme : argumentation circulaire.
Exemples de pétitions de principe :
• "Si Dieu n'existait pas il serait imparfait, or Dieu est parfait... donc il existe."
L'existence de Dieu que l'on veut prouver est affirmée dans la seconde prémisse avec l'attribut de la perfection. En outre, cela n'a aucun sens d'attribuer une qualité, ici l'imperfection (Cf. première prémisse), à quelque chose qui n'existe pas.
• "J'ai vécu des expériences qui ne peuvent être considérées que comme paranormales, donc les phénomènes paranormaux existent."
Le fait de dire dans la première proposition que des expériences vécues ne peuvent être que paranormales revient à affirmer sans preuve leur existence, affirmation reprise dans la conclusion. Il aurait d'abord fallu définir ce que sont les phénomènes paranormaux, puis prouver que les expériences vécues en faisaient partie.
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