Bonjour
Non non. Je ne me suis pas trompée d'intitulé. J'ai choisi volontairement Sciences Humaines, Ethique des sciences. Merci de laisser cette question ici.........
Vers 1800, Fresnel a fait des expériences intéressantes. Il laissait entrer la lumière du soleil par un minuscule trou et observait l'ombre d'objets divers et variés. J'en retiens deux. L'ombre d'un fil. Qui présente une bande claire en son centre. Et l'ombre d'un petit disque. Qui présente un point brillant en son centre. Ce point s'appelle d'ailleurs tache de Poisson. Vu l'anecdote qui lui est attribué.
Une petite recherche sur internet vous rassurera sur l'authenticité de tout cela.
Fresnel ne disposait que de faibles moyens technologiques de son époque. Pas de lumière artificielle; pas de papier photographique ni de cellule photosensible. Rien que ses yeux.
Je me suis posé la question suivante. Si au lieu de regarder l'ombre du fil ou du disque, il avait regardé vers la source de lumière cachée par le fil ou le disque, qu'aurait-il vu?
Je vous pose la question.
Comme je l'ai posée à Mr Aristitdi, professeur d'optique à l'université de Nice. Il m'a gentiment répondu:"quand on étudie la diffraction, c'est mieux de regarder l'écran". Bizarre, non? De renoncer comme çà à une expérience inédite me semble-t-il.
Un autre scientifique m'a fait une réponse tout aussi extravagante:"Fresnel s'est trompé. Le point brillant n'existe pas". Celui-là réinvente le passé.
Et oui, il me semble que nous sommes bien là dans les tréfonds du fonctionnement de la pensée humaine.
J'attends vos réactions avec impatience.
Il y a du soleil chez moi.
Elise.
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