Je ne donne pas de réponse, je dis juste que même si cela peut-être compréhensible (par rapport à notre "culture") c'est quand même bizarre de hiérarchiser notre barbarie, qui pour certains êtres vivants serait acceptable, et pour d'autres beaucoup moins voir pas du tout (et proportionnellement à notre rapport "affectif" et/ou nos besoins d'en asservir certains).
Que l'on pousse le curseur des restrictions de ce que l'on inflige aux autres animaux est un "joli" principe sympathique, mais selon quels critères et jusqu'où pousser ce curseur?
Les réponses possibles me semblent assez facile a répondre si l'on parle du coté de l'attention (le "bien-être" animal), mais pour le coté "respect" de la vie animale, c'est une autre paires de manche.
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