J'ouvre ce topic pour éviter le hors-sujet sur l'autre topic.
Poursuite de la discussion à partir du poste 123# http://forums.futura-sciences.com/et...ml#post6144089
C'est ce que je voulais dire par-là :
La différence est justement que les graines ne sont pas conscientes, ne ressentent pas la douleur, la souffrance de la perte d'un proche. Et que nous partageons avec les animaux que nous mangeons toutes les caractéristiques sur lesquelles viennent s’apposer les critères phares de diagnostic de la personnalité antisociale. La seule différence qu'ils ont avec nous est cognitive. Le diagnostic sur les humains est le même en fonction du degré d'intelligence, de capacité à parler, s'il s'adresse à un sourd-muet, à un individu en retard mental lourd etc.Si la médecine choisie de considérer que de tels critères classent un humain dans cette catégorie, il est logique d'appliquer la même grille sur des êtres vivants qui ne se différencient de nous, que par des critères qui ne rentrent pas dans le diagnostique de la personnalité en question : degré de cognition, capacité à parler un langage complexe.
Partant de là, je ne vois pas ce qui scientifiquement permet de limiter ce trouble, qui a ses raisons d'être diabolisé, à l'Homme.
-----