Isolation... d'un conduit de cheminée... entre boisseau et tubage ???

[chataxe]

Bonjour,

A question sans réponse... nouvelle formulation !

Quelle question ?

EST IL POSSIBLE D'OBTENIR UNE VALIDATION EN CONFORMITÉ ?
Auprès de quel organisme ?.

Peut être auprès d’un organisme comme l’APAVE, la COPROTEC, le COSTIC…?, mais cela vat te couter encore plus cher que de faire faire le travail je pense...

Pour l'installation, j'ai lu que pour un tubage rigide : Longueur maxi. entre deux supports muraux (partie droite) peut être de 10 mètres.
Comment faut interpréter cela ?

Je ne sais pas si tu as changé ton fusil d’épaule, mais tu étais parti sur un conduit rigide et pas tu un tubage rigide.
Pour les 10m, c’est à voir sur les spécifications données par le fabricant car lui seul est à même de donner les conditions de montage de ses produits.

Si mon conduit est droit et fait moins de 10 mètres,
1) la fixation en bas et en haut est nécessaire et suffisante. O/N ?
2) Pas besoin de collier pour fixation intermédiaire. O/N ?,

Si le fabriquant demande bien 10m maximum entre 2 fixations, tu peut bien te contenter d’une fixation en bas et d’une en haut distante de 10m maximum.
A+
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[invite5d91c2de]

Bonjour CHATAXE...

Merci pour ces réponses...

Non, je n'ai pas changé d'idée. Mon orientation reste : conduit rigide inox/inox isolé.
Nous rencontrons simplement un problème de vocabulaire...
Pour moi, 'tubage'est un nom générique parlant d'un tube, isolé ou non, dans un conduit.
Concernant une validation d'installation, comme cela coûterait plus cher que de faire appel à un 'pro'...
Je vais donc me rapprocher de mon assureur qui saura me dire s'il accepterait mon installation ou non...
Je me doute de sa réponse, mais je lui poserai tout de même la question.
Je ne souhaite pas systématiquement zapper les 'pro', mais ce qui me chagrine...
C'est que le 'pro' qui a fait l'installation d'origine, n'a pas pris en compte tous les paramètres.
Me faisant porter ainsi des risques potentiels de feu ; Ce qui a fini par arriver.
Dès lors, impossible de nier ce risque... même si tout a été mis en cause avant de parler de l'installation ; tirage (pourtant qualifié d'excellent le jour de l'installation), qualité du bois (pas sec votre bois ; taux relevé 12%), entreposage du bois, façon de faire du feu etc.

Aujourd'hui, je veux donc aboutir à une meilleure installation, minimisant ainsi au maximum un risque toujours possible... (le risque zéro n'existant pas).

Concernant l'installation précédente, ne sachant pas à quelle température c'est monté lors du feu dans le tubage, je pense que l'on peut estimer qu'elle a fait son temps et nous avons pu, avec l'installateur constater ses faiblesses.
Je pense qu'il aura pris en compte ces informations pour de futurs installations (acquis de l'expérience dont on parle tant aujourd'hui)... Encore faut il valoriser...