A hugojean,
Tu dis:La poussée de la pompe, qu'on appelle généralement la HMT ne modifie pas la répartition des débits dans les différents radiateurs, si un radiateur situé en bout de ligne reçoit 1% du débit total de la pompe, cela restera 1%. Mais bien sûr sir tu augmentes le débit total par 2 il recevra 2 fois plus de débit. En résumé, ce n'est pas la solution. Le bon moyen est de freiner les radiateurs qui reçoivent trop pour favoriser ceux qui ne reçoivent pas assez, ce qui se fait à l'aide des tés de réglage.oui, ou en autre termes la poussée de la pompe. je croyais qu'en augmentant la puissance de cette dernière, ça adoucissait un peu les différences de perte de charge dans chaque ligne (c'est un peu l'argument des 7 courbes de charges de la pompe alpha I Danfoss d'après sa doc).
Tu dis:Cela me parait nécessaire d'installer une vanne 3 voies, mais je ne suis pas sûr qu'une vanne thermostatique réglable apporte significativement plus qu'une vanne 3 voies manuelle. La différence est que la vanne thermostatique régule pour maintenir une température du mélange fixée alors que la vanne 3 voies maintiendra un rapport de mélange. Donc avec une température de sortie insert variable au cours de la flambée, la température du mélange variera peu avec la vanne thermostatique et davantage avec la vanne 3 voies. Mais une vanne thermostatique manuelle peu facilement être motorisée et donc automatisée avec un régulateur+ thermostat d'ambiance par exemple, alors que la vanne thermostatique réglable restera toujours manuelle en ce qui concerne la température du mélange.C'est sûr qu'on va devoir installer une vanne 3 voies entre le ballon et le circulateur de chauffage. Je pensais, plutôt qu'à une vanne 3 voies motorisée + contrôleur qu'on n'a pas, à mettre une vanne thermostatique. Une réglable, histoire de trouver le point de fonctionnement qui nous va bien (voir de le modifier en cas de grand froid)(comme Narbouki en fait). du coup j'opterais à priori pour une ESBE VTA370 réglable de 30 à 70°C
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