Risque sanitaire à chauffer eau et terre cultivée et limites admissibles ?

[invitebd567847]

Bonjour a tous,

J’envisage la construction d’un bac de culture en extérieur, à réserve d’eau.

J’envisage également de chauffer l’eau par capteur solaire, pour étendre la période de culture.
Un peu a l’image des couches chaudes (fumier) et châssis, des maraîchers.

Y a-t-il un risque sanitaire a chauffer l’eau et la terre (vivante avec vers de terre etc…) ?
La chauffe et réserve d’eau se ferait à plus de 60cm de la surface du sol.

Quelle température maximum ne pas dépasser pour ne pas cramer toute vie dans le sol et les légumes, accessoirement

Merci de vos réponses.
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[invitebd567847]

Pour etre plus clair, voici un schéma

Y a t il un risque sanitaire a chauffer de l'eau en contact avec la terre (légionellose ou que sais-je)

et quelle température peuvent supporter les racines ?

[invitebd567847]

Avis a la modération ( je ne sais pas où vous contacter) Vu le succès des réponses , ne serait-il pas judicieux de déplacer ce sujet dans "le coin du jardinage" ?
Bien cordialement.

[archeos]

Hello!
Ca me paraît effectivement une rubrique plus appropriée. Demande faite.

[A voir en vidéo sur Futura]

[invitebd567847]

OK, merci

[zebular]

Salut
Peut tu expliquer ton point de vue quant à l'innovation par rapport à ce qui se fait déjà en matiére d'allongement des saisons de culture en regard des serres et autres techniques de chauffage de plantation déjà pratiquées?
Ce systéme semble riche en déperditions energétiques,"presque" gratuite, mais supposant un investissement en capteurs solaires.

[invitebd567847]

En premier lieu je souhaite tester un bac de culture à réserve d’eau, ou wicking bed.
L’intérêt étant le non tassement du sol, le travail à hauteur, la réserve d’eau en période de vacances estivales et éviter de manières biologique les indésirables type mulots et limaces.
M’est venue l’envie de rentabiliser ce travail de construction en allongeant la saison des cultures, sans le secours d’EDF, ni des énergies fossiles, bref ,que ça soit le plus autonome possible.
Il est prévu une isolation thermique de la terre et une couverture type tunnel mais je ne m’attends quand même pas à avoir des melons à Noel.
C’est simplement pour expérimenter, pour voir ce que je gagnerais à chauffer , plutôt qu’à ne pas le faire.
Il y aurait un deuxième bac non chauffé, pour comparer.

Tout cela est moins onéreux à construire qu’une véritable serre et plus à ma mesure pour les travaux.
Il faut voir cela comme une expérience et non comme un résultat optimum et garanti.
Ça ne devrait pas être mieux, ni même égal à une serre chauffée mais sans doute mieux qu’un bac standard ou la pleine terre.