Bonjour ,
j'ai entendu dire que le monoxyde d'aluminium contenu dans l'eau de certaines régions serait augmenterait la probabilité d'avoir un Alzheimer.
Quelqu'un aurai plus d'info la dessus ?
Merci d'avance...
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Bonjour ,
j'ai entendu dire que le monoxyde d'aluminium contenu dans l'eau de certaines régions serait augmenterait la probabilité d'avoir un Alzheimer.
Quelqu'un aurai plus d'info la dessus ?
Merci d'avance...
Bonjour,
Tu devrais creuser par là : MICHEL P. , COMMENGES D. , DARTIGUES J.F. , GAGNON M. and Paquid Research Group, « Study on the relationship between Alzheimer’s disease and aluminum in drinkingwater»(abstract) Neurobiol. Aging.1990 ;11 : 264.
Ou là:http://books.google.fr/books?hl=fr&l...page&q&f=false
http://epirev.oxfordjournals.org/cgi...xtract/14/1/59
Bonjour,
C'est pas prouvé , il n'existe pas de lien valide mais des hypothèses,,, la pathogénie de la maladie d'Alzheimer est hyper hyper complexe, et non encore élucidée jusqu'à présent
il existe des théories qui sont en faveur d'une taupathie + peptide alpha amyloide, mais la c'est une autre histoire!!
Bonjour,
L'aluminium a été soupçonné pendant plusieurs d'années d'être une des causes de la maladie d'Alzheimer. On avait en effet trouvé des accumulations de dérivés d'aluminium dans les cerveaux de personnes décédées de la maladie. Les dernières études publiées (notamment par le ministère de la santé américain) donnent de moins en moins de crédit à cette hypothèse.
Pour plus d'informations, vous pouvez consulter les éléments ci-dessous :
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A votre disposition pour toute précision.
Désolée, mais nous n'autorisons pas ce genre de lien en direct sur les messages.
Vous pouvez par contre le renseigner dans votre profil.
Bonne journée.
Dernière modification par mh34 ; 04/06/2010 à 19h01.
Bonjour
Pour connaître les causes de la maladie d'Alzheimer, vous pouvez aller sur cette page du site de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau : http://www.frc.asso.fr/Le-cerveau-et...ie-d-Alzheimer. Le site publie également des actualités sur toutes les maladies neurologiques. N'hésitez pas à y faire un tour, il est très complet.
A bientôt
Bonjour,
Une des causes (fort probable) serait une intoxication avec un neurotoxique connu depuis très longtemps.
Le mercure.
En faute : les dentistes.
L'usage des "amalgames dentaires" s'est répandu dans le monde depuis 1850.
Le premier d’Alzheimer a été diagnostiqué par Aloïs Alzheimer lui-même en 1901.
Aujourd'hui, le mercure dentaire est toujours employé, notamment en France et aux États-Unis, où 80 tonnes de ce métal trouvent preneurs.
Pas cher, efficace au dire des praticiens, il n'y a pas de substitut au mercure dentaire à l'heure actuelle pour la réalisation d'amalgames métalliques.
Employé sous la marque déposée "Dispersalloy", le mercure occupe 50% en masse de l'amalgame. Le reste est une base Argent + Cuivre + Zinc + Etain.
Des analyses ont été faites sur des "plombages", et le mercure N'EST PAS STABLE une fois introduit en bouche.
Une vidéo de l'IAOMT (International Academy of Oral Medicine & Toxicology) démontre qu'une dent amalgamée promenée devant un écran lumineux vert, avec un filtre spécial à absorption (longueur d'onde de 253,7 nanomètres) développe un panache continu de mercure, qui s'échappe de la dent.
Si la dent est chauffée à 110°F (soit 43,3°C), avec un café chaud par exemple, on voit clairement que l'émission de mercure s'intensifie.
Voilà le lien vers cette vidéo plus toute jeune (première démonstration en 1995) : http://www.youtube.com/watch?v=Bw94F94FZqA
L'IAOMT n'invente rien, ce n'est pas de la vapeur d'eau, mais bien du mercure !
La preuve est ici, par periodictable.ru : http://www.youtube.com/watch?v=JABbo...eature=related. Attention les yeux !
Alors j'entends déjà dire que des microgrammes de mercure par jour, cela n'aura aucun effet.
Bin voyons.
Il se trouve que l'homme est très proche des animaux, il ne fait pas exception, on les utilise en laboratoire pour émettre et valider des hypothèses, ils sont foutus comme nous, avec les mêmes protéines, codées par le même ADN.
Ici, point de rats ni de lapins, juste des gastéropodes, ici des escargots.
L'université de Calgary (province de l'Alberta, Canada) a réalisé une vidéo qui en dit long, très long, sur l'extrême neurotoxicité du mercure.
Le protocole est le suivant : on prélève des neurones d'escargots qu'on maintien en vie sur une lame de microscope.
On observe que les neurones sont pourvues de nombreuses axones. Ces axones établissent des contacts de neurones à neurones via les synapses, seulement pour éloigner les synapses du noyau de la cellule, il faut des cônes de croissance.
Ces cônes de croissances sont constitués d'actine, une protéine qui génère des pulsations.
Si le neurone ne trouve pas de connexion, une autre protéine, la tubuline, se charge d'éloigner le cône de croissance en s'assemblant pour former une microtubule.
Cette gaine est un assemblage de tubulines, qui mises bout à bout permet de protéger par enveloppement la microfibrille qui transmettra l'influx nerveux.
Dans la vidéo, l'extrémité de la pipette injecte un liquide contenant une très faible dose de mercure à proximité des cônes de croissance.
L'attaque est très rapide et remarquable.
Le mercure se fixe sur la tubuline, de telle façon que l'inter-empilement n'est plus possible, la gaine protectrice disparaît et les microfibrilles se retrouvent à nu.
Le problème, c'est que la concentration qui met en oeuvre ce phénomène, c'est 10 ^-7 mole. Un dix-millionième, c'est trois fois rien, mais pas ici.
Une fois rendues inopérantes, le neurone privé de connexions finit par mourir, mais n'est pas remplacé. Mais surtout, le mercure est relargué dans l'environnement immédiat et attaque les autres neurones, il n'est pas solidaire de cette protéine qui finit par se dégrader.
La vidéo est ici : http://www.youtube.com/watch?v=XU8nSn5Ezd8
Depuis 1991, l'OMS a démontré que la première source d'exposition au mercure étaient celui placé dans les dents.
Je crois qu'il est temps que les médecins nous rendent des comptes, que les dentistes nous retirent cette merde, et qu'on retire le mercure des ampoules à basse consommation, les fluo-compactes. Elles contiennent 5 milligrammes de mercure, si on les casse le mercure est déjà pulvérisé et squatte indéfiniment les maisons.
Il est plus que temps d'interdire à ce neurotoxique d'être vendu en grandes surfaces, où l'a peu près et la casse généralisée des tubes règnent en maîtres.
A chacun de tirer la conclusion qui s'impose.
On nous prends vraiment pour des imbéciles. Si la directive RoHS nous interdit d'employer du mercure dans les constructions électriques et électroniques (à part avec des dérogations visiblement, confère ci-dessus); on est pas des machines, ****** ** *****.
Vous pourriez lire ça : http://www.sante.gouv.fr/presentent-...-la-sante.html
Et serait-il possible d'illustrer vos propos de liens scientifiques ? Parce que la vidéo YouTube ...
Dernière modification par Edelweiss68 ; 28/08/2011 à 23h11.
H u m a n i t y
Ce qui laisse supposer que la quantité de mercure das l'amalgame diminue : ce qui n'a jamais été constaté.
On s'aperçoit aussi qu'il y beaucoup de gens qui n'ont pas d'amalgames et ont cette maladie et plus encore qui ont ces amalgames et pas cette maladie.
Enfin, si le mercure est un neurotoxique très connu, il est justement assez connu pour qu'on sache que la maladie d’Alzheimer ne fait pas partie des effets causés.
Bonjour,
Merci pour la censure, c'est constructif.
Des liens scientifiques ?
L'Université de Calgary n'est peut être qu'une assemblée de sectaires peut-être ?
S'ils indiquent leur protocole, il est digne de foi non ?
La vidéo montre bien l'action du mercure sur des tissus vivants très semblables aux nôtres. Point.
Des essais ont été faits avec d'autres métaux et seul le mercure ronge les neurones de cette manière.
Que dire de plus ?
####### supprimé : diffamatoire
En attendant, face à un sujet aussi grave et qui progresse de façon exponentielle, je trouve que fermer des pistes aussi sensibles d'une manière aussi péremptoire, ce n'est pas ça, un gouvernement au service de son peuple. S'ils veulent démentir d'une manière si catégorique, à eux d'apporter la preuve que la piste du mercure n'est pas la bonne.
Ils en ont les moyens.
Ah, c'est sûr, 10-7 mole, c'est pas facile de trouver des concentrations aussi faibles...
L'Affaire du Médiator montre bien que de puissants intérêts ont fait mourir des personnes, sciemment ou non. Et que les lanceurs d'alerte sont discrédités, intimidés et traînés devant les tribunaux. Ca a été le cas d'Irène Frachon, aujourd'hui élevée aux nues.
Mais je ne suis pas médecin, mais il est plus que temps que la culture critique assaille chacun d'entre nous face à la soupe servis par ces "Ministères".
Convenons en tout cas que si vous aviez quelques amalgames dans votre bouche, votre réaction serait sûrement différente.
Salutations.
Dernière modification par JPL ; 28/08/2011 à 23h43.
Rappel :
...............
6. Ayez une démarche scientifique. Ce forum n'est pas un lieu de discussion sur de soi-disant phénomènes paranormaux ou "sciences" parallèles. Toutes idées ou raisonnement (aussi géniaux soient ils) doivent reposer sur des faits scientifiquement établis et non sur de vagues suppositions personnelles, basées sur d'intimes convictions. Étant sur un forum scientifique, les discussions religieuses ou politiques ne sont pas tolérées. D'autre part la seule vocation de Futura-Sciences étant la vulgarisation scientifique de bon niveau ce n'est pas le lieu pour des questionnements ou remises en cause de théories admises dont seuls des spécialistes ont les compétences pour débattre, ni pour l'exposé de théories strictement personnelles. Une telle démarche aurait sa place uniquement dans un séminaire ou un congrès scientifique.
Bonjour Myoper.
Votre pseudo me fait sourire.
Alors, cette fumée noire, qui suit le déplacement de la dent sur l'écran fluorescent, qu'est-ce, alors ?Ce qui laisse supposer que la quantité de mercure das l'amalgame diminue : ce qui n'a jamais été constaté.
Vous voyez une coupelle contenant du mercure fraîchement versé émettre une fumée de mercure visible sous lumière ultraviolette, le mercure fuit de la coupelle (phénomène de tension de vapeur).
Et là pour la dent ce ne serait pas du mercure qui s'en échapperait ?
Mais quoi d'autre, alors ?
Expliquez-moi votre tour de magie, j'aimerais comprendre.
Une attaque personnelle n'est pas un argument.
Je ne la vois pas pour la bonne raison que la science ne se fait pas sur des vidéos YTubes.
Donc les amalgames disparaitraient. CQFD
C'est vous qui affirmez que le mercure part en fumée mais on constate que les amalgames restent intacts.
Avez vous des liens scientifiques qui comparent la quantité de mercure avant la pose et un an après par exemple ?
Qu'il y ait une certaine diffusion, c'est certain et c'est valable pour énormément de choses.
Pour ce qui est du risque, il suffit de prendre l'exemple du poisson qui peut contenir 1µg/g soit 0.2mg par portion de 200 g, c.a.d. énormément plus que ce que relarguerait un amalgame (consommation quasi quotidienne pour bon nombre de consommateurs bien avant qu'ils soient en âge d'avoir besoin d'un amalgame qui fait un gramme maxi) et pourtant ces consommateurs de poissons ne sont pas sujets à cette maladie.
Je répète aussi que les atteintes neurologiques dues au mercure sont bien connues et n'ont rien à voir avec la MA.
http://www.gov.mb.ca/waterstewardshi...mercury_f1.pdf
Rebonjour,
Il me semble que vous n'avez pas achevé votre phrase avant le lien.
C'est un argument qui est ici ...très personnel, et que je ne partage pas du tout.Je ne la vois pas pour la bonne raison que la science ne se fait pas sur des vidéos YTubes.
Vous y placez le terme "la bonne raison", que je ne corrèle à rien de tangible. Tout peut être vecteur de sciences : revues à comité de lecture, journaux, CD/DVD/TV, cinéma, expositions, et aussi Internet. Il n'y a pas de "canal ignoble", ça se saurait. Même TF1 fait de la science. Bon, pas beaucoup.
Vous avez une drôle de vision de la science. Mais passons.
Permettez-moi de vous rappeler ce qu'est un amalgame.Donc les amalgames disparaitraient. CQFD
Un amalgame est une solution à eutectiques, ici métalliques. Solution qui dans ce cas précis permet de lier différents métaux entre eux par l'emploi d'un métal à bas point de fusion, qui va servir de liant. Le mercure étant liquide à température ambiante et capable de dissoudre nombre de métaux (aluminium d'où l'interdiction de transporter du mercure par avion), l'or des orpailleurs, mais aussi ici l'argent, et le complexe cuivre, zinc et étain (liste non limitative).
Ici, dans ma bouche, l'amalgame ne disparaît pas puisque la matrice "inerte" formée d'argent majoritaire, et d'additions volontaires de Cu, Sn et Zn reste stable chimiquement et géométriquement. Et reste donc dans la dent.
Seule une partie du mercure se vaporise, et se vaporise d'autant plus qu'on chauffe l'amalgame (e.g. le café chaud) ou qu'on l'abrase ou le polit (la gomme à crayon).
Donc l'amalgame voit sa teneur en mercure diminuer avec le temps, il doit logiquement s'ensuivre une redistribution du volume occupé par l'amalgame "neuf" (phénomène de retrait, très fréquent en fonderie par exemple) et une perte de malléabilité, d'autant plus préjudiciable que l'interstice ainsi offert est la porte d'entrée idéale vis-à-vis des agents pathogènes qui vont poursuivre le travail de sape initial.
La plupart des dentistes que j'ai rencontré me proposent un retrait sans protection pour moi (au niveau du transit intestinal) et me conseillent de garder mes amalgames. Le retrait se fait à la roulette et libère des quantités considérables de mercure.
C'est pourquoi un protocole strict a été mis en place par certains dentistes américains et canadiens, par l'usage d'une digue en caoutchouc à usage unique, permettant l'aspersion de la dent sous eau pour limiter la vaporisation du mercure contenu : ############################## ##
C'est un protocole qui se tient d'un point de vue de la limitation de l'exposition pour les deux parties (patient et praticien).
Quoi qu'il en soit, dose faible ou pas, il est choquant que le mercure puisse ainsi se trouver dans notre bouche, nous exposant à inhaler des vapeurs pourvues de particules très fines, pas sous forme colloïdale, mais plutôt sous forme quasi-nanométriques. C'est donc un empoisonnement du sang et des poumons qui s'ensuit, à faible doses, mais à dose ultra-dispersée. Et les poissons au mercure, je ne suis pas sûr que ce mercure là soit à ce point bio-disponible.
Dois-je rappeler que les poumons ont une surface d'échange air/sang énorme (plusieurs centaines de m², avec une structure fractale impossible à déterminer puisque tendant vers l'infini), et qu'ils font office de piège à polluants, qui finiront tôt ou tard à passer dans la circulation générale ?
Ce point là, l'ultra-dispersion, permet de faire énormément de dégâts. A dose égale avec un macro-polluant.
Et le sang finit bien par alimenter le cerveau et de passer de la mère à l'enfant.
Le mercure est un neurotoxique. Se faire dépolluer et s'interdire d'employer du mercure dans l'art dentaire devrait être la règle. Il y a d'autres moyens pour soigner des caries.
Les malades de Minamata (Japon) ont développé des symptômes proches de Parkinson, avec une intoxication aigue due aux activités de l'usine pétrochimique Chisso Corporation.
Vous n'aimez pas YouTube, c'est bien dommage. En attendant, je pense qu'il y aura des lecteurs qui seront surpris de voir la similitude des syndromes Parkinsoniens à 1 minute et 09 secondes :###########################
Après, on peut toujours discuter des doses.
Mais les minous qui ont mangé du poisson pêché au large de Minamata, ils n'en ont pas mangé des décakilogrammes avant de déclencher des effets en tout point similaires à nombre de gens !
Il y a donc un lien entre les intoxications aiguës et rapides, et celles où des doses plus faibles mais chroniques de mercure ont été "ingérées".
A partir du moment où il y a diffusion, le mercure s'accumule dans les zones d'échouage, par randomisation au départ, puis par bio-compatibilité. Une fois que les tissus ont été atteints pour la première fois, le cycle se répète indéfiniment, ad vitam aeternam. On a donc des dégâts qui augmentent avec le temps, le neurone d'escargot ne met pas 10 ans à se détruire, la dégénérescence est ici rapide, et à effets croissants.
Exactement comme beaucoup de maladies neurodégénératives qui occupent tant de gens dans cette partie du serveur.
Certains régimes alimentaires, certains polluants à effet synergiques ou certains désordres métaboliques pourraient (je ne suis pas médecin) provoquer une complexion du mercure, pour le rendre encore plus bio-disponible, d'un individu à l'autre.
Mais avoir du mercure en soi et se faire entendre dire qu'il n'y a pas de risque, c'est criminel au vus des effets et preuves précités.
N'en déplaise de votre crédit accordé à YouTube et consorts.
Meilleures salutations et vive les amalgames en résine.
Et les dents bien brossées et organisées.
NOn on n'aime pas youtube comme preuve scientifique sur ce forum, et je ne laisserai pas vos liens en place. Tenez-vous le pour dit.
Dernière modification par mh34 ; 29/08/2011 à 07h17. Motif: effacement de liens
Bonjour Myoper,
N'auriez-vous pas oublié une phrase ?
La maladie d’Alzheimer est souvent nommée MA, une fois le sujet posé.
Justement ça se sait et c'est précisément la raison pour laquelle je vous ai cité un article de la charte et qu'aucun scientifique ne prendra ses références sur les médias que vous citez (sauf revues a comité de lectures qui sont, elles, bien "étiquetées" comme scientifiques).Vous y placez le terme "la bonne raison", que je ne corrèle à rien de tangible. Tout peut être vecteur de sciences : revues à comité de lecture, journaux, CD/DVD/TV, cinéma, expositions, et aussi Internet. Il n'y a pas de "canal ignoble", ça se saurait. Même TF1 fait de la science. Bon, pas beaucoup.
N'importe qui peut faire des vidéos et y raconter n'importe quoi : ce n'est pas une drôle d'idée de la science mais l'idée qu'en ont tous les scientifiques.Vous avez une drôle de vision de la science. Mais passons.
D'une part, il faudrait prouver que le mercure de l'amalgame qui est stable se vaporise à la température "du café chaud" (ou à peu près) ou que cet amalgame est sensible à l'abrasion (un peu con quand on le met exprès pour réparer des dents).Ici, dans ma bouche, l'amalgame ne disparaît pas puisque la matrice "inerte" formée d'argent majoritaire, et d'additions volontaires de Cu, Sn et Zn reste stable chimiquement et géométriquement. Et reste donc dans la dent.
Seule une partie du mercure se vaporise, et se vaporise d'autant plus qu'on chauffe l'amalgame (e.g. le café chaud) ou qu'on l'abrase ou le polit (la gomme à crayon).
Et enfin, si le mercure disparait, pourquoi les dentistes sont ils forcés de récupérer le mercure des amalgames enlevés ?
Mais si cette quantité est tellement négligeable qu'elle n'est pas calculable, ce raisonnement ne tient pas (une bouche n'est pas une fonderie (ça, c'est un amalgame).Donc l'amalgame voit sa teneur en mercure diminuer avec le temps, il doit logiquement s'ensuivre une redistribution du volume occupé par l'amalgame "neuf" (phénomène de retrait, très fréquent en fonderie par exemple) et une perte de malléabilité, d'autant plus préjudiciable que l'interstice ainsi offert est la porte d'entrée idéale vis-à-vis des agents pathogènes qui vont poursuivre le travail de sape initial.
Vous n'avez strictement aucune étude scientifiquement validée qui permettrait de montrer cette valeur, alors tout ce que vous pourrez brosser à partir de la sera un délire qui vous sera personnel.
Il existe des protections qui ont été inventée lais interdites car bien plus dangereuse qu'un amalgame, même totalement inhalé et/ou avalé mais peut être existe t'il des moyens de limiter cet effet (en passant, on ne remarque pas plus de maladies neurologiques chez les dentistes que parmi la population - pourquoi ?).La plupart des dentistes que j'ai rencontré me proposent un retrait sans protection pour moi (au niveau du transit intestinal) et me conseillent de garder mes amalgames. Le retrait se fait à la roulette et libère des quantités considérables de mercure.
Jugement de valeur : considérable ne veut absolument rien dire tant que vous n'avez pas une référence scientifique de la dite quantité (et pas une vidéo que je pourrais faire moi même et y raconter ce que je veux).
Je trouve ça choquant aussi mais absolument rien ne prouve qu'il y ait empoisonnement (l’inhalation d'une substance toxique ne suffit pas, il faut aussi qu'il y ait effet toxique et jusque la, rien ne le prouve).Quoi qu'il en soit, dose faible ou pas, il est choquant que le mercure puisse ainsi se trouver dans notre bouche, nous exposant à inhaler des vapeurs pourvues de particules très fines, pas sous forme colloïdale, mais plutôt sous forme quasi-nanométriques. C'est donc un empoisonnement du sang et des poumons qui s'ensuit, à faible doses, mais à dose ultra-dispersée.
En passant, avant de parler de "quasi manométrique", il faudrait que vous puissiez avancer une référence sur la taille effective de ces particules.
Le mercure sous forme d'alliage est ce qu'il y a de moins biodisponible alors que le méthylmercure (forme organique) que l'on trouve dans les poissons est parmi les plus biodisponible.Et les poissons au mercure, je ne suis pas sûr que ce mercure là soit à ce point bio-disponible.
Alors avec le souffre et les autres particules que vous respirez quotidiennement, vous devez être mort.Dois-je rappeler que les poumons ont une surface d'échange air/sang énorme (plusieurs centaines de m², avec une structure fractale impossible à déterminer puisque tendant vers l'infini), et qu'ils font office de piège à polluants, qui finiront tôt ou tard à passer dans la circulation générale ?
Pour qu'il y ait échange, il faut quelque chose a échanger.
Affirmation péremptoire toujours pas démontrée et on observe justement le contraire (aucun dégât).Ce point là, l'ultra-dispersion, permet de faire énormément de dégâts. A dose égale avec un macro-polluant.
Et donc le bébé transporte le mercure de plusieurs générations.Et le sang finit bien par alimenter le cerveau et de passer de la mère à l'enfant.
Vos propos sont tellement simplifiés que c'en est n'importe quoi.
Je suis d'accord mais il n'y a toujours aucun rapport avec la MA.Le mercure est un neurotoxique. Se faire dépolluer et s'interdire d'employer du mercure dans l'art dentaire devrait être la règle. Il y a d'autres moyens pour soigner des caries.
Rien a voir avec la MA et une intoxication aiguë n'a rien a voir avec une intoxication chronique.Les malades de Minamata (Japon) ont développé des symptômes proches de Parkinson, avec une intoxication aigue due aux activités de l'usine pétrochimique Chisso Corporation.
N'importe qui peut faire une intoxication aiguë avec de l'eau ou de l'oxygène, alors on doit les interdire ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Intoxication_par_l%27eau
http://www.webplongee.com/theorie/ac...hyperoxie.html
Ce qui prouve encore une fois que c'est n'importe quoi car il y a des dizaines de syndrômes totalement différents et n'ayant rien à voir avec le parkinson avec des signes cliniques communs (tiens, ce n'est plus la maladie d’Alzheimer, bientôt, les amalgames dentaires seront responsables de toutes les maladies neurologiques).Vous n'aimez pas YouTube, c'est bien dommage. En attendant, je pense qu'il y aura des lecteurs qui seront surpris de voir la similitude des syndromes Parkinsoniens ...
Un lien que Ytube voit et pas les scientifiques ?Après, on peut toujours discuter des doses.
Mais les minous qui ont mangé du poisson pêché au large de Minamata, ils n'en ont pas mangé des décakilogrammes avant de déclencher des effets en tout point similaires à nombre de gens !
Il y a donc un lien entre les intoxications aiguës et rapides, et celles où des doses plus faibles mais chroniques de mercure ont été "ingérées".
Je ne parle pas des cas d'intoxications aiguës ou chroniques avérées avec des doses connues et reconnues comme toxiques mais des amalgames dentaires.
Une part de poisson de 200g peut donner environ 0.1 à 0.2 mg et des gens en mangent tous les jours.
De ce que vous savez, l'amalgame pourrait simplement relarguer que 0.1 mg en tout.
C'est faux : le mercure sous forme d’alliage est le plus facilement éliminé (et presque pas absorbé), de même que certaines formes de mercure organiques (éthyl-mercure des vaccins), d'autres beaucoup moins (méthylmercure trouvés dans les poissons), alors zone d'échouage ou pas (le corps n'est pas un port), l'accumulation n'est pas acquise.A partir du moment où il y a diffusion, le mercure s'accumule dans les zones d'échouage, par randomisation au départ, puis par bio-compatibilité. Une fois que les tissus ont été atteints pour la première fois, le cycle se répète indéfiniment, ad vitam aeternam. On a donc des dégâts qui augmentent avec le temps, le neurone d'escargot ne met pas 10 ans à se détruire, la dégénérescence est ici rapide, et à effets croissants.
Que le mercure s'accumule par randomisation puis biocompatibilité, ça ne veut strictement rien dire en biologie.
D'ailleurs si ce que vous disiez avait le moindre début de réalité, on aurait constaté la corrélation entre amalgames et maladie neurologiques, alors que non seulement il n'y a pas plus de gens avec amalgames parmi ces malades mais il y en a encore plus parmi les gens sain (et de tout âges).
Ça se voit et ni médecins ni biologistes ni chercheurs n'ont trouvé de désordre métabolique causé par ce genre d'association qui faciliterait l’accumulation du mercure.Certains régimes alimentaires, certains polluants à effet synergiques ou certains désordres métaboliques pourraient (je ne suis pas médecin) provoquer une complexion du mercure, pour le rendre encore plus bio-disponible, d'un individu à l'autre.
Ce n'est donc pas un argument.
Vous avez juste dit ce que tout le monde sait, c'est à dire que le mercure est toxique puis vous avez fait un amalgame avec les amalgames dentaires.Mais avoir du mercure en soi et se faire entendre dire qu'il n'y a pas de risque, c'est criminel au vus des effets et preuves précités.
N'en déplaise de votre crédit accordé à YouTube et consorts.
Alors en appliquant ce raisonnement et comme j'ai apporté la preuve que l'eau et l'oxygène peuvent être toxiques, il est criminel de dire au gens de respirer ou bien de boire de l'eau.
Surtout avec l'argument massue de la surface d'échange des poumons !
Eh bien.
Donc, en résumé, c'est à moi, personne lambda et pas du métier, qui se trimballe quelque chose comme 5 grammes nominal de cette merde, d'aborder et d'apporter ici les preuves de ce que j'avance, et de produire un rapport de synthèse (si possible préalablement accepté par le comité de Nature) pour que vous soyez -enfin- satisfait de la démarche ?
On est sur Futura-Sciences ou à l'académie Nobel ?
Honnêtement, au vu des fils croisés ça et là, je ne vois pas beaucoup d'autres utilisateurs aller recopier les bibliographies et user de la translation d'articles en langue anglaise.
Je trouve vos réponses très ...déroutantes.
Donc l'amalgame perdrait effectivement du mercure, mais on ne connaît pas la nocivité des doses reçues ni la dynamique de perte de masse en mercure, auquel il faut ajouter le régime alimentaire et l'éventuelle malocclusion et les problèmes de stress éventuels (bruxisme).
Vous vous esclaffez devant mes dires : "Et le sang finit bien par alimenter le cerveau et de passer de la mère à l'enfant. ", vous me répondez :
Je requiers juste votre bonne foi, inhérente à toute démarche scientifique. Vous me faites dire ce que je n'ai jamais dit, de manière implicite ou explicite.Et donc le bébé transporte le mercure de plusieurs générations.
Vos propos sont tellement simplifiés que c'en est n'importe quoi.
Je n'allègue aucunement une transmission du mercure sur plusieurs générations, mais quand on voit l'allure des enfants de Minamata nés aux alentours de 1960, la mère a très clairement transmis son poison : ça passe dans le lait et la barrière placentaire, et surtout le mercure étant aussi un poison des fuseaux, comment voulez-vous ne pas avoir en prime une altération de l'embryogénèse, avec monstruosités et débilité liés ?
La surface d'échange des poumons, c'est un piège immense : si le polluant ne passe pas de suite dans le sang, il peut se dégrader et prendre son temps pour y passer tôt ou tard. Les fumeurs savent bien de quoi il en retourne.
Je n'ai pas trouvé de littérature anglaise portant sur la taille des particules de mercure gazeux. Mais j'ai trouvé autre chose d'intéressant. Et je suis là pour apprendre.
Pourquoi Chisso l'a utilisé comme catalyseur, l'oxyde de mercure ?
C'est bien pratique, il se fractionne tout seul. Et en plus, c'est par voie liquide. Et il attaque pas le fer.
C'est pas le cas du nickel, qu'il faut bidouiller pour avoir du nickel de Raney, et qui a d'autres contraintes d'usage.
Par contre, la nature même du processus digestif conduit à ce que le mercure ingéré "ne fera que passer", de plus, la trituration des aliments et leur nature (fibres par exemple) va limiter les conséquences en termes d'échanges.
Pour ce qui est des poumons, "le sac de l'aspirateur" ne se changera pas. Et quelqu'un qui respire les émanations de ses propres dents "soignées", eh bien il est condamné à avoir ses vapeurs intégrées dans le corps avec une déperdition "minimale" (l'air expiré).
Vous qui aimez tant les bibliographies, permettez-moi d'en citer une qui tombe fort-à-propos :
"In 2002, Maths Berlin, Professor Emeritus of Environmental Medicine and chair of the 1991 World Health Organization Task Group on Environmental Health Criteria for Inorganic Mercury, published an overview and assessment of the scientific literature published between November 1997 and 2002 as part of a special investigation for the Swedish Government on amalgam related health issues. The report concluded: "With reference to the fact that mercury is a multipotent toxin with effects on several levels of the biochemical dynamics of the cell, amalgam must be considered to be an unsuitable material for dental restoration.""
Je crois que tout est dit sur la dangerosité des amalgames au mercure.
Concernant la taille nanométrique des émissions gazeuse de mercure, je ne me suis pas trompé, je pense.
Un article consultable ici : http://www.aseanenvironment.info/Abstract/41017289.pdf
Démontre que l'usage de sélénium nanométrique déstabilisé (mais avec quoi ?) est l'absorbant le plus efficace pour les vapeurs de mercure issue d'une lampe fluo-compacte brisée (CFL en anglais).
Tiens donc.
Madame Michu n'est pas prête de décontaminer son appartement avec du sélénium ultra-divisé. Je passe sur les hauts niveaux de pollution persistante au mercure mesuré dans l'air après la casse de l'ampoule, cité dans l'article. Ca fait froid dans le dos.
Je sais pas pourquoi, mais les ampoules à basse consommation coûtent sacrément cher en dépollution. Autant passer en LEDs, en plus ça ne craint pas les chocs et c'est plus efficace et durable encore.
Extrait (page 5/7) : "The most effective sorbent is unstabilized nano-Se,
which can capture the contents of a CFL with amounts less
than 10 mg. This capacity corresponds to about five monolayer
equivalents indicating significant subsurface penetration
of mercury into selenium nanoparticles (unlike the other
sorbents). The capacity is still only about 7% of the bulk
stoichiometric conversion to HgSe, however, indicating the
potential for further capacity improvement by sorbent
optimization; (...)
Par ailleurs, le même article fait état de choses désagréables à lire.
En première page, en cas de bris d'une fluo-compacte :
"Carpet vacuuming can release Hg vapor when large gas volumes are
forced across the Hg-containing dust cake in the vacuum
cleaner internal filter. If not removed, spilled Hg liquid will
continue to release vapor over time and can spread to other
sites through foot traffic. Most consumer information on
CFLs claim there is no significant health risk from small
numbers of broken lamps, and indeed, since the 1960s,
examples of Hg poisoning from all sources have become
rare (6). There is one report of Hg poisoning (acrodynia) in
a child exposed to broken tube-type fluorescents in a detailed
case study presented by Tunnessen et al. (6). Overall, there
is significant motivation to improve our management of Hg
exposures caused by accidental breakage of fluorescent
lamps.
2. Release of Hg to the environment at end of lamp life. The
main route of human exposure to mercury is through
environmental release followed by bacterial methylation,
bioaccumulation in aquatic food webs, and fish consumption
(7). Methyl-Hg is listed by the International Program of
Chemical Safety as one of the most dangerous chemicals in
the environment (8, 9), and one in twelve women of
childbearing age are reported to have blood mercury levels
above the EPA reference dose (10). Methyl-Hg not only crosses
the human placenta but also accumulates at higher concentrations
on the fetal side than on the maternal and crosses
the blood-brain barrier, where it is retained (9, 11).
"Where it is retained" : dans le cerveau, je tiens à préciser.
Et la méthylation du mercure peut se faire de bien des façons, en extra-corporel ou en intra.
Donc je persiste à croire que des amalgames qui échappent un brouillard de mercure ultra-divisé, ça craint question santé. Et je suis légitimement inquiet à propos de ce qu'on m'a foutu dans la tronche, en 5 exemplaires.
Votre dernier raisonnement me fait penser à l'argumentaire des pro-nucléaires qui nous disent : "Une centrale nucléaire c'est dangereux et ça peut tuer. Oh oui. Un marteau aussi. Alors, faut t'il interdire les marteaux ?"
L'eau et l'oxygène, c'est vital pour les organismes vivants. Je doute qu'il en soit de même pour le mercure, vous m'excuserez.
Au plaisir de vous lire.
Juste une question ; nous sommes sur un fil qui traite de l'aLZHEIMER, n'est-ce pas?
Alors moi je voudrais savoir ; existe-t-il des études apportant des preuves solides ( selon ces exigences de niveau de preuve en médecine : http://acces.inrp.fr/acces/ressource.../niveau_preuve ) comme quoi les amalgames au mercure ont un effet sur l'apparition de cette maladie?
"Музыки хватает на всю жизнь, но целой жизни не хватает для музыки"
Rachmaninoff
C'est a celui qui fait une affirmation de la prouver, surtout si elle va à l'encontre de ce qui est scientifiquement reconnu.Eh bien.
Donc, en résumé, c'est à moi, personne lambda et pas du métier, qui se trimballe quelque chose comme 5 grammes nominal de cette merde, d'aborder et d'apporter ici les preuves de ce que j'avance, et de produire un rapport de synthèse (si possible préalablement accepté par le comité de Nature) pour que vous soyez -enfin- satisfait de la démarche ?
Que vous trimbaliez 5 grammes ou 5 tonnes ne rendra pas vos propos vrai pour autant (au contraire, même, selon vos affirmations).
Il suffit pourtant de copier / coller un lien vers des références scientifiquement reconnues.On est sur Futura-Sciences ou à l'académie Nobel ?
Honnêtement, au vu des fils croisés ça et là, je ne vois pas beaucoup d'autres utilisateurs aller recopier les bibliographies et user de la translation d'articles en langue anglaise.
Je trouve vos réponses très ...déroutantes.
Rien de déroutant à ce qu'un forum scientifique limite les affirmations sans fondement.
J'ai juste utilisé votre raisonnement : le mercure se stocke et passe de la mère à l'enfant donc forcément, l'enfant reçoit celui de sa mère et les filles vont transmettre au bébé, en plus du mercure qu'elles auraient pu ingérer.Je requiers juste votre bonne foi, inhérente à toute démarche scientifique. Vous me faites dire ce que je n'ai jamais dit, de manière implicite ou explicite.
C'est pour ça que je dis qu'a force de simplification, vos propos n'ont plus rien à voir avec la réalité et si vous voulez parler des mécanismes physiologiques en jeu, il va falloir faire un effort pour les comprendre avant de pouvoir démontrer quoique ce soit.
Alors d'une part, cette transmission découle directement de votre raisonnement : la transmission (via les filles qui deviendront mère qui auront des filles) ne va pas s’arrêter par magie : il y a transmission, ou pas.Je n'allègue aucunement une transmission du mercure sur plusieurs générations, mais quand on voit l'allure des enfants de Minamata nés aux alentours de 1960, la mère a très clairement transmis son poison : ça passe dans le lait et la barrière placentaire, et surtout le mercure étant aussi un poison des fuseaux, comment voulez-vous ne pas avoir en prime une altération de l'embryogénèse, avec monstruosités et débilité liés ?
D'autre part, ce n'est pas "très clairement" une relation de cause à effet : même si une transmission est parfaitement et largement connue depuis longtemps et certaine dans ce cas, rien ne prouve que ce soit cette transmission plutôt que la longue durée d'exposition au mercure de l'environnement qui soit la cause de cette intoxication, même si on peut supputer qu'a ces doses et ces conditions qui n'ont strictement rien a voir avec des amalgames dentaires, les deux causes soient intriquées.
Et enfin, il s'agit de quantités qui n'ont strictement aucun rapport avec celles qu'on pourrait trouver dans les amalgames dentaires.
Donc cet argument montre que le mercure est dangereux et ça fait tout un tas de messages qu'on vous dit qu'on le sait depuis très longtemps mais ça n'a strictement rien à voir avec les amalgames dentaires : cet argument est hors sujet et inutile.
Encore un amalgame : l'oxygène est toxique (référence que je vous ai donné) donc avec ce piège immense, on sera d'autant plus intoxiqué.La surface d'échange des poumons, c'est un piège immense : si le polluant ne passe pas de suite dans le sang, il peut se dégrader et prendre son temps pour y passer tôt ou tard. Les fumeurs savent bien de quoi il en retourne.
Conseil : arrêtez de respirer.
On a beau vous citer plusieurs fois les mêmes arguments qui invalident vos raisonnements, vous ne cessez de les affirmer ad nauséam en faisant des liens anatomiques et physiologiques sans comprendre de quoi vous parlez ou sans logique.
Les fumeurs savent bien que 5 cigarettes uniques dans leur vie n'auraient eu strictement aucun impact sur leur santé et pourtant elles auraient été fumées entièrement, contrairement à vos amalgames.
Visiblement non : vous répétez les mêmes choses et ignorez les critiques donc soit vous ne les comprenez pas, soit elles ne vous intéressent pas.Et je suis là pour apprendre.
Strictement aucun rapport ni avec le corps humain, ni avec les amalgames dentaires (qui sont en oxyde de mercure maintenant ?).Pourquoi Chisso l'a utilisé comme catalyseur, l'oxyde de mercure ?
C'est bien pratique, il se fractionne tout seul. Et en plus, c'est par voie liquide. Et il attaque pas le fer.
C'est pas le cas du nickel, qu'il faut bidouiller pour avoir du nickel de Raney, et qui a d'autres contraintes d'usage.
Ou alors vous voulez parler de réactions enzymatiques catalysées par le mercure et indispensables à la vie ?
B.A. BA de physiologie digestive mais ça reste toujours très court.Par contre, la nature même du processus digestif conduit à ce que le mercure ingéré "ne fera que passer", de plus, la trituration des aliments et leur nature (fibres par exemple) va limiter les conséquences en termes d'échanges.
Le sac de l'aspirateur n'est pas inerte, il existe des systèmes épurateurs (immunitaires et mécaniques) et si une absorption a bien été mise en évidence à ce niveau rien ne dit qu'elle soit suffisante pour provoquer le moindre problème.Pour ce qui est des poumons, "le sac de l'aspirateur" ne se changera pas. Et quelqu'un qui respire les émanations de ses propres dents "soignées", eh bien il est condamné à avoir ses vapeurs intégrées dans le corps avec une déperdition "minimale" (l'air expiré).
Ni qu'un amalgame puisse apporter du mercure à ce niveau.
Ensuite il faudrait que celui-ci soit sous forme absorbable : quel que soit la taille de 'échangeur.
Encore un raisonnement illogique et fallacieux : il est constaté que le mercure est un polluant dangereux et comme les amalgames en contiennent, il est supprimé par précaution et c'est tout car strictement aucun lien de cause à effet n'a été fait.Vous qui aimez tant les bibliographies, permettez-moi d'en citer une qui tombe fort-à-propos :
"In 2002, Maths Berlin, Professor [...] amalgam must be considered to be an unsuitable material for dental restoration."[/B]"
Je crois que tout est dit sur la dangerosité des amalgames au mercure.
Autant je suis d'accord pour prendre cette précaution et interdire les amalgames, autant il ne faut pas raconter n'importe quoi et affirmer que le mercure des amalgames se dégage en quantité suffisante pour provoquer un problème surtout que ça n'a jamais été constaté.
Vous qui êtes la pour apprendre, vous pouvez vous demander par quel miracle (encore), les porteurs d'amalgames ne sont pas plus malades que les non porteurs (mis à part le problème qui a causé la carie et la carie elle-même).
J'attends de pouvoir lire l'article car acrobat plante en l'ouvrant mais je vous lit je ne vois pas le rapport entre les lampes fluo-compactes et les amalgames dentaires à moins que ce soit des lampes que vous ayez dans la bouche ?Concernant la taille nanométrique des émissions gazeuse de mercure, je ne me suis pas trompé, je pense.
Un article consultable ici : http://www.aseanenvironment.info/Abstract/41017289.pdf
Démontre que l'usage de sélénium nanométrique déstabilisé (mais avec quoi ?) est l'absorbant le plus efficace pour les vapeurs de mercure issue d'une lampe fluo-compacte brisée (CFL en anglais).
Tiens donc.
Je ne vois pas non plus de rapport de cause à effet avec quoique ce soit et encore moins les amalgames dentaires et la MA.
Quel rapport entre cette lampe et votre amalgame ?Madame Michu n'est pas prête de décontaminer son appartement avec du sélénium ultra-divisé. Je passe sur les hauts niveaux de pollution persistante au mercure mesuré dans l'air après la casse de l'ampoule, cité dans l'article. Ca fait froid dans le dos.
Je sais pas pourquoi, mais les ampoules à basse consommation coûtent sacrément cher en dépollution. Autant passer en LEDs, en plus ça ne craint pas les chocs et c'est plus efficace et durable encore.
Vous voulez qu'on vous implante des LED, demandez à votre dentiste.
Il y a du mercure dedans, certes, il y en a dans plein d'aliments aussi.
Quel rapport avec le sélénium ?
Quel rapport avec le sujet ?
Même réponse.Extrait (page 5/7) : "[B]The most effective [...]sorbent
optimization; (...)
Décidément, des lampes, des aspirateurs mais strictement aucun rapport avec les amalgames dentaires et encore moins avec la MA !Par ailleurs, le même article fait état de choses désagréables à lire.
En première page, en cas de bris d'une fluo-compacte :
"[B]Carpet [...] fluorescent
lamps.
Idem, aucun rapport avec le sujet.... lamp life. ... where it is retained (9, 11).
"Where it is retained" : dans le cerveau, je tiens à préciser.
Que le mercure, sous certaines formes (éthylmercure et à un moindre titre, méthylmercure) passent la BHE de l'enfant avant 6 mois est connu, ce qui ne signifie pas que du mercure va passer et certainement pas à causes des amalgames du bébé (en effet, on met rarement d'amalgames à cet âge).
Qu'il puisse passer dans une certaine mesure, pourquoi pas mais ça ne prouve pas que les amalgames dentaires relargent du mercure, que cellui-ci serait disponible, puis qu'il s'accumulerait, puis qu'il aurait un effet nocif ...
Désagréable a lire.
Ce qui ne veut pas dire qu'elle va se faire ou même qu'elle peut se faire.Et la méthylation du mercure peut se faire de bien des façons, en extra-corporel ou en intra.
Oui, vous pouvez croire ce que vous voulez et ça reste bien une croyance : moi, je crois aux petits hommes vert, à la magie, à l'astrologie et à la télékinésie.Donc je persiste à croire que des amalgames qui échappent un brouillard de mercure ultra-divisé, ça craint question santé.
Inquiet, oui mais légitimement, non puisque cette inquiétude se base sur une croyance infondée : on ne vous a pas implanté une usine ni des ampoules fluocompactes ni aucun des exemples que vous avez cité.Et je suis légitimement inquiet à propos de ce qu'on m'a foutu dans la tronche, en 5 exemplaires.
Oui une centrale peut tuer et des centrales nucléaire aussi : tout peut tuer.Votre dernier raisonnement me fait penser à l'argumentaire des pro-nucléaires qui nous disent : "Une centrale nucléaire c'est dangereux et ça peut tuer. Oh oui. Un marteau aussi. Alors, faut t'il interdire les marteaux ?"
N'importe qui pourra vous le dire, pro, anti ou raisonné mais non seulement ça n'a rien a voir avec le sujet mais, faute d'argument, vous essayez de m'associer à une certaine catégorie de gens fallacieusement sur un raisonnement qui est par ailleurs, vrai et est directement basé sur le votre.
Et alors ?L'eau et l'oxygène, c'est vital pour les organismes vivants. Je doute qu'il en soit de même pour le mercure, vous m'excuserez.
Ça ne rend pas vos amalgames, tels qu'ils sont, toxiques, vous m'excuserez mais "indispensable à la vie" ou pas n'a aucun rapport: je parle de risques, pas de bénéfice, comme vous puisque c'est ce qui est cherché a être estimé et comaré (encore une erreur de logique).
C'est basé sur votre raisonnement : le mercure est dangereux, j'en ai dans la bouche donc je vais tomber malade (plus de risques).
L'oxygène est dangereuse, j'en respire donc je vais tomber malade (d'autant que dans ce cas, je suis certain que l'énorme surface d'échange pulmonaire va servir contrairement à votre amalgame).
Et enfin, le mercure est bien un oligo élément indispensable à la vie.
Alors vous allez me reprendre sur les quantités et je vais vous répondre qu'en ces termes, l'eau et l'oxygène sont "consommées" en quantité également plus importante puisque vous n'aurez toujours fait aucun lien entre vos amalgames et une quelconque intoxication et encore moins la MA.
Donc que le mercure soit "dangereux", c'est certain, qu'une quantité de mercure provenant des amalgames dentaires, c'est probable mais que cette quantité puisse provoquer un quelconque problème, ce n'est pas démontré.
Pour autant qu'on le sache, cette quantité pourrait tout aussi bien être bénéfique ou totalement négligeable dans le cadre de l'accumulation de différentes sources.
La prudence conduit à désapprouver ce produit dans les amalgames, ce qui ne signifie pas qu'il y ait le moindre risque démontré avec.
Et on sait que les porteurs d'amalgames ne sont pas plus atteints de la MA que les autres, ni d'aucune maladie d'ailleurs : c'est difficile à comprendre pour quelqu’un qui veut apprendre ?
Eh bien soit.
Vous m'avez convaincu. Les causes sont donc ailleurs.
La bonne nouvelle dans tout ça, c'est qu'on devrait finir par savoir quelles sont les causes de la maladie d’Alzheimer, 110 ans après la découverte de cette maladie qui ruine des familles entières.
Ce que j'espère, c'est qu'un jour on pourra lutter contre la dissémination de cette maladie une fois que l'étiologie aura été cernée; j'espère qu'on ne sera pas impuissants ce jour-là. Le fait qu'elle n'ait jamais été décrite par les anciens (et ils en ont remarqué, des choses) plaide pour un facteur déclenchant "récent".
En tout cas, ce qui découle de cette intéressante lecture, c'est que le principe de précaution doit s'appliquer et qu'il est préférable de se faire dépolluer, par principe de précaution. Et qu'il est préférable d'arrêter de disséminer du mercure en masse dans notre environnement, par une posture individuelle : l'usage du charbon, la présence de munitions de guerre (fulminate) dans les sols, les phytosanitaires, les agents de conservation des récoltes et les vieux remèdes dangereux (calomel, mercurochrome), ces applications électriques et électroniques qui embarquent des petites quantités très dispersables : tirons les leçons du passé pour préserver l'avenir. Le mercure nous nuit plus qu'il ne nous sert.
Bien à vous tous.
Le problème étant qu'il y a pas mal de maladies et la MA en particulier dont aucune cause précise n'est trouvée et il se pourrait bien que la cause soit multifactorielle mais ce qui est certain, c'est qu'elle est liée au vieillissement et outre qu'avant, elle n'était pas décrite car elle n'avait pas de cadre nosologique précis (démence) donc pas descriptible par définition mais aussi que l'espérance de vie plus faible n'en permettait pas le développement.Vous m'avez convaincu. Les causes sont donc ailleurs.
La bonne nouvelle dans tout ça, c'est qu'on devrait finir par savoir quelles sont les causes de la maladie d’Alzheimer, 110 ans après la découverte de cette maladie qui ruine des familles entières.
Ce que j'espère, c'est qu'un jour on pourra lutter contre la dissémination de cette maladie une fois que l'étiologie aura été cernée; j'espère qu'on ne sera pas impuissants ce jour-là. Le fait qu'elle n'ait jamais été décrite par les anciens (et ils en ont remarqué, des choses) plaide pour un facteur déclenchant "récent".
Je ne suis pas d'accord avec cette formulation (mais ici, ça n'engage que moi).En tout cas, ce qui découle de cette intéressante lecture, c'est que le principe de précaution doit s'appliquer et qu'il est préférable de se faire dépolluer, par principe de précaution.
En effet, toute pollution présente un risque et une dépollution s'impose par simple précaution ou même simple bon sens (avec les informations disponibles) et faire intervenir un principe ne permet que de complexifier les choses.
Tout à fait d'accord et ces doses cumulées pourraient ou peuvent peut être dans certains cas être plus problématiques que les amalgames portés qu'il faudrait (puisqu'il existerait des alternatives) faire disparaitre, surtout pour éliminer la filière.Et qu'il est préférable d'arrêter de disséminer du mercure en masse dans notre environnement, par une posture individuelle : l'usage du charbon, la présence de munitions de guerre (fulminate) dans les sols, les phytosanitaires, les agents de conservation des récoltes et les vieux remèdes dangereux (calomel, mercurochrome), ces applications électriques et électroniques qui embarquent des petites quantités très dispersables : tirons les leçons du passé pour préserver l'avenir. Le mercure nous nuit plus qu'il ne nous sert.
C'est petit à petit ce qui est fait, on ne trouve plus de thermomètre au mercure (source non négligeable de dispersion de mercure auparavant), le mercurochrome est n'est plus commercialisé en France depuis 2006 par exemple.Et qu'il est préférable d'arrêter de disséminer du mercure en masse dans notre environnement, par une posture individuelle : l'usage du charbon, la présence de munitions de guerre (fulminate) dans les sols, les phytosanitaires, les agents de conservation des récoltes et les vieux remèdes dangereux (calomel, mercurochrome), ces applications électriques et électroniques qui embarquent des petites quantités très dispersables : tirons les leçons du passé pour préserver l'avenir. Le mercure nous nuit plus qu'il ne nous sert.
Dernière modification par erik ; 29/08/2011 à 14h22.
Bonsoir,
Voici le lien d'une revue (Coordination chemistry review) qui peut être vous éclairera au sujet du rôle des métaux dans l'étiologie de la maladie d'Alzeihmer... Bonne lecture!
http://www.sciencedirect.com/science...8545/256/19-20
Bonjour ,
J'ai essayé une recherche sur google ,pour essayer de savoir si des personnes deja tres inteligentes ou des personnes mentalement deficientes pourrais bénéficier
des greffes de neurones ,et cela rendrait-il forcément plus intéligent ?
Aurriez vous un article la dessus .
Non merci ,je ne souhaite pas en bénéficier .....
Et est-ce qu'il n'y aurait pas un éventuel problème multifactoriel ? Comme une mauvaise élimination de l'aluminium de la nourriture selon l'exposition à certaines ondes ? Je suis toujours étonnés de voir des débats avec conflits entre partisans de telle ou telle hypothèse et non pas un mélange du tout ?!?
J'ai vachement appris grâce à internet. Tout ces livres qu'on trouve dans les poubelles
Désolé , mais la greffe de neurones, c'est pas pour demain !Et est-ce qu'il n'y aurait pas un éventuel problème multifactoriel ? Comme une mauvaise élimination de l'aluminium de la nourriture selon l'exposition à certaines ondes ? Je suis toujours étonnés de voir des débats avec conflits entre partisans de telle ou telle hypothèse et non pas un mélange du tout ?!?
Je sais..y a des besoins !
je suis toujours étonné que tu reviennes sampiternellement avec tes problémes...d'ondes!
A+
C'est pas non plus obligé d'être méprisant pour autant. Une bonne démarche consiste à explorer d'où vient la crainte, expliquer, rassurer. Même s'il y a persistance, de tels propos (les vôtres) ne font que pousser la personne à se renfermer dans ses propres convictions, ça ne donne pas envie de s'ouvrir à l'opinion des autres, et c'est pas de ça dont on a besoin en ce moment.
Pour Da23real, l'hypothèse de l'aluminium a déjà été envisagé. Les causes de l'alzheimer sont fortement discutées, et il y a encore beaucoup d'exploration à faire à ce niveau. Plusieurs cibles sont incriminées, tels que des métaux lourds, des pesticides, etc..., mais les ondes n'ont pas vraiment été mises en cause à ma connaissance.
Surtout que la maladie a été décrite pour la première fois en 1906, et à l'époque le nombre de téléphones portables, d'antennes relai et de micro-ondes était relativement faible. De même je vois peu d'exposition fréquente à l'aluminium au début du XXième siècle (y en avait peut être mais j'en vois pas).mais les ondes n'ont pas vraiment été mises en cause à ma connaissance
Bjr à toi,
Connais tu toutes les interventions du sieur en question ?
Il est coutumié à répétition du fait .
Il y a de sa part une fixette récurrente et à répétition sur les ondes.
Malgré moultes explications, il revient souvent à la charge avec ces idées fixes.
Sur ce..bon WE
Dernière modification par f6bes ; 11/08/2018 à 09h32.