Peut-on traduire un volume en surface ?
On sait par exemple que 1m3 de gravier couvrira telle surface en fonction de l'épaisseur de la couche (mais ça reste quand même un volume, au minimum celui de chaque gravier, qui a simplement changé de forme).
Mais en théorie, s'il s'agit de simples points mathématiques qui par définitions sont nuls, qu'en est-il ?
Quand on veut recouvrir une surface, on s'en fiche de l'epaisseur, d'ou du volume (En théorie). L'utilisation du volume, ou de la surface est un choix, et les deux aussi est un autre choix, tout dépend de notre fin.
OK , merci pour le point de vue théorique.
Je voudrais ajouter quelque chose, ton exemple de gravier n'est pas très mathématique, car sauf avis contraire, en maths les volumes sont vides de l'intérieur. Mais en réalité, du point de vue pratique, pour recouvrir une surface, bien sur il faut tenir compte de l'epaisseur, et là on ne calcule que les volumes.
Exemple du point de vue théorique : Le papier cadeau. (l'epaisseur peut être considérée nulle, et là on revient à calculer que la surface)
ok, merci pour le complément. Je suis loin d'être matheux et j'avoue que je ne comprends bien que les analogies de vulgarisation. Ce qui n'est bien sûr pas toujours possible.
