Travail sur les nombres premiers
Par
MARTINEZ Maxime
Ceci est le résultat d’une longue étude sur les nombres premiers.
Note dans cette étude il sera considéré 2 et 3 comme nombres premiers ne respectant pas automatiquement les règles suivantes. On ne traitera que les nombres entiers et positifs
1.Les nombres premiers sont tous situés au voisinage d’un multiple de 6?
Etude pour i allant de 1 à 13
Les multiples de 2 sont
(2) ; 4 ; 6 ; 8 ; 10 ; 12
Les multiples de 3 sont
(3) ; 6 ; 9 ; 12
On peu constater que 6 et 12 sont des multiples commun à 2 et 3
Idem on peut constater que les nombres se situant entre ces deux nombres (6 et 12) forme une suite (8 ; 9 ; 10)
Les nombres 6 et 12 sont à l’inverse « isolé ».
Dans cette étude on peut donc constater que les seules possibilités d’avoir un nombre premier sont au voisinage de 6 et 12 !
De même les nombres 2 et 3 forme une sorte de cycle dans ce sens que cette constatation ce reproduit à l’infini de période 2*3 (6).
Ce qui signifie que si l’on prend un nombre isolé (par exemple x) et qu’on lui ajoute un nombre entier positif quelqu’il soit (exemple n) multiplié par la période (ici 6) on retrouvera un nombre isolé.
Si x isolé => x+6n sera isolé
Il en est de même pour tous les autres nombres.
Si x est le centre de la suite de forme y ; y+1 ; y+2 => x+6n sera aussi le centre de la suite de la même forme et qui aura pour valeur y+6n ; y+1+6n ; y+2+6n
On peut donc affirmer que les nombres premiers se situent tous au voisinage des multiples de 6.
Ceci confirme les principes sur les nombres premiers jumeaux car les deux voisins d’un multiple de 6 sont obligatoirement distant de 2 l’un de l’autre.
2.Le placement des nombres premier
La question est : sont t’il placé de manière aléatoire?
Dans le 1. on a put constaté que les nombres premiers se situent tous au voisinage des multiples de 6.
Mais tous les nombres situés au voisinage des multiples de 6 ne sont pas des nombres premiers (ce serait trop facile).
Par exemple : 36 et un multiple de 6 ; 37 et un nombre premier ; mais 35 n’est pas un nombre premier !
Pourquoi cela ?
L’explication est simple : on peut constaté qu’a partir de 25 (le nombre premier 5 au carré) les multiples de 5 viennent régulièrement au voisinage des multiples de 6.
Exemples : 25 pour 24 ou 35 pour 36
Cependant il sont des fois supérieur au multiple de 6, des fois inférieur, des fois égaux ou même encore des fois plus éloigné (comme 42 dont les multiples de 5 les plus proches sont 40 et 45)
De tout cela ressort un cycle de période 6*5 (30). On constate donc comme dans le 1. des « trous » ,qui sont au voisinage des multiples de 6 et qui ne sont pas des multiples de 5, où se situent les nombres premiers.
On étudie donc maintenant un cycle de période 30 plutôt que 6 mais dons certains « trous » sont remplis.
On étudiera donc plutôt par exemple de 30 à 60 avec certains « trous » bouchés par les multiples de 5 que de 6 à 12 avec tous les trous.
Bien sur il évident que maintenant il faut faire de même pour les autres nombre premiers. Par là j’entend que par exemple : à partir du nombre 49 (7 au carré) on constate le même principe que précédemment avec 5, ce qui nous donne un cycle de période 6*7 (42) qui comme précédemment remplit certain trou.
Idem à partir du nombre 121 il faudra rajouter les multiples de 11 auront toujours la même fonction que les multiples de 7 et 5 c.a.d remplir les trous.
Il en est de même pour les autres nombres premiers qui viennent interagir à partir leur carré.
Problème : il est fréquent que par exemple des multiples de 5 correspondent avec des multiples de 7 est que le tout soient au voisinage d’un multiple de 6.
La résolution de ce problème et l’agrandissement de la période du cycle crée. Exemple si l’on veut prendre en compte les multiple de 5 pour l’étude des multiples de 7, la période sera donc de 6*5*7 (210).
De même pour les multiples suivants venants au voisinage des multiples de 6 (c.a.d les multiples de 11) leur cycle aura comme période 6*5*7*11 (2310)
De tout ceci il nous est permit de déterminer la position exact de tous les nombres premiers sans devoir effectuer des calculs fastidieux.
3.Les nombres premier vers l’infini.
La question est : est ce que l’ensemble des nombres premiers à une fin vers l’infini ?
D’après le 1. il existe tous les 6 nombres 2 trous ou seraient potentiellement les nombres premiers.
Après analyse du 2. on peu constater que les périodes analysées sont de plus en plus grandes mais quand contre parti le nombre de possibilités pour les nombres premiers s’amenuisent.
Car pour le 1. on possède un pourcentage de trou par période de 2/6 donc de 33.33…%, mais au fur et à mesure que les autres multiples rentre en compte ce nombre diminue (certes de plus en plus lentement, mais il diminue toujours), ce qui obligatoirement le fera tomber à 0, le nombre premier associé aux dernier multiples rentré en compte sera donc le plus grand nombre premier possible. Par exemple lorsque les multiples de 5 rentre en compte ils le font diminuer de 6.66…% de car ils suppriment 2 trous sur une période de 30, idem pour les multiples de 7 rentre en compte ils le font diminuer de 4.28…% de car ils suppriment 9 trous sur une période de 210.
Ceci demontre que les nombres premiers ne sont pas mis de façon aléatoire mais suivent une règle bien précise qui détermine leur position et de plus ceci demontre que l'ensemble des nombre premier à un fin
donc:
La conjoncture des nombres premiers jumeaux s'explique en raison des voisinages des multiples de 6 mais comme les nombres premiers ont une fin alors les nombres premiers jumeaux en ont une aussi.
De meme pour la conjoncture de goldbach, si les nombres premiers sont finis donc si l'on tend plus vers l'infini on pourra forcement trouver des nombres supérieurs à la somme du plus grand premier.
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