Pour moi l'énoncés existent (comme dans le métaréalisme constitué par l'imagination du mathématicien), mais pas leur sens, pas ce qu'il sont sencés représenté. Notre cerveau fonctionne par analogie : nous avons tendance à pensé que tout à un sens parce que tout ce qui est réél, est porteur d'information.
Cependant s'inscrit dans ma théorie plus vaste : puisqu'on utilise la matière de façon arbitraire pour représenter la réalité (à travers un code etc, le domaine des mathématiques pure) il devient logique en contrepartie, que cette "uniformité" de l'information des choses rééls soient perdu. C'est parce que les symboles ne font que "représenter" les choses que tout les groupes de symbole ne représente pas quelque chose. Bref, je pense que les mathématiques (le sens) existent mais pas toutes les mathématiques.
Néanmoins, c'est toujours intéressant de pouvoir étudier des propositions à priori contradictoire ! Simplement selon moi, chaque "proposition contradictoire" en générale autoréférente, n'est qu'un "noeud", et je pense que ces noeuds ne viennent jamais des choses étudiés (même quand il s'agit de math) mais des rapports qu'entretient l'étudiant avec ses choses..
L'idée même qu'une proposition puisse être autoréférente contredit l'axiomatique implicite qu'implique l'utilisation d'une proposition.
Le language n'est jamais que notre outil. C'est un petit peu comme si vous regardiez un film, et que, en appuyant sur les boutons de la télécommande vous changeriez l'histoire. Vous ne pourriez plus considéré que vous ne faites pas parti du film : ce n'est donc plus le même film que vous étudiez. Mon axiomatique cherche uniquement à formaliser strictement d'entré de jeux la dualité entre espace de proposition..
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