Bonsoir à tous
Voila quelques mois que j’ai eu une relation sexuelle avec une fille rencontrée lors d’une soirée. Durant l’acte sexuel nous nous sommes protégés. Toutefois il y a eu un contact sexuel lors des préliminaires, très rapide, il ne m’a jamais inquiété. Cela dit, deux semaines après la relation, après une soirée en boîte très arrosée, j’ai contracté un reflux acide qui me poursuis encore ce jour bienqu’il se soit atténué... Origine : inconnue!!
Le plus inquiétant c’est qu’au même moment, j’ai également commencé à ressentir une espèce de gêne/inflammation passagère au niveau du penis (urètre et canal éjaculateurs) un peu comme-ci j’avais envie d’uriner. Gêne très brève et qui survenait à divers moments de la journée mais non douloureuse. Aucun écoulement n’a été constaté. Au fil des temps ces gênes ont diminué jusqu’à pratiquement disparaitre pour être remplacée par des espèces de douleurs/brûlures/piqûres, elles aussi très brèves à divers endroits du corps ( bras, main, plat du pied, genou, jambes, orteilles, doigts, crâne). Je précise qu’il ne s’agit ni de douleurs musculaires ni de douleurs aux articulaions. Tout ceci accompagné tantôt de fièvre légère. J’ai fait un dépistage (tout de même 5 mois après la relation sexuelle) qui n’a révélé aucune IST (pas d’hépatite, pas de chlamediae, pas de HIV...) autres analyses sanguines conformes. Tout est Ok, j’ai semble t-il uniquement des globules rouges légères gros mais rien à voir. Toutefois, maintenant que ces douleurs bizards commencent à disparaitre, je ressens de la fatigue et une certaine faiblesse musculaire que j’exprimerai par des chatouilles au niveau des muscles du bras et des jambes et ce depuis deux jours. Je reste convaincu que j’ai été contaminé par mon ancienne partenaire (aucune relation après et la précédente qui remontait à bien 3-4 mois avant s’est déroulée dans les règles de l'art). Que cela peut-il être? Sauriez-vous me renseigner là dessus? merci d'avance
-----





(c'est à peu près le contraire que vous avez écrit au message précédent) car un traitement préventif doit être pris tout le temps et si le mécanisme d'action du crambery est maintenant connu, on n'a pas encore idée des doses à utiliser, ni de leur rythme d'apport, ni des effets secondaires potentiels au long cours, ni des contre-indications, ni même du bénéfice clinique attendu ; il est donc trop tôt pour le présenter comme tel et quand les signes cliniques apparaissent, c'est à priori que l'infection est installée car c'est ce qui justifie le traitement antibiotique s'il est nécessaire.