Au niveau épidémique
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Au niveau épidémique



  1. #1
    invite60c63144

    Au niveau épidémique


    ------

    Bonsoir,

    Si les tests VIH ne seraient pas "fiable", c'est à dire qu'ils ne détecteraient pas toujours les séropositives (faible spécificité ou quelque chose du genre), est-ce que ça se saurait ?

    Je veux dire par là, est-ce qu'il y aurait une plus forte épidémie ?

    Meerci

    -----

  2. #2
    invite29cafaf3

    Re : Au niveau épidémique

    Non, non, ça ne se saurait pas.
    Il est évident que les labos, les toubibs, l'OMS, la surveillance de santé sanitaire ne sont peuplés que de cons que l'on peut entuber sans problème.
    Il est évident aussi que si le problème progresse c'est à cause des tests non fiables ; les gens qui ne prennent pas de précautions, qui ne se protègent pas, qui ne veulent pas savoir et n'en n'ont rien à cirer ni sont bien évidemment pour rien, bien sûr.

    Haro sur les tests, cela ne sert à rien.

  3. #3
    Kissagogo27

    Re : Au niveau épidémique

    Bonjour, sinon , a quoi pourrait bien servir un test qui ne sert a rien ?

    un test , déjà c'est évalué, testé, on ne se contente pas de croire a la parole des fabricants qui mettent en " vente " ces tests , puisque qu'il y a des autorisations de mise sur le marché, AMM , comme pour les médicaments ...

    et un test qui donne rien ne fini pas dans les mains de ceux qui aident au dépistage ... il est refoulé ...

  4. #4
    vilveq

    Re : Au niveau épidémique

    Et bien sur que dans l'histoire récente de la médecine il n'a jamais été mis sur le marché aucun tests dont la fiabilités est plus qu'imparfaite .. voir douteuse ...

    http://news.doccheck.com/fr/755/mala...d-avec-lelisa/


    Le monde n'est ni noir ni blanc ...

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    Kissagogo27

    Re : Au niveau épidémique

    un documentaire est récemment passé sur Arte, mettant en lumière qu'en France, on s'évertuait a utiliser un test peu efficace ... donc ce n'est pas un secret, maintenant il est certain qu'on peut se demander pourquoi d'un coté de la frontière franco allemande , on trouve peu de cas et que la moyenne en allemagne est bien plus importante ...

    là on parle de la maladie de Lyme ...

    le sujet est sur le VIH ne mélangeons pas tout

  7. #6
    invite29cafaf3

    Re : Au niveau épidémique

    Citation Envoyé par vilveq Voir le message
    Et bien sur que dans l'histoire récente de la médecine il n'a jamais été mis sur le marché aucun tests dont la fiabilités est plus qu'imparfaite .. voir douteuse ...
    ET parce qu'un test est imparfait, tous les tests doivent être suspectés et remis en doute .... et vous osez ajouter "le monde n'est ni noir ni blanc"

  8. #7
    invite12790fc0

    Re : Au niveau épidémique

    Il y a des faux négatifs, mais très peu, cette erreur est connue, corrigée dans les statistiques , donc on sait le bon nombre de séropositifs dépistés par le dépistage, en réévaluant artificiellement mais rationnellement le nombre de contaminations dépistées pour arriver au nombre de personnes contaminées parmi celles venues se présenter au test.
    Beaucoup plus délicate est la question d'évaluer le nombre de nouvelles contaminations.
    Une personne dépistée positive est peut-être contaminée depuis plusieurs mois, plusieurs années sans le savoir....mais des tests précis permettent de dater les contaminations, avec une marge d'erreur limitée.
    En revanche, la question est de savoir combien de personnes sont séropositives et ne sont pas allées au dépistage.
    Pour le savoir, il y a des enquêtes, qui reposent sur un questionnaire, mais il est difficile d'en connaitre la valeur, car les gens qui ne veulent pas être dépistés sont précisément ceux qui évitent de répondre à ce genre d'enquête, dans le cas où dans la foulée on leur proposerait un test. les gens qui n'ont pas été dépistés parce qu'ils se croient à l'abri sont plus facile à interroger mais ils ont un role moindre dans l'épidémie.

    Il existe une méthode plus fiable pour évaluer une photo précise du nombre des non dépistés, mais dans le passé.
    Les séropositifs rentrent tous au stade sida dans un délai moyen de 10 ans. On voit donc apparaitre le nombre total des contaminations à une date donnée : et là, on voit apparaitre les manquants qui ont échappés au dépistage pendant toutes ces années. On a donc les moyens de connaitre avec une certaine précision le nombre de personnes ayant échappé au dépistage à une date donnée . Pour simplifier, il suffit après de reprendre à cette époque le nombre de personnes dépistées et de le comparer au nombre nouvellement connu des contaminations réelles à cette date.
    On doit prendre en compte des facteurs complémentaires mais marginaux liés aux flux migratoires etc....mais peu importe.

    Ensuite , il s'agit de savoir comment évolue le nombre de personnes non dépistées.
    On n'a guère d'autres moyens que de faire des régressions linéaires ou autres sur les pourcentages successifs des personnes échappant au dépistage, pour voir s'il a tendance à augmenter ou à diminuer.

    Les biais à corriger peuvent être nombreux et les rectifications des chiffres bruts sont de plus en plus incertaines.

    Les campagnes de dépistage ont eu des succès très divers selon les pays ces dernières années récentes :
    certains pays ont mis en place des campagnes de dépistage intense ( France, Suisse .......et en réalité presque tous les pays ), mais les résultats ont été très différents. La Suisse a vu son taux de dépistage augmenter sensiblement dans les populations les plus exposées, et a vu ainsi augmenter le nombre de personnes constatées séropositives, mais la datation des contaminations nouvellement dépistées a montré que les contaminations récentes étaient en baisse dans ce pays, contrairement à ce qui se constate en France et surtout en Belgique : stagnation du dépistage, résultats insuffisants d'actions trop localisés ( le centre "190" à Paris ) : le nombre des contaminations nouvelles réaugmente. Les redressements des chiffres bruts qui étaient autrefois semblables selon les pays deviennent différenciés et plus incertains aujourd'hui. Des études plus poussées sont en cours pour préciser l'incidence des contaminations récentes dans l'épidémie. Une part plus importante que prévue pourrait aboutie à une divergence profonde des évolutions respectives dans chaque pays selon leur capacité à bien dépister tôt , ou non.

  9. #8
    invite6f9dc52a
    Modérateur

    Re : Au niveau épidémique

    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    Il y a des faux négatifs, mais très peu, cette erreur est connue, corrigée dans les statistiques , donc on sait le bon nombre de séropositifs dépistés par le dépistage, en réévaluant artificiellement mais rationnellement le nombre de contaminations dépistées pour arriver au nombre de personnes contaminées parmi celles venues se présenter au test.
    Non, absolument pas: vous croyez qu'on laisse partir des gens avec un "doute" ?
    Les tests sont doublés et refaits ; il n'y a rien "d'artificiel": le risque est tellement faible qu'il en est négligeable.


    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    Une personne dépistée positive est peut-être contaminée depuis plusieurs mois, plusieurs années sans le savoir....mais des tests précis permettent de dater les contaminations, avec une marge d'erreur limitée.
    La valeur des T4 et T8 donne simplement le stade dit précoce ou tardif, sans qu'il soit datable, donc, ce que vous dites est faux.


    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    En revanche, la question est de savoir combien de personnes sont séropositives et ne sont pas allées au dépistage.
    Pour le savoir, il y a des enquêtes, qui reposent sur un questionnaire, mais il est difficile d'en connaitre la valeur, car les gens qui ne veulent pas être dépistés sont précisément ceux qui évitent de répondre à ce genre d'enquête, dans le cas où dans la foulée on leur proposerait un test. les gens qui n'ont pas été dépistés parce qu'ils se croient à l'abri sont plus facile à interroger mais ils ont un role moindre dans l'épidémie.
    Au contraire, ils ont un rôle important dans l'épidémie car se considérant sains ou s'en moquant et échappant à tous dépistages, il peuvent infecter à tout va ; c'est peut être même l'élément moteur de l'épidémie (20% de séropositifs qui s'ignorent pourraient être à l'origine de 60% des contaminations).



    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    Il existe une méthode plus fiable pour évaluer une photo précise du nombre des non dépistés, mais dans le passé.
    Les séropositifs rentrent tous au stade sida dans un délai moyen de 10 ans. On voit donc apparaitre le nombre total des contaminations à une date donnée : et là, on voit apparaitre les manquants qui ont échappés au dépistage pendant toutes ces années. On a donc les moyens de connaitre avec une certaine précision le nombre de personnes ayant échappé au dépistage à une date donnée . Pour simplifier, il suffit après de reprendre à cette époque le nombre de personnes dépistées et de le comparer au nombre nouvellement connu des contaminations réelles à cette date.
    Le délai moyen n'est qu'une moyenne sans signification réelle et le stade SIDA arrive entre quelques mois et des décennies (2 -20 ans) sans qu'on puisse le prévoir et il y a tous les ans de nouvelles contaminations et les manquants sont toujours manquants (pas dépistés, il ne viennent pas s'inscrire sur des listes).
    Il y a un certain nombre de gens dont on découvre la maladie au stade SIDA mais à ce moment, ils sont comptabilisés et ne font plus partie des manquants et il n'y a strictement aucun moyen de dater leur contamination.
    Ce qu'on peut faire, ce sont des estimations sur des grands nombres avec des moyennes sur de nombreuses années passées.
    Je ne sais pas si c'est ce que vous vouliez dire mais les termes "certaine précision" ou "plus fiable" peuvent induire en erreur et ne reflètent pas de réalité.



    On n'a guère d'autres moyens que de faire des régressions linéaires ou autres sur les pourcentages successifs des personnes échappant au dépistage, pour voir s'il a tendance à augmenter ou à diminuer.

    Les biais à corriger peuvent être nombreux et les rectifications des chiffres bruts sont de plus en plus incertaines.
    Ce qui est en contradiction avec les termes "certaine précision" ou "plus fiable" précédemment utilisés mais vous devriez nous faire un exemple de calcul en justifiant de toutes les méthodes statistiques utilisés dans le forum mathématique du supérieur pour qu'on puisse juger de la pertinence des mots que vous alignez.

    Un résumé simple: http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&...80642063,d.d2s

  10. #9
    invite12790fc0

    Re : Au niveau épidémique

    Au sujet des faux négatifs :
    Il y a des faux négatifs, mais très peu, cette erreur est connue, corrigée dans les statistiques , donc on sait le bon nombre de séropositifs dépistés par le dépistage, en réévaluant artificiellement mais rationnellement le nombre de contaminations dépistées pour arriver au nombre de personnes contaminées parmi celles venues se présenter au test.
    Non, absolument pas: vous croyez qu'on laisse partir des gens avec un "doute" ?
    Les tests sont doublés et refaits ; il n'y a rien "d'artificiel": le risque est tellement faible qu'il en est négligeable.

    Les tests sont faits en double . Voyez, je l'ignorais cette fois. Etant donné que les faux négatifs étaient extremement rares, je pensais qu'on faisait des économies en laissant échapper ces failles. Je ne sais pas si c'est très rentable, mais c'est une bonne chose. J'ai souvent vu des questions de personnes sur SIS à ce sujet, cette réponse ne m'avait pas marqué. Il faut dire qu'elle n'est peut-être pas mise en avant parce qu'à la fin le risque n'est malgré tout pas nul, et c'est ce que retienne les gens les plus impressionnables.
    " le risque est tellement faible qu'il en est négligeable " : c'est noté;





    Dater une infection :
    On peut dater une infection, si , peut-être pas avec les T4 ou les T8, et certainement avec une marge d'incertaine au cas par cas, mais noyée dans la masse au niveau des grands nombres....: je l'ai lu dans un article suisse commentant la remonté des nombre des séropositifs dépistés, que ceci était dû à la grande augmentation du dépistage, et qu'il fallait attendre les résultats des études complémentaires pour savoir s'il s'agissait de nouvelles contaminations ou non. Apparemment ils ont réussi à dater les contaminations car ces résultats complémentaires sont venus par la suite. Il y a avait une baisse des contaminations récentes.

    Les gens qui ne pensent pas être concernés :
    En revanche, la question est de savoir combien de personnes sont séropositives et ne sont pas allées au dépistage.
    Pour le savoir, il y a des enquêtes, qui reposent sur un questionnaire, mais il est difficile d'en connaitre la valeur, car les gens qui ne veulent pas être dépistés sont précisément ceux qui évitent de répondre à ce genre d'enquête, dans le cas où dans la foulée on leur proposerait un test. les gens qui n'ont pas été dépistés parce qu'ils se croient à l'abri sont plus facile à interroger mais ils ont un role moindre dans l'épidémie.car les
    Votre réponse :
    Au contraire, ils ont un rôle important dans l'épidémie car se considérant sains ou s'en moquant et échappant à tous dépistages, il peuvent infecter à tout va ; c'est peut être même l'élément moteur de l'épidémie (20% de séropositifs qui s'ignorent pourraient être à l'origine de 60% des contaminations).

    Votre réponse est bien plus mauvaise que mon assertion provocatrice. ici, vous dites carrément n'importe quoi. Les 20% des séropositifs qui l'ignorent sont effectivement à l'origine de 60% des nouvelles contaminations, je dirais même probablement beaucoup plus aujourd'hui. Certes, mais précisément : dans le milieu gay, tous ces gens multipartenaires savent très précisément qu'ils sont pour la plupart séropositifs et ne vont pas au dépistage pour que cela ne se sache pas. dans le milieu gay, il n'y a que très très peu de personnes qui se croient à l'abri, et s'ils se croient à l'abri c'est parce qu'ils ne sont pas multipartenaires . Ils ont à l'évidence un rôle moindre dans l'épidémie. Le fuite devant le dépistage n'est pas un acte d'inconscience mais très exactement un acte délibéré et murement réfléchi dans les milieux à risque. Cela n'a rien à voir avec l'irresponsabilité. Pourquoi croyez-vous que le dépistage connaisse un tel succès à Zurich et lausanne chez les gays, pourquoi y-a-t-il un enthousiasme énorme vers le dépistage dans cette communauté y compris chez les plus jeunes ?
    Parce que la médiatisation suisse du traitement qui rend non contaminant a complètement modifié les conclusions des gens qui fuyaient le dépistage et ne le fuient plus .
    le succès Suisse a consisté très précisément à éviter vos positionnement moralistes et remarquablement "productifs" vis à vis des populations cibles qui sont la clef du succès ou de l'échec de la prévention.



    4ème point :

    "On n'a guère d'autres moyens que de faire des régressions linéaires ou autres sur les pourcentages successifs des personnes échappant au dépistage, pour voir s'il a tendance à augmenter ou à diminuer.Les biais à corriger peuvent être nombreux et les rectifications des chiffres bruts sont de plus en plus incertaines."

    Votre commentaire :
    Ce qui est en contradiction avec les termes "certaine précision" ou "plus fiable" précédemment utilisés mais vous devriez nous faire un exemple de calcul en justifiant de toutes les méthodes statistiques utilisés dans le forum mathématique du supérieur pour qu'on puisse juger de la pertinence des mots que vous alignez.

    Ma réponse :
    Vous perdez du temps et votre santé à vous coucher à des heures encore plus tardives que les miennes pour pinailler maladroitement.
    La proportion des gens non dépistés dans le passé est connue avec précision , on évalue donc son évolution dans le passé pour faire des évaluations qui ont montré une bonne valeur prédictive jusqu'à ce que trois facteurs nouveaux viennent infléchir la précision :
    la reprise des risques, l'accroissement des politiques punitives ( facteur augmentant l'incertitude ), la médiatisation de l'effet préventif des traitements ( facteur réduisant la fuite face au dépistage ). Les campagnes d'incitation française au dépistage n'ont eu aucun effet global .

  11. #10
    vep
    Responsable des forums

    Re : Au niveau épidémique

    Pinaise ... vous êtes coriace, vous.



    Trêve de plaisanteries, il y a une question que je me pose en vous lisant dans ce fil et ailleurs : C'est celle de vos motivations (déclarées ou non) qui me laissent songeuse ...

  12. #11
    invite12790fc0

    Re : Au niveau épidémique

    Les faux négatifs

    http://forum.sida-info-service.org/v...hp?f=1&t=20086

    Voici la réponse actuelle de sida info service à ce sujet.

    Ils ne mentionnent pas que les tests sont faits en double, et toute la discussion probabiliste autour de ce sujet, puisque je partage intégralement la conclusion : le risque d'erreur est négligeable, que cela soit dû grace à l'extreme fiabilité d'un seul test, ou grâce à la vertu du double test. je n'ai jamais douté que les faux négatifs représentaient moins d'un cas pour 50 000 ( ou 100 000 comme vous voudrez ),..... dans le cas où les anticorps sont bien apparus !

    Le risque d'erreur en revanche est peut-être plus large en cas de test trop précoce, avec ces gens qui développent les anticorps exceptionnellement plus tards que les autres. Mais nous sommes d'accord : ce risque est négligeable ( et donc négligé...enfin ,..... si j'ai bien compris ! )



    vep : mes motivations sont pourtant claires et bien évoquées par les gens du site :
    je veux éradiquer l'espèce humaine en m'attaquant pour commençer à la mission de développer l'irresponsabilité et l'inconscience des gens, et surtout des jeunes.

  13. #12
    vep
    Responsable des forums

    Re : Au niveau épidémique

    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    vep : mes motivations sont pourtant claires et bien évoquées par les gens du site :
    je veux éradiquer l'espèce humaine en m'attaquant pour commençer à la mission de développer l'irresponsabilité et l'inconscience des gens, et surtout des jeunes.

    Mon dieu, oui j'avais oublié que je n'avais pas les compétences, qualités, connaissances et qualifications pour être digne de vous répondre ....
    Veuillez donc excuser mon moment d'égarement qui a fait qu'à un instant, j'ai cru bon oser vous adresser la parole.

    Vous avez donc tout à fait raison de me répondre avec ce ton ironique et hautain.

    Toutes mes excuses pour le dérangement.

  14. #13
    mh34
    Responsable des forums

    Re : Au niveau épidémique

    Citation Envoyé par vep Voir le message
    Trêve de plaisanteries, il y a une question que je me pose en vous lisant dans ce fil et ailleurs : C'est celle de vos motivations (déclarées ou non) qui me laissent songeuse ...
    Sont claires pourtant ; sous prétexte qu'on est indétectable ( bien que séro-positif) grâce aux traitements PrEP et/ou TASP, on peut se dispenser de préservatif ( même si on est porteur d'HSV2, VHC, et autres joyeusetés) et on peut aussi se dispenser de prévenir son partenaire.
    Si c'est pas de la malhonnêteté, ça y ressemble fort.
    Mais ça c'est PAS une question médicale.
    "Музыки хватает на всю жизнь, но целой жизни не хватает для музыки"
    Rachmaninoff

  15. #14
    invite6f9dc52a
    Modérateur

    Re : Au niveau épidémique

    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    Voyez, je l'ignorais cette fois.
    C'est pourtant un des pilliers de la prise en charge et de la prévention et le méconnaitre, c'est méconnaitre le reste qui y est afférent.


    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    On peut dater une infection, si , peut-être pas avec les T4 ou les T8, et certainement avec une marge d'incertaine au cas par cas, mais noyée dans la masse au niveau des grands nombres....: je l'ai lu dans u...
    Ça, c'est vraiment n'importe quoi: dater une infection dans la masse des grands nombres !
    Comme quoi ce que vous lisez est peut être juste mais ça ne signifie pas que vous le compreniez.


    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    Votre réponse :
    Au contraire, ils ont un rôle important dans l'épidémie car se considérant sains ou s'en moquant et échappant à tous dépistages, il peuvent infecter à tout va ; c'est peut être même l'élément moteur de l'épidémie (20% de séropositifs qui s'ignorent pourraient être à l'origine de 60% des contaminations).

    Votre réponse est bien plus mauvaise que mon assertion provocatrice. ici, vous dites carrément n'importe quoi. Les 20% des séropositifs qui l'ignorent sont effectivement à l'origine de 60% des nouvelles contaminations, je dirais même probablement beaucoup plus aujourd'hui.
    Je dis n'importe quoi mais vous répétez très exactement ce que je dis: vous ajoutez juste un commentaire personnel à la fin qui, lui, n'est fondé sur rien d'autre que vos cryances.
    Peut être n'avez vous pas lu non plus le lien qui cite l'Agence nationale de recherches sur le sida (Anrs) duquel j'ai tiré l'information-qui-est-n'importe-quoi mais-que-vous-reprenez-à-votre-compte, ou pensez vous leur apprendre également leur travail du haut de votre incompréhension ?



    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    Parce que la médiatisation suisse du traitement qui rend non contaminant a complètement modifié les conclusions des gens qui fuyaient le dépistage et ne le fuient plus .
    Ah, oui, la Suisse est tellement isolée que leurs ondes radio s’arrêtent à la frontière et rien n'en sort: à se demander comment vous êtes au courant (à oui, le complot que vous seuls et les initiés connaissent).


    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    le succès Suisse a consisté très précisément à éviter vos positionnement moralistes et remarquablement "productifs" vis à vis des populations cibles qui sont la clef du succès ou de l'échec de la prévention.
    Le seul qui fasse de la morale, c'est vous et uniquement vous, miss...


    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    "On n'a guère d'autres moyens que de faire des régressions linéaires ou autres sur les pourcentages successifs des personnes échappant au dépistage, pour voir s'il a tendance à augmenter ou à diminuer.Les biais à corriger peuvent être nombreux et les rectifications des chiffres bruts sont de plus en plus incertaines."

    Votre commentaire :
    Ce qui est en contradiction avec les termes "certaine précision" ou "plus fiable" précédemment utilisés mais vous devriez nous faire un exemple de calcul en justifiant de toutes les méthodes statistiques utilisés dans le forum mathématique du supérieur pour qu'on puisse juger de la pertinence des mots que vous alignez.

    Ma réponse :
    Vous perdez du temps et votre santé à vous coucher à des heures encore plus tardives que les miennes pour pinailler maladroitement.
    La proportion des gens non dépistés dans le passé est connue avec précision , on évalue donc son évolution dans le passé pour faire des évaluations qui ont montré une bonne valeur prédictive jusqu'à ce que trois facteurs nouveaux viennent infléchir la précision :
    la reprise des risques, l'accroissement des politiques punitives ( facteur augmentant l'incertitude ), la médiatisation de l'effet préventif des traitements ( facteur réduisant la fuite face au dépistage ). Les campagnes d'incitation française au dépistage n'ont eu aucun effet global .
    On ne connait avec précision que les gens dépistés et/ou malade: le reste sont des estimations et n'a rien de précis.
    Mettre des mots dont vous ignorez le sens ne rendra pas votre discours scientifique.
    J'aime bien la réponse qui me renvoie à mon sommeil quand je demande une explication: c'est l'illustration parfaite des pires sophismes (l'idiot, le doigt et la lune ; l'attaque personnelle, etc.) alors que vous ignorez même le fuseau horaire ou je me trouve.
    Et moi, ma santé me le permet, puisque vous abordez le sujet...


    Edit: double test qui est maintenant supprimé au profit d'un test combiné (plusieurs en un).

  16. #15
    invite6f9dc52a
    Modérateur

    Re : Au niveau épidémique

    Citation Envoyé par vilany Voir le message
    vep : mes motivations sont pourtant claires et bien évoquées par les gens du site :
    je veux éradiquer l'espèce humaine en m'attaquant pour commençer à la mission de développer l'irresponsabilité et l'inconscience des gens, et surtout des jeunes.
    Et bien, vous vous êtes bien placé pour être éradiqué en premier, selon vos propres convictions !

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